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 ava; écorchée vive..

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MessageSujet: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 4:15


avalon lacroix
(22 ans - antaris - gigi hadid)
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› identité: je suis une lacroix, ce n'est pas que ce nom me déplaît mais... je n'irai pas non plus dire le contraire. à côté de ça, mes parents ont eu la bonne idée de m'appeler avalon, mais pour une question d'esthétique, vous vous arrêterez à ava, en vous remerciant par avance de votre gentillesse. › âge, date de naissance: j'ai 22 ans mais dans la tête, je sais que j'en ai bien plus. j'ai plus de vécue et de maturité que la plus âgée de tes amies. selon mes parents et mes documents officiels, je suis née un certain 2 décembre 1995. › signe astrologique: je suis sagittaire, le 3ème signe de feu et le meilleur des signes. pour une fois, ce n'est pas moi qui le dis. › lieu de naissance, origines: je suis née ici, je suis d'ici je n'ai jamais quitté ces lieux si ce n'est pour voyager. c'est mon chez-moi, mon foyer, une partie de moi. › emploi, études: j'ai toujours fait des petits boulots, jusqu'à ce que je trouve celui qui fera battre mon coeur. actuellement, je bosse comme secrétaire, avec ma grande soeur léo, dans son garage. elle-même sait que la mécanique, ce n'est pas pour moi, alors elle m'a proposé le seul poste vacant qui ne me ferait pas mettre la main dans toute cette crasse de voiture. › orientation sexuelle: mon coeur n'a aucune préférence et c'est pas plus mal  › statut civil: l'amour vrai, l'amour sincère ou l'amour trafiqué, ça fait mal... reste loin de moi !

› traits de caractère: calme et compréhensive, contient tout en elle, jusqu'à l'explosion – déterminée, elle n'abandonne pas malgré les obstacles – franche, elle ne supporte l'hypocrisie et les mensonges – directe, elle préférera toujours la vérité, même si cette dernière peut-être blessante – susceptible, cela ne l'empêche pas tout de même d'avoir un cœur, des sentiments et des émotions – sensible, elle ne supporte pas voir les gens autour d'elle souffrir – empathique – lunatique, compliquée, une minute ce sera blanc, la seconde d'après ce sera gris, puis noir – maladroite mais elle se soigne de ce côté – fragile et en constante réparation – fidèle et ne supporte pas les personnes volages – jalouse en amitié comme en amour – perfectionniste, elle n'abandonne pas tant que sa tâche n'est pas exactement comme elle le souhaite - rancunière, sa vengeance peut être fatale.
elle a du mal à aimer, que ce soit en amour ou en amitié, elle a peur d'avoir mal. elle a tout le temps peur, de tout et surtout des êtres humains. elle a beaucoup trop souffert pour leur faire confiance aveuglément ou pas. mais une fois qu'elle fait confiance, sous cette carapace, on découvre une ava folle, insupportable à ses heures perdues, une vraie pile électrique, tout le temps en train de chanter, parler, danser, faire des blagues qui ne font rire qu'elle mais elle s'en moque, du moment qu'elle rit. elle garde tout ce qu'elle ressent en elle. elle se fiche de souffrir, du moment que les autres autour d'elle vont bien. elle accumule, jusqu'à ce qu'elle t'explose en pleine figure. ava c'est ça... les autres passent avant elle mais il ne faut pas abuser de sa gentillesse...

( la tête tournée vers les étoiles )
tu étais de ceux que je ne regardais pas. de ceux à qui je n'adressais même pas un regard de politesse. on travaillait ensemble, je te voyais, tu étais dans mon champ de vision, mais je t'ignorais.. matinée intensive, journée éprouvante, press pause, l'heure de respirer l'air frais du parking du centre commercial, l'heure d’apporter de la merde à mes poumons, d'aspirer la fumée nauséabonde, et pourtant si bonne, de la clope.. j'étais avec elle, mon amie, mon binôme dans cette entreprise qui fait quotidiennement de nous ses esclaves. tu t'es approché de nous, l'air timide du haut de ton 1m... 90 ? je ne saurai dire, je sais juste que tu es haut perché, ta couleur ébène.. tes écouteurs vissés à tes oreilles, tu vivais en musique, mais tu les avais enlever pour vaincre ta soi-disant timidité afin de t'adresser à nous. tu étais à sec, rien pour te tuer à petit feu, alors tu nous as demandé de gentiment te dépanner. dans un élan de bonté inhabituelle je t'en sors une de mon paquet et tu nous remercies en te présentant. si seulement tu avais juste tracé ton chemin après avoir eu ce que tu étais venu chercher, je n'en serai pas à vouloir t'éviter à tout prix aujourd'hui, pour ne plus avoir à sentir mon coeur se briser en petit morceau en voyant le mec que tu es réellement.. les jours ont suivi.. tu es resté avec nous, on ne sait pour quelle raison. par habitude sans doute.. et tu as commencé à faire partie de mon cercle restreint d'amis. nous étions trois. 2 filles, 1 garçon. avec toi en plus, le compte était bon. le groupe avait son équilibre parfait. 2 filles, 2 garçons.. ta fausse gentillesse, ta fausse timidité, ce côté attachant et câlin que tu avais m'ont fait apprécier ce type que tu étais et j'ai fini par te trouver attirant.. attachant alors que tu n'es absolument pas mon type d'homme.. qu'est-ce qui m'a pris de me jeter dans la gueule du loup... ?

