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 cold blue night.

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MessageSujet: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 3:58


nephtys mercant
(quarante-neuf années - antaris - monica bellucci)
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› identité: Nephtys, fille bien honorée dans un cocon aux senteurs des femmes. Enfant à la banalité absurde, transpire un silence étrange, muse des abysses où se perdent les démons qui se taisent douloureusement. Nephtys qui ne porte en prénom qu’une vaste traîtrise, grenade sur le point de dégoupiller à chaque seconde qui tombe en marteau accusateur. Autrefois, un nom qui rimait avec le bonheur s’accrochait au sien, vite gommé par la douleur, ce n’est que récemment que son nom de jeune fille juvénile s’est recollé au sien, vieille malédiction lui rappelant son union gâchée, amour péremptoire, idylle plus si divine, elle redevient une Mercant, du fer dans les doigts et dans l’âme, des femmes de poignes qui n’ont que fierté et ambition, plus de traces pour les déboires amoureux que Nephtys a si bien gâchée.  › âge, date de naissance: Née à l’aube, Nephtys en est à celle de sa moitié de vie, quarante neuf-ans de fêté avec encore un peu d’amertume, saupoudré des rires des amis qui restent, noyé dans le champagne et le vin. C’est un 25 octobre 1969, nourrisson perdu dans les bras robustes d’une femme qui ne pensait qu’à son avenir.› signe astrologique: scorpion, du venin au bout des lèvres carmines et assassines, être de luxure qui pourtant ne se laisse caresser que par la glace.  › lieu de naissance, origines: San Diego, dans l’état de Californie, gorges chaudes, du bleu pour paysage et une effervescence inépuisable. Nephtys porte les traces d’une belle égypte, des vagues d’une langue apprise par cœur traînant parfois au fond d’un timbre rauque, le reste n’appartenant qu’à l’amérique, la pure, la belle, la fière. › emploi, études: Entité de Justice, Thémis brandissant l’épée et la balance, dézinguant les coupables depuis des années, quelques rares procès perdus, avocate à la réputation de requin, Nephtys a longtemps dégainés les armes face aux crimes, les découpant sans vergognes, assoiffée d’équilibre jusqu’à ce qu’elle soit celle que l’on doit défendre, victime d’un enfant arraché, devenu poussière puis souvenir mais toujours bien réel en son sein. › orientation sexuelle: Nephtys n’a aimé que peu d’hommes, obstinée, aveuglée, elle n’a mit que trop de temps à se pencher sur ses désirs qu’elle a longtemps refoulée, prisonnière des diktats d’une éducation rigide. Nephtys n’a soupiré aux lèvres que d’un seul homme, précisant son chemin que dans une seule expérience qui s’est mal achevée. › statut civil: Idée mûrement réfléchie, suicide d’un mariage qu’elle a trop aimé, resté accroché à la même personne depuis trop d’années. Elle est amère Nephtys, tellement amère que le goût de la défaite lui traîne encore sur la langue. Divorcée, elle est femme abandonnée, mère plus qu’à moitié, moins épouse depuis des années.

› traits de caractère:Reine déchue, aucun trône sur lequel s’asseoir, Nephtys c’était l’ambition pure de la réussite, le carcan de l’autorité pour seule langage, un beau merdier au fond de la tête qu’on tait. Elle glissait dans son existence, heureuse parce qu’il faut l’être et sans malheurs, prête à vivre comme une femme de pouvoir, alléchée seulement par l’envie d’être quelqu’un aux yeux d’une mère et d’une grand-mère qui avaient tout accomplies. Femme à la culture débordante, elle déblatère sur tout et n’importe quoi, véritable passionnée de son travail et du monde, amoureuse de l’humain et de sa psychologie aux facettes infinies. Nephtys était la beauté qu’on observe avant de saisir tout l’esprit qui la façonne et qui pouvait captiver. Débordante d’imagination, elle se plaisait aux histoires qu’on raconte, aux poésies qu’on chante - peut-être un peu mal- , aux faits réels qui font trembler quelques fois. Elle était terrible de vie, belle en étant vivante

