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 (nsfw) hazy memory xFerdie

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MessageSujet: Re: (nsfw) hazy memory xFerdie   (nsfw) hazy memory xFerdie - Page 2 EmptyDim 12 Aoû - 13:32



Toast to the life of pleasure
Used to feel a little overwhelmed when I was always oh so low. Traded heart ache for a glass of confidence, guess I'm just a baller. I want it to last longer.
⋅ ⟐ ⋅ ⟐ ⋅ ⟐ ⋅
Tu devrais peut-être ralentir, Luca. Y’a cette voix, dans le fond de ton crane, qui gueule pour que tu sois prudent. Intelligent. Sauf que c’est pas ton genre, que t’es pas né comme ça. Pas équipé pour faire mieux. Vouloir, ça tu sais. Pouvoir, c’est toujours autre chose. T’es pourtant conscient que Ferdinand dit pas grand-chose, que ses réponses sont probablement trop vague. Trop courte. Il est pas saoul à ce point, non? Il te semble que non. Il est défoncé, mais il est encore conscient. Sinon il aurait pas autant hésiter en arrivant. Il se lâcherait pas autant, maintenant que vous êtes dans le noir.
C’est foutrement dur – dans tous les sens, ça – à dire.

Faudrait que tu lâches le morceau. Au moins dix minutes. Le temps que le gars y réfléchisse un peu. À travers le brouillard de la drogue et du plaisir. Ton odeur partout sur lui. Sauf qu’il s’enfonce la gorge dans ta mâchoire tout seul : sa main commence à t’explorer. Ton ventre frémis et tu souris vaguement contre sa bouche. Celle qui te dévore, encore et encore. Tu réponds en lui empoignant la fesse plus fort, en laissant ton majeur glisser doucement entre ses fesses. Tu te fais pourtant pas d’idée Luca, tu vas pas le baiser. Pas ce soir. Peut-être jamais – mais t’as espoir. T’es un rêveur. T’as une bonne étoile qui veille au-dessus de ta tête. Mais tu le cajoles avec la même hésitation que lui, ose faire courir ses doigts contre ton sexe. Celui qui le réclame. Que tu presses un peu contre sa paume.

Et t’en peux plus, de vos baisers. De ta main qui lui malaxe le cul – ton majeur pressant gentiment la chaire vierge. De sa main, qui n’ose pas, qui t’aguiche à mort. De son ventre contre le tien, mais pas tout à fait. Parce qu’il t’explore. Alors tu dévies de ta trajectoire. Tu lui mords plutôt gentiment la gorge et tu grognes. Quand il vibre contre toi. Quand le désir ondule sous sa peau. Contre tes reins. Sous la paume de ta main, qui pousse sur son cul, pour qu’il te broie les hanches avec les siennes. « Okay jolicoeur, ont y es... » que tu souffles d’une voix trop rauque. Au supplice. Ton autre main lui masse toujours la nuque, mais même elle, tu l’abandonne. Pour lui rendre la pareille. Pour longer le haut de son sous-vêtement. Sauf que toi, t’hésite pas. Toi, tu sais ce que tu fais. T’es conscient de ce que tu veux.

Alors tu l’embrasses encore Luca, une dernière fois. D’un baiser qui te fait presque rouler les yeux jusqu’à l’arrière de ton crane. Tellement y’a du désir qui y flotte. Tellement t’y met ton envie – viscérale. « Dernière sortie d’secours » mais il ne comprend peut-être pas? Parfois le déni, ça rend les gens lents et cons. Mais ça va, tu vas l’aider. À piger. À se décider. Ta main se moule donc à son ventre et les doigts en premier, jusque dans son boxer. Contre sa peau. Ta paume contre son membre, que tu recouvres, pour le presser doucement. Il comprend, hein? T’as même un sourire contre sa gorge, que t’as regagné. Pour qu’il puisse te dire d’arrêter ou de continuer. Ta bouche n’est plus un obstacle, tes baisers pas une drogue qui altère les sens. Reste que ta main, celle dont les doigts s’enroulent autour de lui. Pour le pomper. Deux, trois fois, alors que tu grognes ton approbation contre son cou. « Fuck, oui…! T’en a envie, bébé... » C’est pas une question. Pas quand il est de roc contre toi. Pas quand ses hanches remuent. « T’veux que… j’continue, Ferdinand? » que tu souffle d’une voix presque patiente. Tu deviens presque doux, Luca, gentil même. Parce que tu exiges qu’il donne son assentiment.