tu es resté à mes côtés, tu es devenu ma cible dès cet instant clef où tu as tiré sur ce long stick incroyablement bien chargé et roulé, dès que la fumée a fait de ce salon peuplé et de nos cerveaux un aquarium. on est resté deux heures à rire, à parler. toi et moi. il n'y avait plus personnes autour. ils l'avaient tous remarqué.. sauf nous. deux idiots.. ou deux malins. qui a été le plus malin dans toute cette histoire chéri ? je passais mon temps dans tes bras, à respirer l'odeur de ton parfum, à me protéger de ce froid hivernal, glacial.. tes mains passaient leurs temps à parcourir mon corps. tes mains glaciales. de toute façon, tout ton corps est froid. tout ton corps l'a toujours été. comme si tu étais la mort en personne.. les allusions ont commencé. on se cherchait.. tu me cherchais, je t'ai suivi mais je ne t'ai pas trouvé. elle t'a trouvé sans avoir besoin de te chercher, sans avoir besoin de te courir après, sans avoir besoin de te connaître par cœur, sans avoir besoin d'être là pour toi. mon cœur s'est fissuré à cet instant. actuellement ? Je le fais tenir avec du scotch. tu sais, ce scotch bon marché qui ne cesse de se décoller ? ce scotch que tu continues de plaquer à nouveau, constamment.. au lieu de le changer ou de recoller cet objet cassé ? vous vous embrassiez, vous vous gobiez la bouche sous mes yeux, sans gêne aucune. tu te retournais vers moi avec un sourire énorme sur le visage quand elle s'en allait. son rouge à lèvres recouvrait le contour de ta bouche. tu étais heureux, j'étais heureuse pour toi, triste pour moi. je te souriais mais j'avais mal dans le fond et je te demandais d'essuyer les traces de ton échange de salives avec cette femme. les jours sont passés, tu as recommencé à me toucher et dans un élan de faiblesse, je t'ai laissé faire mais je ne comptais pas aller plus loin. je n'étais pas ce genre de femmes. je ne comptais pas manger dans le même plat qu'une autre. tu l'as compris, ou peut-être pas, mais tu m'as lâchée, que se soit amicalement ou physiquement. tu es allé chasser ailleurs. monsieur avait pris du galon. il avait pris sur sa soi-disant timidité et touchait à tout. tout ce qui était du sexe opposé au sien, puis une fois ton affaire faites, ou que ces filles te rejetaient, tu revenais vers moi. j'étais ta petite chose. tu savais que quelque part, tu m'avais à tes côtés, tu me possédais. je te pardonnais, je te laissais revenir malgré toutes ces semaines où je n'étais qu'un fantôme pour toi. j'ai été si naïve car, tu as recommencé de plus belles. tu recommençais sans arrêt..

tu la trompais avec tout ce qui était à ta portée. même si tu ne l'avouais pas, je le savais. je te connaissais par cœur. je pouvais en mettre ma main à couper. une année est passée, une année de manipulation mentale. t'avais une putain d'emprise sur moi mais elle en avait une puissante sur toi aussi. elle t'a changé. t'avais l'air plus sérieux, plus heureux, plus apaisé, t'avais des principes, des croyances.. bullshit ! laisse-moi rire. j'étais enfin ta cible, malgré ce que tu disais. malgré que tu disais me respecter, malgré que tu disais qu'il n'y aurait jamais rien entre toi et moi, malgré ta petite amie... j'ai scotché à nouveau mon cœur et j'ai sauter les yeux fermés dans tes bras. encore une fois, pourquoi ? mais je me suis laissée aller à ça, à nous. je t'ai fait confiance à nouveau. je t'ai laissé poser les mains sur moi, mes amies ne t'aimaient pas parce que t'avais fait de moi une loque par le passé, alors je me devais de leur mentir quand on se parlait, quand tu m'as invité à sortir après le boulot, quand t'as réussi à me foutre dans ton pieu. j'étais devenue de ces femmes que je ne supportais pas, j'étais devenue une putain d'hypocrite, une menteuse, une voleuse, mais je t'avais eu et c'était plus jouissif que tout le reste, que l'acte en lui-même. j'avais eu ma cible, je me réconfortais en me disant ça. je me cachais à moi-même le genre de femme que j'étais devenue par ta faute. je t'aimais et je te détestais. je me détestais aussi, mais je recommençais. j'en voulais plus. je voulais rattraper cette année de souffrance.