Et maintenant … du feu dans les tripes, elle n’est qu’un cratère qui demande à vomir sa lave, déchantant peu à peu. Un drame éclate et l’esprit est dépeuplé de toute raison. Nephtys autrefois rationnelle devenue une boule d’obsessions, rien que son être aimé au creux de la tête, sa fille pour seule motivation. Mère passionnée et passionnelle, elle est vite devenue avide d’amour et tendresse avant qu’on le lui arrache trop brutalement. Si elle se pensait quasi invincible, incapable de ressentir, bloquée dans un bonheur linéaire, elle se découvre être capable de faiblesses et affreusement fêlé. Elle s’effrite sans même qu’on le voit venir, bâtissant un roc devant son corps striés de plaies multiples. Calme et réfléchie, elle part parfois en délire irraisonné, l’émotionnel pour seul talon d’Achille, là où même un mot peut la faire imploser dans un silence pesant. Pas de larmes, rarement de cris, c’est une avalanche trempée du néant qui s’écroule en elle à chaque jour qui passe. Nephtys qui, simplement humaine, supporte autant mal la faiblesse d’esprit de l’autre que celle qui lui est sienne, rejetant ses propres craintes sur les autres, elle devient presque lâche et égoïste. Ce n’est que l’amour maternel qui tient son corps debout, qui donne à son âme l’oxygène nécessaire, elle n’existe qu’à moitié, oubliant que ses rires sont mécaniques, ses sourires moins profonds qu’avant, des sillons âpres creusant sa peau d’opale, elle est la destruction en un seul corps.

( la tête tournée vers les étoiles )
(ÉPHÉMÈRE) Il n’a suffit que d’un coup de lame pour tout déchirer, pour empoisonner son existence paisible et le commencement d’un bonheur prématurément éclipsé par la douleur. C’est en pleine rue qu’on lui a arraché sa fille. Nephtys peut parfois encore sentir la chaleur de sa tête contre sa poitrine, son odeur de bébé et l’atmosphère de joie qui planait autour d’elles. La soie de sa robe d’été collée à son corps, la désagréable sensation de la transpiration qui rendait sa peau moite, sa frustration de ne pas avoir la main de son mari au creux de la sienne mais tout était aspiré par la présence de sa fille. Ce jour-là, elle s’est forcée à sortir, à traîner son corps ankylosé du manque de sommeil loin de son appartement où le soleil tapait si fort que les ventilateurs ne suffisaient plus à rafraîchir qui que ce soit. Ryker absent, toujours, encore, Nephtys a fini par se laisser noyer dans la marée de touristes d’une grande place, un sourire de femme comblée au bout des lèvres, comme fière de faire découvrir le monde à son enfant, un présent qu’elle aurait pu appeler Miracle si elle avait été seule à choisir. Ce fut une longue bataille dans le choix du prénom, une croisade mené contre son propre mari, sans rancune, un jeu distillé dans le quotidien, par listes qui finirent par se déchirer pour ne laisser venir qu’un seul prénom qu’elle n’ose plus prononcer à présent.  Nephtys se la rappelle tellement clairement, lovée contre elle, vivante, sa respiration d’enfant plus rapide que la sienne, ses cheveux bruns dont les boucles caressaient sa peau, une enfant endormie, indifférente aux circuits des corps autour d’elles. Et brutalement des mains intruses ce sont immiscées entre elles, l’enfant arraché du corps de sa mère, des hurlements et Nephtys qui les entends encore, symphonie d’horreur,  les pleurs hystériques de sa fille, de la brutale douleur au creux de ses reins mais son esprit toujours concentré sur l’enfant qu’on lui arrache sans qu’elle ne comprenne pourquoi. Puis ses doigts à elle, s'agrippant au visage d’un des agresseurs, sa rage naissante, grouillante au fond de son estomac, le monde en pause et la chaleur de la haine remontant le long de son bras pour laisser son pouce s’enfoncer dans l’orbite creux d’un oeil qu’elle a senti éclater sous la pression. Un coup à sa tempe couvert par les hurlements de son agresseur, la chute et l’obscurité embarquant brutalement sa fille dans une foule qui n’a jamais bougée pour les sauver.

Elle s’est éveillé au fond d’un lit aux draps qui démangeaient sa peau, la panique au bord des lèvres, incapable d’assimiler la réalité avec l’impression que tout n’était qu’un cauchemar aux méfaits stupidement réels. Pourtant, à présent, trône au bas de son dos les stigmates de cette journée noircie par l’enlèvement de sa fille, rendant ça plus réel que jamais. Un rein en moins mais surtout un enfant dont l’absence a tout brûlée. Les flammes ont consumées peu à peu son corps, son âme pour ne laisser que l’obsession délirante d’un jour la retrouver, voir son visage de petite fille enfin formée, savoir si ses yeux sont toujours aussi noirs que ceux qu’elle avait à l’époque, quel est le son de sa voix. Tout estu n mystère cruellement pesant, des détails lacérant à chauqe minutes son existence.

