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| Sujet: he:ll (tez) Sam 24 Mar - 13:11 | |
| tessa "tez" santelli on s'promet sur nos vies qu'on s'en sortira, et que le bien sur le mal, un jour, dominera. -- -- -- -- -- -- -- -- --
prénom et nom: tez elle nous faisait vivre. tez elle nous fait sourire. tez elle est vie-jolie, même si elle a pas toujours été jolie, sa vie. au début, tez elle était tessa. et tessa, elle vivait pas. tessa, c'est un vague souvenir, des racines d'un vieux et ses mots pas très beaux qui volaient au dessus d'la pièce et d'une vieille à s'en niquer les narines avec de la belle neige. tessa c'est un putain de passé, à qui on a arraché trois et une nouvelle. pour un nouveau départ. tez. et aujourd'hui, tez elle nous fait vivre. âge et date de naissance: tez, elle a dix-huit ans. le cœur encore enfant, encore innocent. tez, elle te l'dit, si tu l'demandes. mais tez, tu sais, elle s'en fou un peu de l'âge. elle dit que c'est que l'corps qui vieillit, à l'intérieur, c'est encore plein d'vie. (20/09) lieu de naissance, origines: ses origines, elles ont jamais bougé. elles ont toujours reposé ici. et tez, parfois elle se dit qu'elle aurait bien aimé venir d'Ailleurs, être originaire du monde, tez, elle aurait bien aimé vivre de cultures, vivre de croyances et de rituels différents. elle aurait trouvé ça bandant. mais elle vit ici, elle vit avec ses origines, tez elle s'dit que c'est bien, mais qu'elle rêves d'aller voir plus loin que le bout de ton nez. alors tez elle te dira que c'est une enfant d'ailleurs, enfant d'ici, enfant du monde parce que tez, elle est comme ça et puis voilà. occupation: tez, c'était les poèmes de Rimbaud qui s'cognaient dans sa tête, rempli de rêve. tez, c'était la danse des mots qu'elle griffonnait sur ses bouts de papier qui finissaient en boule au fond de sa sacoche. tez, c'était la rêverie, l'envie incessant de faire vivre les gens du bon côté, de danser sur la place de la ville quand c'était la fête, c'était les balades à un coeur fou Robinstone, les cheveux qui faisaient méli-mélo avec le vent, les dents qui voyaient toujours le soleil et toujours ce putain d'côté à vouloir s'échapper. Puis, tez, elle s'est échappée. en fermant sa bouche, cette fois. et tez, elle est revenue. et tez, elle a apprit la mauvaise vie.elle est tombée dedans,les deux pieds en avant. et maintenant, tez, elle est plus trop pareil.statut, orientation sexuelle: elle en a fait chavirée des coeurs, la gamines de la Vie. mais tez, c'est le cœur libre, appartient qu'au monde. c'est le coeur libre, qui vit à 100, qui vole à l'envie, le cœur seul mais pourtant si beau, qu'on rêverait tous de l'attraper. que tous voudrait attraper. mais tez, elle ne la jamais donné à quelqu'un, enfin si, il a été donné. tez, c'est encore une belle fleur, toujours pas cueillit, mais qui attend pas forcément, enfin si, elle a été cueillit. parfois, tez, oui, elle imagine. elle imagine fort, elle. elle & ses gestes maladroits, elle & sa fébrilité, elle & sa curiosité de voir ce que ça fait, mais elle & sa timidité. alors elle a arrêté d'y pensé. et puis, y'a eu de soir là. tez, avant, elle souriait en repensant à ce soir là. avant. traits de caractère: tez, c'était la pacifiste, humaniste, rêveuse, bohème, très sensible, une énorme curiosité, intelligente, calme & réfléchie, têtue, peureuse, vivante, drôle, jamais énervée, impulsive, à fleur de peau, retardataire, pensive, créative, souriante, fragile & forte, généreuse, aime la solitude, apaisante, angélique, bavarde comme scilencieuse, facilement distraite, émotive, a du mal à tenir sa langue, passionnée. mais tez, elle est revenue, et elle sourit un peu moins, elle est un peu moins tout, plsu éteinte, plus trop comme avant. mais un peu toujours. quand elle s'est assouvit de cette traînée blanche. mais l'envie repart au galop. l'envie d'y regoutter pour toujours "une dernière fois". et pour une fois, tez, elle en a marre d'avoir envie. groupe: aux belles pléiades.
