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| Sujet: Yabadabadabadou, le gentil gang c’est nous ; FERDIE Dim 10 Juin - 20:44 | |
| ''Ferdie'' Ferdinand King Kash Lavern Savage (Clap sur le beat comme j’y clap sur le ass. ) -- -- -- -- -- -- -- -- --
prénom et nom: King Ferdie. Le roi du mic, brap. KingF pour les intiminettes, KinkF pour les bonnes. Savage as fuck. Tu sais déjà. Tu devrais déjà savoir sinon. âge et date de naissance: Vingt-cinq milles verses d'écrites chaque matin depuis le 20 juin 1992, la belle époque, king Eminem et autres légendes vivantes sur le walkman sony jaune à bouffer de la wanna be poudre de chewing-gum Bubble Jug. Le début d'une addiction. lieu de naissance, origines: Maman a mis bats à Crescent Heights, trois fois avant toi, puis quatre fois après toi. Crescent Fucking Heights. Votre tombe, à toi et ta fraterie de chats de ruelles. Presque tous de pères différents, le tien était un sans papier malien, beau travail maman. Ça parait à peine, les gènes de blancs-becs qui avalent tout. occupation: Futur légende. Qui enregistre des raps dans son placard, sur son Ipone éclaté, qui rêve grand et qui coupe et revend de la coke et beuh. Parfois des petites pilules ou du GHB. Ça dépend des mois. Consommateur régulier pour continuer à rêver. statut, orientation sexuelle: Fuckboii. Des nuits passées avec des meufs vites remballées, des coups des plaisirs, des groupies qui se changent en harpie. T'es de ses connards qui vont renvoyer les belles après t'être vidé. Ciao beauté. Tu dors mieux tout seul, sans griffes de démones plantées dans ton dos. traits de caractère: Bâtard. Chien galeux, animal sauvage qui survit. Loup qui protège sa meute sans trop montrer son affection. Beau parleur, beau menteur, qui arrive à se croire. Bonimenteur qui mélange la langue de molière aux expressions de la street pour mieux charmer les petites chattes chaudes. Jongleur pro, entre les bitches, prétendant des sentiments que t'auras jamais. Pas de Squish, pas des Crush, rien qui retourne le ventre, les filles passent et c'est toujours la même chose, on t'as mentis. Tu ne ressens que la rage, l'envie de tout éclater quand on te cherches, quand ça fait du bien, quand c'est pour rien. Violent, agressif, sang chaud, bagarreur, rancunier. Faut sauver les street credz. Petit rat courant après les fêtes, le fric, pour acheter des vêtements trop chers et modifier cette voiture de merde qui sera jamais une ferrari, pour impressionner des gens dont tu te fous et pour lancer le fric sur le cul des putes comme les rappeurs dans les clips. C'est pas ça le rêve américain ? C'est pas ce dont ils parlent tous dans leur raps ? Et toi tu fais pas mieux. Et toi tu changes pas le game. Money and Hoes, tu sais déjà c'est qui le best, broh. groupe: stella nigga
- la tête tournée vers les étoiles -(Mila) La première, celle qui ne savait même pas. Celle à qui tu faisais pire que tirer les couettes. Tu l'insultais, l'intimidais, la brutalisais dès votre plus jeune âge. Tu ne semblais vivre que pour voir ses genoux en sang, ses larmes en yeux et ses cheveux en bordel. Le fantasme ultime, celui jamais assouvis, caché derrière une haine puérile et cruelle de gamin. (Pamela) La vraie première, à ce trop jeune âge où on s'intéresse vraimnt aux filles, où elles ne sont plus des trucs puants qui viennent gâcher la fête. Vers les dix ans, là où les magazines pornos sont depuis longtemps feuilletés, rien qu'un peu plus osé que les clips de tes rappeurs préférés. On rêve de toucher des vrais seins. Pamela c'est cette meuf, celle qui pour cinq dollars, montrait ses seins dans la cours