Sauf qu’il y a le risque qu’il refuse. Qu’il ait peur et recule. C’est dur pour un mec, d’accepter qu’il est pas entièrement hétérosexuel, hein. Parait que oui. Faut être à l’aise dans sa sexualité. Et avec son regard perdu et sa façon de te laisser le trainer partout, t’as comme l’impression qu’il est pas entièrement sûr de lui, le Ferdie. Toi oui. Faute de choix. Peut-être parce que t’es un gros vicelard, aussi. Incapable de refuser un peu de plaisir. Mais tu décides de le tenter, de lui rappeler pourquoi il t’a suivit : dans tes bras, contre toi, y’a max de plaisir qui l’attend. T’es peut-être pas un homme accompli, ni le plus gentil, mais tu sais ce que tu fais au lit. La plupart du temps. Alors tu lui suces gentiment le cou et remonte près de son oreille, tout en le faisant reculer plus près du lit. Le terrain de jeu où tu vas lui apprendre de nouvelle prise dans un sport qu’il adore aussi. « T’veux que j’y mette la bouche? … La langue... » que tu marmonnes contre sa peau, que tu suces à nouveau. Pour bien illustrer ce que tu insinues. Ce que tu veux.
La banane, c’est bon ok. Plein de vitamine.
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MessageSujet: Re: (nsfw) hazy memory xFerdie   (nsfw) hazy memory xFerdie - Page 2 EmptyMer 15 Aoû - 15:05

Tu ne pensais pas te retrouver là, ce soir. Qu’en quelques baisers et quelques caresses, il t’entrainerait chez-lui, que tu le suivrais, que sa main finirait contre ta queue, à te couper le souffle, à le multiplier, que tu serais tellement défoncé que t’aimerais peut-être ça, l’être. Ton corps qui n’obéit plus à ta raison. Cette putain qui veut juste de la chaleur, du plaisir, de cet amour qu’elle refuse trop souvent. T’es vraiment une petite salope quand t’es stone, Ferdie. S’en est dangereux. Le badtrip était peut-être moins pire, finalement. Parce qu’à se rythme-là, tu finirais dans une orgie ou dans des conneries de gangbang de fille mineures qui prendrait de drôles d’allures de viol. Non, là ça allait, pas de festival de la saucisse. Rien qu’un petit barbecue à deux grillades au fond de la pénombre de la chambre de… Merde. C’est quoi son nom déjà. Ah, puis tant pis, tu t’en souviendrais peut-être demain. Ou tu l’oublierais, comme t’oublierais que c’est toi qui frottait vos protubérances bien dures au travers des étoffes trop serrées enroulant vos hanches qui se pressaient. Comme t’oublierais ce désir qui fend le bide en deux, qui remonte dans l’œsophage et donne envie de s’étouffer avec l’autre. Toi, quand t’as envie, tu deviens muet. Très mauvais acteur porno qui ne fait que grogner plutôt que de souffler des ‘’encore papa’’. Non tu te contenter de soupirer et pincer tes lèvres quand il se presse et se moule à ta main.  De sa main, contre tes fesses, entre tes fesses et tout ses désirs que t’étouffent contre sa bouche.

Lui il parle, radote entre vos baisers et le temps que tu perds à tenter de faire du sens de ses mots, y’a sa main qui franchis la barrière de ton boxer et viens t’arracher un soubresaut de plaisir. Ce genre de plainte qui refuse qu’on s’arrête. T’as raté la dernière sortie avant le pont payant, too bad, tu vas payer. Son sourire carnassier contre ta gorge et tes soupirs qui se perdent au plafond sous ses gestes profonds. Il murmure des cochonneries, auquel tu réponds que quand il te demande si tu veux qu’il continue. Pas envie qu’il arrête, qu’il te laisse là avec le ventre plein de désirs inassouvis. Tu cherches à lui grogner un oui au travers de tes soupirs que tu retiens. T’es pas volubile au lit, tu parles par tes actions. Tu ne demandes pas de permission, n’exprime pas tes désirs. Pas comme lui en fait naître dans ta cervelle avec ses mots qui se languissent. Sa bouche et sa langue qui courent contre ta gorge. Tes mains qui s’activent pour toute réponse. Une qui fait glisser l’élastique de ton boxer jusqu’à tes genoux, l’autre qui tire sur sa nuque pour qu’il vienne embrasser tes hanches, que tu effleures le bord de ses lèvres avec ton membre, avant de l’enfoncer dans sa gorge, ta main sous son menton, pour bien avoir son petit regard affamé de braqué sur toi quand il t’avale. Y’a quelque chose d’affreusement plaisant avec un gars. Quelque chose de fort, d’inépuisable, genre de corps à corps que t’as envie de perdre.