- la tête tournée vers les étoiles - un vendredi à la campagne
vous avez pas dormit de la nuit. les étoiles étaient trop belles ce soir là. la lune pour un peu de lumière, pour dessiner les visages, pour mettre un visage sur ses mots qu'il sortait, lui. lui, que t'adorais écouté. il avait pas une vie exceptionnel, pas des histoires magiques à raconter. mais il te racontait son quotidien. et toi, tu trouvais ça bien.
tu t'étais prit d'amour pour lui. oh putain, oui. les villageois parlaient beaucoup, pour vous. disaient qu'entre vous, c'était la vie nocturne, à jamais dormir, enlacés dans vos draps blancs après chaque journées de travail, à pousser des cris vivants, d'envies et sauvages, vos corps humides à en réchauffer ces jours de saison froide. mais très peu disait, qu'entre vous, c'était que de l'amour qu'on pourrait avoir pour n'importe qui, n'importe quoi. qu'entre vous, c'était que des paroles d'amour qui volaient autours de vous, sans forcément vous touchez. et vous, vous parliez pas de vous. vous, vous parliez juste de la vie. et ça suffit. moi, j'te revois encore tez, ton minois concentré, entrain de te mordre la lèvre. j'te revois encore entrain de te mordre la lèvre, les yeux rivés sur le joint que t'essayais en vain de rouler. zut, c'est dûr ! et lui il a rit. apprentie tu laissas ses mains, froides et maladroites glisser sur les tiennes. et t'avais lâché un petit sourire. il prit le joint, et le roula en un claquement de doigt. toi, tu l'regardais faire, entrain de rouler, de ses mains noires, noires d'art, noires de ses dessins-fusains. son coup de langue qui t'fis mordre ta lèvre, à toi. elle te donnait si envie. il alluma le joint et laissa ses poumons rejeter cette herbe au parfum qui t'fis fermer les yeux. douce odeur toxique aux envies d'évasion. tu ouvras les yeux, le sourire tout benêt. tu l'regardes, du seul oeil que la lune t’offrais à lui. il toucha ton nez, de son doigt noir. on dirait un chaton et toi, tu lâches un éclat de rire, qui résonna dans l'pré. t'es sûre tu veux pas rester ? mes parents adore ta façon de danser tu sais.tu le regardes, au regard triste. fallait bien une fin, tu le savais. il le savait. on le savait tous. mais on voulait pas y penser, parce qu'en y pensant pas, on aurait pensé qu'il aurait été oublié, ce moment. mais tez, fallait qu'elle rentre. pour les autres, puis surtout pour maya. viens avec moi, on vivra ensemble. vous deux, c'est deux êtres complètement paumés, on sait pas c'que vous foutez là. mais vous êtes là. alors, vous survivez et puis voilà. elle est belle ta vision de la ville, tez. mais, celle de la campagne, elle est encore plus jolie. tu baisses un peu la tête. toi, t'étais venue là pour ça. pour lui, pour eux, pour le village, pour leur dire que la ville, c'est pas ce qu'il pense, c'est pas maussade, que c'est aussi beau qu'ici. que la campagne, ça ne fait pas que le monde à elle toute seule. y'a la ville aussi. toi tu voulais tout leur donner de toi. la curiosité, l'envie de voir plus loin que le bout de son nez, les nouveaux pays, la découverte et l'envie toujours de plus. plus de vie, plus de rire, plus de cultures, plus d'apprentissage, plus d'ouverture, plus de tout. mais face à lui, t'es complètement déçue, parce que ça à pas marché et pourtant, t'y avais tout mit. alors, tu pris le joint, et en tira une grande avant de tout lâcher. t'as décidément rien comprit. t'es nul jean. je vais aller dormir. je pars tôt demain. et jean, il se lève. et il te prend le bras. attend, t'as du fusain sur le nez, chaton. tu le laissas touchez le bout du nez. j'essayerai de regarder plus loin que là, promis. tu souris, il te l'avais redonné. merci, jean.
un dimanche, gris et triste. comme tez.
tez, elle est là. elle est revenue. et elle se dit, qu'elle aurait pas du. tez, elle est un peu déçue. un peu beaucoup. par un peu beaucoup de gens d'ici. tez elle est revenue et maintenant, la vie, elle est plus aussi jolie.
tez, elle est sur un banc et elle se gratte la narine gauche, et elle regarde les gamins tout joyeux. elle veut réapprendre à sourire (après avoir tiré sa ligne). uc. - - SOYONS AMIS:
prénom/pseudo: c'est chloé la famille . pré-lien/inventé: pré-lien de bb nora. c'était comment ta journée? à chier, j'ai plus d'eau chaude. le mot de la fin: :pouley: pépite c'poulet. [/i] - Code:
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<cp>charleen weiss</cp> - tez santelli
Dernière édition par Tez Santelli le Dim 25 Mar - 4:04, édité 6 fois |
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