d'école. Pour vingt dollars, elle vous laissait les toucher. T'as économiser, fais des petits boulots et tondu des pelouses à la sueur de ton front rien que pour peloter quelques instants la chair. Tu savais pas encore que t'aurais l'occasion d'en toucher de toutes les tailles. (Sandra) Le premier baiser, la fille que tu pouvais pas avoir, toi, le badboy qui fumait déjà et buvais déjà et elle la princesse de bonne famille, à qui on avait bien dit de rester loin de toi. On t'as mis au défi et t'as pas été loyal. Sans prévenir, t'es allé la voir dans la cours d'école et tu as plaqué tes lèvres contre les siennes, lui volant égoïstement son premier baiser, sans rien, sans demander, sans faire attention au fait que, c'était peut-être spécial pour elle. Non, tu l'as volé. Et elle pensait que c'était spécial, que t'étais amoureux, sauf que non. Tu lui a rigolé à la figure quand elle t'en a demandé un autre. Cruels enfants. (Monica) Après l'enfance, avant l'enfer. Monica c'était le début de la fin. Monica c'était la première copine officielle. Celle plus vieille, celle qui n'a pas froid aux yeux, celle qui n'avait plus de virginité à donner et qui a prit ce qu'il restait de la tienne. Petite amie par défaut, parce que vous passiez tout votre temps ensemble, finissiez toutes vos nuits ensemble. Parce que vous fréquentiez les mêmes chiens galeux, le mauvais monde, celui qui vous enfonçait dans l'illégalité, trop tôt pour ton bien. Celle qui allait faire que les centres pour jeunes te ferait de l'oeil et que la police allait flirter avec toi. Monica c'est celle qui est partie quand l'eau est devenue trop chaude. Monica c'est celle qui t'a trompé, celle qui a fait de toi un salopard. Parce que peut-être que quelque part, t'avais fini par bien l'aimer, par t'attacher un peu, trop. Monica, celle qui a fait que toutes les femmes sont des salopes et que tu le grognes en chien rageur, jusqu'à en oublier d'où tu viens et la claque monumentale que tu te prendrais en disant ça devant maman. (Erica) Erica c'est une fille comme ça, rencontrée dans une fête, bourrée, utilisée pour combler le vide. Une fille comme il y en aura beaucoup d'autres. Une fille dont on oublie le nom de famille, la couleur des yeux et l'anniversaire. Une fille qui ne comptait pas vraiment. Un nom qu'on oublie, qui devient comme toutes les autres. Il y en a eut beaucoup des Erica pour oublier ce que Monica avait fait, pour se perdre avec toi dans ta dérive. Sauf que personne allait te sauver à ce moment où tu ne voulais pas, toi-même, être sauvé. Tu pensais quoi, que l'amour allait te sauver ? Gros con, faudrait déjà que t'y crois. (Rita) Rita c'est la fin de ton coeur. La femme de ta vie qui finissait la sienne. Ta grand-mama, ce bel être de lumière. La seule femme (avec maman), pas salope sur la terre et elle rendait son dernier souffle. T'es devenu un peu zombie, là, parce que t'étais proche d'elle, que ça t'as foutu un coup de perdre mamie, douce mamie. T'as laissé tomber l'école, au bout de toi-même, t'as commencé à boire tout les jours. Et quand tu buvais trop, t'écrivais des conneries, trop, partout, sur les murs, sur tes bras, sur tes chaussures, y'avais des trucs moches, des trucs pas mal. Ton premier rap, tu l'as écrit pour ta grand-mère. Rip Rita Love. Le p'tit gars à sa mamie t'oublieras jamais. (Tina) Tina c'est la meuf qu'est arrivé après les ''Erica'', quand ça allait mieux, quand t'as rencontré des gens, quand t'as commencé à enregistrer des tracks. Une des bitches de studio qui est rapidement devenue la tienne. La belle Tina que tu traînais sous ton bras dans les soirées, qui dansait dans tes