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MessageSujet: Re: (nsfw) hazy memory xFerdie   (nsfw) hazy memory xFerdie - Page 2 EmptyVen 17 Aoû - 23:10



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Il ne cause plus trop, ton Ferdinand. Il se contente de grogner. Devient animal – ne sait pas quoi te dire, surtout. Le dirty talk, c’est un truc. Avec les meufs. Avec les mecs, ça peut vite devenir bizarre. Ça aussi, tu le comprends – ce qui ne signifie pas que ça ne t’amuses pas à mort. Peut-être même davantage encore, qu’avec les filles. Toi, tu causes trop – pratiquement, tout le temps. Alors tu questionnes, tu proposes. Tu goûtes. Tentes et l’astique comme si c’était ta queue. Tu lui montres comment toi, t’aimes ça. Comment tu fais ça, maison. Pas besoin de porno. Pas quand t’es au commande – et il a l’air d’accord, Ferdie. Il grogne. Il remue, mais il ne recule pas.

Alors tu lui bouffes le cou. Tu le marques, sans honte. Il aura qu’à raconter que c’était une fille. Une jolie brune aux lèvres pulpeuses. Le feu au cul. Qu’importe. Parce que là, il répond à tes suggestions. Y’a son sous-vêtement qui glisse, tombe. Disparait. Ça te plait, Luca. Beaucoup. C’est plus facile pour ta main, ton poignet. L’avant bras qui s’acharne à le branler mieux que n’importe quelle nana le fera jamais. Question d’habitude. Question de pratique. Puis y’a sa main, celle qui tire. Qui t’invite à goûter. Fut une époque, t’aurait pas apprécier. La sensation d’être guidé, la main trop possessive contre ta nuque. Pas aujourd’hui. Tu t’agenouilles sans hésitation et là où la plupart des filles ressentent le besoin d’embrasser, toi tu lapes un coup, avant de tout avaler. Pour tester sa taille. Voir si tu vas pas rendre tout ce que t’as avalé ce soir – ce serait quand même con, mais c’est déjà arrivé.
Vaut mieux éviter. C’est un tue-l’amour, sévère.

Le mieux, c’est pas tant que ce soit Ferdinand qui te guide – même si ça te branche bien hein – mais qu’il te redresse le menton. Il réalise qu’un mec hétéro serait incapable de faire ça? Que ça ne l’exciterait pas, de voir sa queue disparaître dans la bouche d’un autre dude? Aucun risque que tu lui dises, pas avant d’être crevé du moins. Non, tu redresses plutôt les yeux sur lui, Luca. Tu braques ton regard dans le sien, un sourire au coin des lèvres, alors qu’il disparaît au fond de ta gorge. Que tu l’avales et le recrache, encore et encore. Jusqu’à ce que ses cils papillonnent. Qu’il faiblisse à son tour. Pourtant incapable de détourner le regard.
Foutrement hétéro, tout ça, Ferdie.

Et s’il a un bref doute, tu lui empoignes une fesse, pour l’enfoncer plus loin. Tu laisses même tes yeux roulés vers le haut – faut pas que tu vomisse, ducon. Faut. Pas.
Ça va, t’as tout sous contrôle et tu t’acharnes encore un moment, avant de le relâcher dans un « pop » qui résonne légèrement dans la chambre. Peut-être parce qu’il n’y a que la respiration laborieuse de Ferdie pour remplir les lieux. T’aurais pu finir Luca – parfois tu vas jusqu’au bout, hein, faut pas croire – mais t’es pas en état de gérer le goût. Pas ce soir. Pas après autant d’alcool. Et puis, t’as bien trop envie de l’embrasser. Et ouais, t’as un peu peur que ça le rebute, si jamais il t’en étale plein la langue et la gorge. Tant pis hein.