(L’ONYX) Enfance aussi paisible que possible, avec un fond de dominance féminine dans laquelle elle a baigné  ans, pleinement jusqu’à ses 17 ans où elle a finit par quitter le nid de velours dans lequel elle a grandit. Un père toujours présent, plus présent que sa mère dont le parfum oscillait entre celui des gitanes qu’elle enchaînait, son parfum au patchouli, les couleurs de ses lèvres carmines, sa taille fine cintrée dans un tailleur bien coupé. Sa mère était une femme de poigne, asservissant un peu trop son mari qu’elle aimait pourtant d’une tendresse qu’enviait Nephtys de loin. Elle doutait d’un jour pouvoir croiser le même regard coloré d’amour, sentiment qu’elle observait comme on observe un paysage sans savoir si il nous rend heureuse, nostalgique, triste, tout à la fois.

On faisait peser sur elle tant de choses. On lui disait de rester digne, grande et d’envoyer valser la beauté car elle ne servait qu’à se soumettre aux mauvais diktat. Rien ne devait plus compter pour elle que son avenir. Rien d’autres. Nephtys avait le mot “réussite” placardé partout dans son esprit d’enfant alors elle s’y est attelé, perdue dans son mutisme parfois inquiétant, intriguant. Elle était la brune à la beauté gâchée par de trop grosses lunettes, à l’accent d’un pays lointain, aux sourcils parfois trop froncés pour une raison qui échappait à son entourage. Elle était d’une sagesse qui l’effaçait bien trop jusqu’à ce qu’elle gagne en taille, en aisance, l’adolescence la façonnant dans le granit d’une assurance qui a finit par agacer. Elle n’était l’ennemie de personne sans pour autant être l’amie de quiconque. Elle a traversé son adolescence en ne gardant en tête que le fait qu’elle devait devenir quelqu’un. Résonnaient en elle les phrases de sa mère, d’une grand-mère aussi coriace que sa fille, la saupoudrant de mots qui récitaient les mêmes chansons, des mélodies parlant d’indépendance, de l’absence des hommes dans une vie qui n’est pas si grave, de la fore que chaque femmes ont en elles sans réellement s’en apercevoir. Des diamants bien cachés au fond du corps encore entouré de leurs pierres noires. C’était à elle de trouver son diamant, de l’exposer et d’en faire son pouvoir.

(VENTRICULE GAUCHE) Elle est tombée brutalement Nephtys. Elle ne l’avouera jamais, trop fière Nephtys, trop orgueilleuse pour avouer que son coeur s’est tout de suite crispé sous le regard de celui qu’elle a finit par épouser pour mieux s’en séparer. C’est arrivé bien tard dans cette vie paisible, sans accrocs mais si plate qu’elle en finissait par s’y laisser glisser, roulant sur une route dans nid-de-poule, sans bosses sur lesquelles trébucher. Ryker a porté le nom de la marche qu’elle a ratée, où elle s’est violemment fracassé. Elle l'a d'abord haï de faire soupirer son coeur de battements stupides, de la rendre ivre sans avoir bu. Nephtys distraite, elle, qui n'avait jamais déviée de son droit chemin. En pleine étude de droit, elle se rappelle toujours cette période que tant d'autres traversent, où le garçon gangrène nos habitudes, nous poussent aux bêtises les plus idiotes, où étudier devient un fardeau car on préfère réfléchir et soupirer après ce qu’elle pensait être un fantasme. Parce qu'il ne l'a pas regardé, pas tout de suite. Nephtys qui ne connaissait rien d’elle, rien de son corps, rien de ses désirs, qui a tout connu si tard, oubliant les lèvres contre lesquelles elle s’était posée dans des soirées trop arrosées, qui ne comptaient pas car ils ne recelaient d’aucuns sentiments partagés. Certaines filles de sa promo la considéraient comme frigide, elle a finit par y croire, par se convaincre qu’elle était faite de glace et d’indifférence envers le reste du monde, un corps moulé dans un iceberg l’empêchant de connaître ce qui faisaient tant parler les gens qui l’entouraient. Elle avait toujours été spectatrice du bonheur des autres jusqu’à connaître le sien, jusqu’à le chérir beaucoup trop fort, à l’enfermer entre ses mains, un cadeau jalousement gardé, devenu la femme qu’on regardait avec amour. Amour vite cassé, vite écrasé. L’enfant perdue a tout écrasée, faisant fondre un mariage qui a duré assez longtemps pour qu’il s’ajoute aux nombreuses plaies qu’elle se traîne encore, sans sourciller.