j'étais devenue ta numéro 2, la side chick. tu m’entraînais dans tes merdes et je te suivais sans broncher. elle était exemptée de tout ça elle. c'était la femme, c'est la femme.. je n'étais que celle qui ressortait le démon qui sommeillait en toi, celle qui te poussait à mettre tes principes et tes convictions de côté. celle qui était présente lors des contrôles de police, celle que tu touchais dans un coin, loin des regards de nos collègues et amis, elle était celle qui dormait avec toi, celle que tu présentais à ta famille, qui pouvait fêter ton anniversaire avec toi. mais j'étais avec toi et ça me plaisait. je n'étais pas du genre romantique, ce qu'on avait me plaisait dans un sens. j'avais peur de l'engagement et avec toi il n'y en avait pas. Il n'y avait rien entre toi et moi dans le monde du commun des mortels. De toute façon, il n'y avait que nous qui étions au courant de tout cela. mais tu as fini par te lasser. Tu finis toujours par te lasser. tu n'aimes pas les Hommes, tu l'as toi-même dit alors t'en séparer, les jeter, t'en servir, les jeter à nouveau, ça ne te pose aucun problème. j'ai eu mal, très mal, mais tu m'as fait comprendre qu'il serait très égoïste de ma part de te détester, de ne plus t'adresser la parole.. alors j'ai continué à être ton amie, ta confidente que tu prenais et jetais comme bon te semblait. mais dans le fond, je te détestais bel et bien. je ne pouvais plus regarder mon reflet, où que ce soit. je ne pouvais et ne voulais plus te voir. je pleurais sans arrêt, je voulais que tu souffres autant que je souffrais, mais tu étais heureux. les jours passaient et je n'obtenais pas ce que je voulais. je ne savais même pas comment faire pour l'obtenir d'ailleurs. tu m'as rendu folle, dans tous les sens du terme et ce jour là fut la fois de trop. elle est venue te rendre visite au boulot, elle ne te trouvait pas alors elle s'est approchée de moi. j'étais ta meilleure amie selon tes dires donc j'étais la seule qu'elle connaissait. le temps que tu réapparaisses, j'en ai profité pour discuter avec elle. elle se ventait d'avoir un homme parfait, qui n'aimait qu'elle. si je comprenais bien ce qu'elle me disait, tu lui racontais tes journées le soir venu. apparemment, les filles te couraient après et toi, tu riais en les envoyant chier sur le côté. quel beau menteur tu faisais ! ce jour là, nous avons elle et moi échangé nos numéros... j'avais tant de choses à lui raconter à cette pauvre fille. elle ne se doutait de rien... j'ai pris le soin de lui conter toutes tes histoires, tes tentatives, toutes les femmes que tu ramenais on ne sait où pour t'envoyer en l'air avec puis, je lui ai raconté ta plus belle histoire... la notre ! je ne sais pas ce qu'il s'est passé entre vous après cela. je me souviens que tu es arrivé chez moi, célibataire et en colère. tu as frappé violemment à ma porte, tu étais soûle, défoncé et en colère. je t'ai ouvert la porte avec la boule au ventre et tu m'as attrapé violemment le bras en claquant ma porte d'entrée avec la main qu'il te restait de libre. tu m'as plaquée au mur en me demandant des explications. je souriais, bêtement, je me disais que tu ne me ferai aucun mal et que ma vengeance avait été parfaite. c'est ce même sourire qui t'a fait vriller. tu as serré mes bras tout fins entre tes grandes mains jusqu'à ce que j'ai la sensation que tes doigts transperçaient ma peau. j'ai hurlé, balancé mes pieds où je le pouvais mais tout ce qui coulait dans ton sang t'avait donné une force dont je ne connaissais pas l'existence auparavant. est-ce nécessaire de raconter comment tu as pris mes parties intimes pour acquises en t'en emparant sans mon autorisation ? tu étais l'une des seules personnes de mon entourage à savoir que cela m'étais déjà arrivé durant mon adolescence et cela ne t'a pas empêché de me le faire vivre à nouveau. j'avais réussi à surpasser tout cela et tu m'as détruite à nouveau. tu t'es endormi comme une merde sur mon canapé après en avoir terminé avec moi mais pour ma part, j'étais loin d'en avoir fini avec toi... on a tous une part d'ombre enfouie en nous, une histoire cachée, qu'on ne peut pas raconter. cette histoire, ces trafics d'armes, je la gardais pour les lacroix, pour ma famille et moi. pendant que tu dormais paisiblement, j'ai pris cette arme posée tranquillement dans le tiroir de ma table de chevet et j'ai attendu là, par terre, en pleurant aux pieds du canapé que tu te réveilles. tu as ouvert les yeux et les souvenirs ont eu l'air d'apparaître petit à petit dans ta tête. tu t'es confondu en excuses mais je ne voulais plus entendre quoique ce soit sortir de ta bouche. ça rentrait par une oreille et ça sortait par l'autre... je me suis levée et me suis posée sur tes cuisses à califourchon, j'ai pris ta tête délicatement pour la placée contre ma poitrine. tu devais aimer cet instant, tu devais penser que je t'avais pardonné, mais non. les larmes ont arrêté de couler, il n'y avait plus aucune expression sur mon visage. j'étais froide, sans émotion, sans sentiments, sans âme... « chuuut... », voici le seul mot qui est sorti de ma bouche avant que je ne m'empare de l'arme et que je ne presse la détente et que la balle n'atterrisse dans ton crâne... Aujourd'hui, je remercie la vie de me permettre de me tenir devant toi, devant ta pierre tombale et de pouvoir vider ma peine, ma colère... ma joie...