Tu remontes contre son corps et avant qu’il ne soit en état de réaliser que tu viens d’abandonner sa sucette, tu l’embrasses. Encore et encore, Luca. Ta main s’enroule à nouveau autour de lui, mais cette fois, tu l’écrases contre ton bas ventre. T’es moins efficace, mais tu sais comment manier deux maillets. C’est pas ton premier rodéo et tu souris contre son cou, celui que tu gagnes en abandonnant sa bouche, ta main accélérant. « … vas-y, jolicoeur… partout sur mon ventre, mn? » Ouais, c’est une invitation. Ouais, ça va te soulager Ferdie, suffit d’essayer.
Putain, tu pourrais faire psy, Luca!
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MessageSujet: Re: (nsfw) hazy memory xFerdie   (nsfw) hazy memory xFerdie - Page 2 EmptyJeu 30 Aoû - 19:49

Tu sais pas quels démons il a foutu en toi, le petit, avec sa langue, au fond de ta gorge. Sauf que par sa faute, c'est au fond de la sienne que tu te perds. Plus rien qui compte, plus rien de grave. Plus de ''tapette'' murmurés par les voix de tes frères, dans ta tête. Non. Ça rien de tapette tout ça, rien de faible. Rien qu'une faim animale qui se soulage comme elle peut. Tu ne te surprend pas à perdre tes doigts dans ses cheveux trop courts, sur sa gorge trop dessinée ou ses épaules trop musclées, sa nuque pas aussi délicate que celles auxquelles t'es habitué. Sa langue plus vorace, sa gorge plus endurante. Tu pourrais facilement t'habituer à toutes ses conneries, surtout dans le noir d'une chambre, comme ça. Là où il est le seul public de ses soupirs qui défoncent la barrière de tes lèvres, te font fermer les yeux, rejeter la tête vers l'arrière, passer ta langue sur tes lèvres avant de revenir à lui et le bâton de dynamite qu'il a entre les lèvres. Celui qu'il relâche avant qu'il ne soit trop tard. (Comme s'il n'était pas déjà, trop tard.)

Ses lèvres encore mouillées qui reviennent contre les tiennes, trop défoncé pour lui en tenir rigueur. T'es juste abandonné à toutes ses nouvelles sensations qu'il vient chatouiller en toi, réchauffer ton ventre encore quand il t'embrasse comme ça, avec sa main qui prend la relève de sa bouche entre tes hanches. Peut-être que tu t'offres un peu trop, mais t'en a plus rien à faire au milieu de la nuit. Tu ne vies plus que pour que vos souffles s'entrecoupent de plaisir, se perdent loin vers le ciel. Demain, on ramassera au sol les morceaux de ce que vous avez bousillés ce soir. Et ça t'excites presque d'avantage les mots sales qu'il vient souffler contre tes lèvres. Tordu entre l'envie d'obéir ou de faire bien pire, tandis que le désir vole tout ton sang, en laisse moins pour ta cervelle. L'envie de te retenir encore un peu, de te perdre un peu plus contre lui. Un autre grognement pour tenter de ravaler ce que tu ne veux pas verbaliser. Tes mains qui courent sur son torse, parce que c'est déjà trop tard. Parce que t'es un garçon un peu naïf, qui pourtant n'a été forcé à rien, même si les promesses on pas été tenues. Tes mains se resserrent autour de lui, presse davantage son corps au tien, sa langue pour délier la tienne et tes baisers qui viennent se perdre en soupirs contre son épaule trop doucement. Remontent à son oreille pour lui dire les mots trop doux que t'osent pas dire.

« Est-ce que j'peux te faire l'amour ?... »

Que tu lui chuchotes timidement, espérant qu'il ne se foutent pas de ta gueule, qu'il ne te rigole pas à la tronche. C'est comme ça qu'on demande, hein ? C'est comme ça qu'on dit, hein ? Hein ? Tu sais plus, t'as plus envie de savoir. T'as juste besoin de tendresse, de douceur, de plaisir, d'un peu de mordant au travers, c'est certain. Juste envie d'oublier ton prénom, jusqu'à ce qu'il le soupir assez fort pour que ça te reviennes et t'endormir contre lui, t'épuiser contre son corps. Dans tout vos mensonges, tout ton déni. Il avait dit que ton cul était hors limite, ce soir, mais il avait pas parlé du sien, hein. Oh que tu n'assumeras rien, demain. Sauf qu'au moins, lui, il se fout pas de ta gueule comme le reste du monde, hein ?