(OXYGÈNE) Source de vie ou vicieux poison, Nephtys a ses secrets. Sombres, collants, s’amourachant de son âme déjà bien noircie. C’est ce qui catalyse ses douleurs, qui fait d’elle une faiblarde dans les moments où les souvenirs et l’impuissance la font suffoquer, où elle se refuse à la réalité, s’enroulant dans l’ataraxie que lui offre la morphine. Une piqûre et une autre, elle est une accro à l’endormissement que ça lui procure, au vide que ça laisse derrière chaque injection. Parfois son corps s’étend à même le sol, dans une obscurité parfaite, dame blanche aux cheveux se confondant avec les ombres, laissant l’orgasme silencieux lui secouer le corps, ralentissant les battements de son coeur, la laissant oublier la brûlure sans cesse présente qui lui grille les neurones, suturant un instant les maux qu’elle n’exprime jamais à voix haute. Tout est vomi dans des mots qui sous-entendent, qui piquent là où il faut mais l’empêche d’expulser ce qu’elle ressent réellement, d’être honnête avec elle-même, avec ses faiblesses qu’elle refuse d’accepter tout en continuant de se tuer sans que personne ne le sache.


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› prénom, pseudo: plastic dreams. › pré-lien, pi: inventé. › fréquence de connexion:souvent ça rime avec h24 chez moi. › le mot de la fin: faites place à la doyenne cold blue night.  106783386

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Dernière édition par Nephtys Mercant le Dim 5 Aoû - 16:37, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 4:00

TOUS AUX ABRIS, la tortionnaire est là cold blue night.  1518070010
je suis pas d'accord déjà, tu crois que ma vie est pas déjà assez nulle ? cold blue night.  3944862655
en tous cas t'en restes pas moins bonne, c'est dégolass, comment je vais m'en trouver une à ton niveau cold blue night.  3832001794 /plonge un peu plus dans l'alcool

non mais ça va, je dec
cold blue night.  3569472024
arrête d'être parfaite maintenant, j'me sens pas à la hauteur
cold blue night.  817247933


Dernière édition par Ryker Diaz le Mar 31 Juil - 4:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 4:00

OK T JOULIE
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 4:03

trop laide putain cold blue night.  3832001794
En plus t'es vieille
J'suis sur tu pue le Shalimar cold blue night.  3832001794
Mais j't'aime un peu
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 4:10

cold blue night.  1834130212 cold blue night.  1834130212
t'as pas besoin d'un pool boy ? cold blue night.  3471968495
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 4:13

ah bah t la toi cold blue night.  877492073
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 5:11

@ryker diaz euuuh tortionnaire dis donc cold blue night.  1518070010
je ferais pas de mal à une mouche ça se voit cold blue night.  3471968495
j’avoue, bon courage pour me remplacer une chieusd comme moi, est-ce que ça existe seulement ? cold blue night.  2572365145
mais toi aussi beaucoup trop beau cold blue night.  2028387507
qui va remplacer mon tchoin d’ex mari ivrogne cold blue night.  1518070010 (et qui fait des vidéos chelou cold blue night.  3471968495)
t’es largement à la hauteur, on va envoyer du lourd cold blue night.  2652255013

@vivi margoton mais toi t’es plus jolie encore bbchou cold blue night.  580860048
merci beaucoup et j’rep à ton mp vite vite cold blue night.  3125262835

@janis black EUH ON S’CONNAIT ? cold blue night.  1518070010
et toi tu pues les frites cold blue night.  2602734217 (ouais j’avais pas mieux comme insulte)
bon si tu m’aimes bien ça va alors cold blue night.  2572365145 cold blue night.  2401304177

@cash nichols ah bah si justement cold blue night.  106783386
elle a une grande piscine qu’il faut nettoyer très régulièrement cold blue night.  3471968495
elle lui apportera de la limonade pour le rafraîchir cold blue night.  2572365145

@junior collins oui j’suis là cold blue night.  877492073
tu veux pas être mon fils ? cold blue night.  2572365145 #weird
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 5:21

Nephtys Mercant a écrit:
@cash nichols ah bah si justement cold blue night.  106783386
elle a une grande piscine qu’il faut nettoyer très régulièrement cold blue night.  3471968495
elle lui apportera de la limonade pour le rafraîchir cold blue night.  2572365145

tranquille, il nettoie même les gouttières cold blue night.  3352139199 cold blue night.  3352139199
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 5:51

nephtys en train de chercher sa fille, je la vois comme ça :

dsl faut pas se moquer du malheur des autres :(  :

t'es beaucoup trop belle
ta plume est magnifique
nephtys est génial et en plus c'est un prénom magnifique
hâte qu'ezra lui change les idées avec son... pinceau cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644 cold blue night.  3430721644
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MessageSujet: Re: cold blue night.    cold blue night.  EmptyMar 31 Juil - 7:19

ptdrrr vu comment a fini ta fille?
non merci
cold blue night.  2517975244 cold blue night.  2517975244
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