clips, qui rêvait de gloire et qui t'aimait pas vraiment non plus. (Sandra) Sandra c'est l'autre. Sandra c'est l'autre danseuse. Sandra c'était une danseuse exotique avant de faire bouger son boule dans tes clips. Sandra c'était la tentation à laquelle on cède. Sandra la side-bitch. Sandra qui signait ton contrat de fuckboy officiel. La fille que tu baisais dans le dos de Tina et c'était vachement trillant d'être un pareil connard. Sandra c'est la meuf avec qui s'aurait jamais été aussi cool si ce n'était pas une infidélité. Jouer avec le feu, des fellations dans la chambre d'à côté pendant les fêtes, vous tentiez le diable. (Mary) Mary c'est la meuf tomboy avec qui t'étais pote. Celle avec qui Tina c'est barrée quand elle t'as finalement surpris, la bite enfoncé dans Sandra. Mary était là, comme un broh, pour rattraper Tina. Tina la lesbienne, finalement. Et puis ton épuisement, ton inspiration, toutes ses histoires de bitches, c'est d'elles dont tu parles dans tes textes. (Jessica) Jessica c'est la bonne, Jessica c'est la folle. Celle qui a commencé à ressembler à toutes les autres, du fond de sa maladie mentale. Celle qui a sonné la cloche que, peut-être que ta vie tournait trop autour des filles et que s'aurait été pas mal que t'ai une vie à toi. Jessica ça été le début de la fin. Jessica c'est quand t'as arrêté de chercher la bonne partout pour te concentrer sur ta musique, ta bande de potes, tes deals, trop occupé à rapper et tenter d'arriver à quelque chose pour trouver une meuf qui au final, ne resterait pas, ou ne resterait que quelques mois. (Tiffany) Tiffany s'aurait vachement pu être la bonne. Pas que parce qu'elle était bonne. Non, Tiff elle te donnait envie d'être meilleur. Tiff elle te donnait envie d'avoir une putain de petite famille à toi, et pas qu'un ramassis de mômes qui ont pas les mêmes parents, comme ce dans quoi t'as grandis. Tiffany, bien entendu, que t'as tenté de l'avoir pour toi. Sauf que y'a une de ses amies que t'as déjà queutée qui est venue tout gâcher, qui t'as fait une sale réputation et, tes mots sincères, Tiffany elle les as foutus à la poubelle. Tant pis, tu sauras peut-être jamais c'est quoi l'amour. C'est pas tout ce qui compte au fond, à la fin de la journée ? Qui nous aimes et qui fait qu'on ne finisse pas tout seul. Toi, tu veux pas finir tout seul. C'est dur sur les poignets et puis, si un matin, tu te réveilles pas, ça prendra combien de temps avant qu'on réalise que t'es mort, hein ? - - SOYONS AMIS:
prénom/pseudo: vendoudoudou pré-lien/inventé: inventé samere c'était comment ta journée? longue zayyy le mot de la fin: Jem il pue. - Code:
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<cp>francesco cuizza</cp> - ferdie savage
Dernière édition par Ferdie Savage le Ven 20 Juil - 18:43, édité 6 fois |
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Lio Kentucky - ça plane pour moi -
i made it through
darkest part of the night
now i see the sun rise
Messages : 1422 Multicomptes : semyon l'taulard en fuite. Identité : anesidora (em). Avatar : finn wolfhard. Crédits : une moche (av); astra (sg). Âge : seize pelles roulées à l'humanité. Occupation : les p'tits boulots. Côté coeur : le célibat, les filles, les garçons, faut pas trop y faire attention. Quartier : une coloc mal foutue du côté des âmes noires.
| Sujet: Re: Yabadabadabadou, le gentil gang c’est nous ; FERDIE Mar 12 Juin - 9:54 | |
| ferdie MWAHAHAHA j'adore surtout avec cette belle gueule en tout cas l'king il en amasse des conquêtes ta fiche se laisse bien dévorer pis bienvenue par ici :jill: |
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