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MessageSujet: Re: (nsfw) hazy memory xFerdie   (nsfw) hazy memory xFerdie - Page 2 EmptyVen 31 Aoû - 22:34



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Y’a sa bouche qui trouve la tienne et tu souris, Luca. Fier. Tellement. Petit con, va.
Il vibre contre toi et tu pourrais le pousser jusqu’au bout, t’en foutre partout sur le ventre – peut-être même l’aider à t’enduire le ventre – mais tu ralentis. Cajole plutôt vos deux sexes ensemble. T’es presque tendre, là. T’y vas doucement, cherchant à le faire frissonner. Encore et encore. Pour qu’il comprenne qu’avec un mec, c’est loin d’être mauvais. Peut-être que tu veux le convaincre, qu’il y a rien de mal à ce que vous faites. Peut-être que t’essaie juste de le tirer dans tes filets. T’y réfléchis pas trop, la faute à sa bouche. À sa faim, vorace, qui réclame tout. Qui donne, tout autant. Brave Ferdinand.

C’est encore meilleur quand il se met à te caresser. Partout. Tu gémis avec lui. Dans sa gorge. Le son résonnant contre ta langue. Jusque sur la sienne. Alors ta main accélère, l’autre s’empare de sa nuque, plus fort. Tire son visage plus près. Jusqu’à ce que tu en puisses plus, Luca. Bordel. Alors tu souffles un juron – t’es pas sur, ça ressemble à un « put-del », donc pas très concluant. Putain. Bordel. Il est les deux, là tout de suite. T’as donc l’intention d’achever ça, vite fait. Bien fait. TRÈS bien fait, même que. Sauf que y’a sa voix, là dans le creux de ton oreille. Non content de presser son torse contre le tien, son coeur qui débat avec le tien, il doit réclamer. Et pas n’importe comment. Non.
Il est timide, putain. Y’a sa voix qui tremble presque. Son ventre qui se creuse contre le tien.

C’est pas du jeu.

T’as jamais sut dire non, Luca. T’es un gars facile. Addict au plaisir. Amoureux de la chaire. Incapable de refuser l’attention d’autrui. Et il faut que jolicoeur veuille « te faire l’amour », un truc que t’avais pas prévu. Un truc que t’as pas fait depuis un sacré bout de temps. Tu baises souvent. Tu défonces même, de temps en temps. Mais faire l’amour, c’est différent – t’es con, mais pas assez pour ne pas savoir faire la différence. Tu sais pas quoi dire. Quoi faire. Il te surprend et tu redresses les yeux sur lui, les lèvres encore meurtries par les siennes. Sa bouche comme une drogue.
Alors t’esquisses un sourire en coin. Pas pour te foutre de sa gueule, non. T’es pas cruel, Luca. Pas souvent, pas sans raison.

Pourquoi faut qu’il soit aussi mignon, hein? À se croire hétéro – belle connerie ça – et à te souffler des douceurs, alors qu’il a le regard qui panique. Du regret plein les cils. Plein la poitrine, celle qui se contracte trop fort. « Okay... » ça le surprend à son tour, hein? Y’a qu’à voir ses grands yeux, ceux à moitié visible dans le noir. C’est sa respiration qui le trahis, celle que tu avales d’un nouveau baiser. Plus tendre, cette fois. Parce que tu comprends le besoin. La nuance.
C’est peut-être la drogue, dans son cas. C’est assurément l’alcool, dans le tien. Et puis la solitude. La chambre d’Ina trop loin. Les conflits qui n’arrêtent pas. L’impossible qui dit s’effacer, cesser de te narguer. À chacun ses démons, ce soir la diablesse n’a pas sa place ici. Pas contre Ferdie.

T’avances donc, pour le faire reculer contre le lit. Qu’il y chute. Tu le repousses plus loin, grimpe à sa suite. Ta bouche revenant encore et encore, contre la sienne. Parce que les gestes valent plus que les paroles, hein Luca – mais pas toujours. Alors tu souffles contre sa bouche : « et comment, tu m’veux, jolicoeur? » Tu glisses à côté de lui, contre lui. Ton corps se moule tout naturellement au sien, tes doigts ayant déjà éliminé les vêtements te restant, avant de le suivre.
Il est foutrement beau, nu contre toi. Sa peau presque laiteuse sous la lune. Tu vas faire poète, Luca – mais faire l’amour, ça te fait cet effet.