Repose en paix chéri...



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› prénom, pseudo: je m'appelle mélanie, et pour le pseudo, j'ai choisi quelque chose de très joyeux; .poison › pré-lien, pi: oui... mais non ! › fréquence de connexion: je passerai aussi souvent que possible, voire tous les jours › le mot de la fin: la bise.

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Dernière édition par Ava Lacroix le Dim 5 Aoû - 7:24, édité 8 fois
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 4:34

MAAAAAAAIS
GASPAAAAAA
j’suis trop trop heureuse ava; écorchée vive.. 1465298122 (genre ça s’voit pas)
par contre c’est vide là oh ava; écorchée vive.. 1518070010
grave hâte de voir ce que t’as prévu
et qu’on se croise la plume ava; écorchée vive.. 106783386
bon on peut clairement dire que les lacroix sont bg as fuck ava; écorchée vive.. 3471968495
bienvenue ici en tout cas ava; écorchée vive.. 3125262835
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 4:50

la plusse belle ava; écorchée vive.. 4123785764 ava; écorchée vive.. 4123785764 ava; écorchée vive.. 4123785764 ava; écorchée vive.. 4123785764
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 4:55

PUTAIN GASPA
TROP BELLE
JE
TE
BAISE
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 6:12

invasion des lacroix là ava; écorchée vive.. 877492073
on a pas signé pour se faire maltraiter par toute la famille ava; écorchée vive.. 3471968495
(mais t'es canon aussi)
mtn on veut en savoir plus du coup
dis nous que t'es la gentille de la famille pitié ava; écorchée vive.. 3216242392
bienvenue ava; écorchée vive.. 2401304177


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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 6:54

MDR OUI STP ON VEUT DES GENTILS NOUS ava; écorchée vive.. 3471968495
bienvenue parmi nous ava; écorchée vive.. 1154441486
les lacroix gèrent mais bon faut bien quelqu'un pour redorer leur blason vu les bêtises que noxy fait ava; écorchée vive.. 3471968495
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Ina Altunes
Ina Altunes

Messages : 512
Identité : LÉA
Avatar : THOMA
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Âge : 22
Occupation : DEAL
Côté coeur : GAUCHE
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 14:04

bienvenue ici, hâte de voir ce que ça va donner tout ça I love you
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https://souslesetoiles.forumactif.com/t1775-de-reves-et-de-cendre https://souslesetoiles.forumactif.com/t1860-un-coeur-a-l-amer
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyVen 3 Aoû - 16:47

JSUIS MORTE MORTE
MORTE
déjà gigi est magnifique
cette famille est magnifique
ET CE PSEUDO
JTM
VIENS
bienvenue sous les étoiles ava; écorchée vive.. 3205217011
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptySam 4 Aoû - 1:27

La belle Ava ava; écorchée vive.. 2401304177
J'te mpotterais avec Sid a l'occasion
Bienvenue
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. EmptyDim 5 Aoû - 2:56

Trop d'amour sur ce forum ava; écorchée vive.. 1178104272 ava; écorchée vive.. 1834130212
Merci à vous, on peut en effet dire que les Lacroix sont canons...
et qu'Ava est la plus gentille de tous ava; écorchée vive.. 3430721644
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MessageSujet: Re: ava; écorchée vive..   ava; écorchée vive.. Empty

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