Tu te frottes doucement à lui. Attises le désir, sans chercher à le provoquer. Sans le pousser trop loin. Non, t’as fini de jouer la petite pute, là t’essaie d’être l’amant. Plus docile. Tendre. Jusque dans tes baisers, tes dents trainant légèrement dans le sillon – mais jamais longtemps. C’est lui qui a tous les pouvoirs – mais n’était-ce pas le cas depuis le départ? Bien entendu. Mais cette fois, t’es foutrement plus docile. Il te veut sur le dos ou sur le ventre? Tu sais pas trop, alors tu continues de frotter ton bassin au sien – et tant pis si t’halètes de plus en plus fort. Ta main trouve, à l’aveugle, un préservatif et le presse gentiment contre son ventre, alors que tu lui embrasses un bout de mâchoire. « Vas-y... » que tu murmures contre sa peau. « … Prend moi, Ferdinand... »
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MessageSujet: Re: (nsfw) hazy memory xFerdie   (nsfw) hazy memory xFerdie - Page 2 EmptySam 1 Sep - 20:46

Tu réalises que trop tard ta vulnérabilité. Que quand tes mots sont laissés dans le suspend de son sourire qui pourrait bien se foutre de ta gueule. T remettre sous le nez ce qu'on t'as toujours reproché. Cette douceur pas virile, cette tendresse de tapette pas masculine. Parce que les hommes sont que des grosses brutes, pas vrai ?

Okay... Tu clignes doucement des cils. Un peu surpris qu'il ne t'ai pas jugé, comme tout le monde avait toujours fait. C'est fou. Mais avec l'ange, t'as l'impression de pas avoir peur, plus avoir peur, d'être toi, entièrement, infiniment. C'est doux, c'est bon, c'est risqué ; tu pourrais bien revenir t'y perdre, y trouver un peu de bonheur. Là, contre ce lit dans lequel il te pousse, dans lequel tu l'entraîne pour pas qu'il soit trop loin de toi, trop longtemps. Pas trop loin de sa bouche qui vient retrouver la tienne, comme des aimants. Tu commences même à t'habituer, à comment il parle toujours trop. Tu l'acceptes, comme lui, t'acceptes. Arrive à en sourire, le badtrip est loin derrière. Tu sais pas comment tu le veux, tu sais seulement que tu le veux. Son corps contre le tien, pour vous perdre dans les draps. C'est de ça dont t'as envie, te perdre en lui et qu'on ne te retrouve pas, pas jusqu'à tard demain.

Tu crois même que ça t'excites un peu, quand il te murmures d'y aller, de le prendre. Y'a que la capote qu'il te colle contre le ventre qui vient noircir le tableau. Dans ton monde à toi, on peut pas faire l'amour avec un préservatif. Sauf qu'en même temps, il t'a dit d'y aller, non ? Tu le pousses sur le dos, le surplombe, de ta main qui se presse à son ventre. De tes lèvres qui vont se perdre sur sa gorge quand ton corps se frotte au sien. Ta main qui retrouve la sienne, avec dedans, le petit bout de latex emballé.

« On a vraiment besoin de ça, dit ? » Que tu lui souffles en le laissant dans sa main, les tiennent coulant doucement sur ses cuisses pour les soulever, les passer des chaque côtés de ton corps. Une main remontant jusqu'à tes lèvres pour humecter tes doigts, revenir glisser entre ses cuisses. Pas certain que ce soit suffisant, mais bon, tu iras doucement, de toutes façons. Comme tu te glisses doucement entre ses cuisses simplement pour le narguer, attendant d'avoir son accord avant de faire autre chose que lui donner envie en pressant ta chaire à l'embrasure des siennes, sans casque, sans filet, sans rien. Tête première.
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MessageSujet: Re: (nsfw) hazy memory xFerdie   (nsfw) hazy memory xFerdie - Page 2 EmptySam 1 Sep - 22:06



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Y’a pas à dire, allongé contre Ferdie, tu le trouves salement courageux. De vouloir te faire l’amour. Alors qu’il est dans cet état. Alors qu’il se croit hétérosexuel. Alors qu’il ne te connaît pas.
Dans pareille situation, toi tu ne saurais que baiser. C’est pas que tu manques de tendresse, au contraire, mais c’est pas en toi. De savoir donner autant, sans dissimuler. Sans parler. Chuchoter des saletés. Sans jouer, comme toujours, un rôle. T’as peut-être été trop abandonné, pas assez aimé, pas correctement choyé, quand t’étais gamin. Mais le souci est là. Un creux dans ton ventre. Un battement douloureux, sous tes côtes qui s’entre-choque. Ce qu’il fait là, Ferdinand, c’est de s’exposer. Il prend une chance. Et tu comptes pas la lui refuser.
Peut-être que t’es pas le genre de gars qui propose la chose, mais tu ne sais pas dire non. Tu ne veux pas dire non.

Alors tu le laisses te renverser sur le lit, tu retrouves sa nuque. Son crane. T’attire son visage au tien, pour le lui embrasser. Plus longuement, plus salement encore. La tendresse au bord des lèvres, le vice sur la langue. Et t’écartes les cuisses, souris même contre sa bouche, quand il te guide. Quand il te manipule. Qu’il te dévore la gorge de baiser – t’adores quand on t’embrasse la gorge. Manquerait plus qu’il te mordille la pomme d’adam et tu pourrais te mettre à gémir comme une meuf.
Sauf que non, y’a plutôt sa question. Celle qui t’égare l’esprit, qui te force à redresser un regard trouble sur lui, le désir comme des verres mal ajustés. « Mmn, de quoi tu parles? ... » Puis, y’a le préservatif qu’il pousse dans ta main et tu comprends. Un peu. Pas entièrement.
Il déconne, hein? Non, bien entendu.

Tu ne sais plus si ça t’as envie de rire ou de l’arrêter. T’as envie de lui, c’est clair. T’es au garde à vous, tu risque même de lui crever un œil, s’il se penche trop – attention, jolicoeur – mais t’es pas assez égaré dans les brouillards du besoin, pour ne pas comprendre. Pour ne pas réaliser que c’est une belle connerie. « T’es sérieux, bébé? ... » que tu souffles tout bas, de l’hésitation dans la voix. Parce que tu ne veux pas l’effrayer. Parce que tu ne te moques pas. Mais qu’il est hors de question que tu le laisses s’enfoncer en toi sans quoi que ce soit. T’es peut-être un mec facile, t’es quand même un minimum prudent et réaliste. T’évite les maladies. De les choper et de les refiler. C’est pas contre lui. C’est juste pour toi.
Y’a d’ailleurs ses doigts, qui glissent contre toi. Qui étale sa salive partout et tu souris un peu. Attendris – ouais, ça arrive parfois – par tant d’innocence. Tant de candeur. Après, c’est pas si tu l’avais beaucoup aidé hein. Aller, tu tires sur un tiroir et y trouve le lubrifiant. Un tube que tu laisses tomber contre ton ventre, alors que tu te lèches les lèvres. Parce que même si tu vas devoir calmer ses ardeurs, t’en as envie, Luca. Très envie.

« Ta salive suffira pas, jolicoeur… mais avec ça, tu vas nous faire voir des étoiles... » Tu remues un peu le bassin contre lui, parce que t’es joueurs – et un peu con, vu le danger possible quand même. Qu’il y aille franco. Qu’il plonge sans plus d’inquiétude. Sauf que non, il veut faire l’amour, pas te baiser. Alors, ouais, ça te rassure. T’as du temps. Celui de te soulever sur un bras et de retrouver sa bouche, alors que ton autre main lui installe son casque. La capote, elle reste, Ferdie chéri. Tu sens bien son hésitation, peut-être même sa déception? Mais tu pousse le latex jusqu’à sa racine et tu frottes gentiment le bout de ton nez au sien, vos bouches avalant un peu d’air – pour changer. « Désolé, bébé… on a vraiment besoin de ça. » Ça vaut mieux, oui. En attendant, tu t’assures qu’il ne soit pas trop déçu. Tu retombes doucement sur le dos, non pas sans un dernier baiser, puis tu t’occupes du tube. Tu t’assures que tout soit bien glissant. Tu le branle même un bon coup, avant de le relacher et d’étaler le surplus sur tes doigts, contre ta peau. Celle qui palpite déjà. Celle qui se contracte. « Vas-y, jolicoeur... » et il a intérêt a t’embrasser à mort.
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