( la tête tournée vers les étoiles )Il vagabonder sans réel but précis, dans ces rues paumer du village ou il est né. encore une fois il venait de quitter le domaine familiale sans rien demander à personne. il avait empreintes un passage secret dont il été le seul au courant et avait courue à la vitesse super sonic pour que personne ne le voit disparaitre dans la foule de personne lambda. la liberté c’est son dada, et il avait été enfermer beaucoup trop longtemps pour ne pas y gouter quand il en avait envie. sa soif d’aventure été immense, mais il ne pouvait s’y abandonner que très peu de fois et dans un cours lasse de temps à chaque fois. il devait réussir à détourner l’attention des femmes de ménage, du majeur d’homme et de son père qui été toujours sur son dos. c’est marrant, parce que pour sanctionner et lui dire de la fermer, son père été présent, trop présent même, pourtant quand il agissait de venir à des évènements qu’il décrété important, son père trouvait toujours une excuse à la con. au final, et surtout parce qu’il en avait marre des excuses, il fini par ne plus soulever cette triste réalité qui été pourtant ce que représenter sa vie, en ce moment même.
le problème été là : c’était un enfant non désirer, un enfant surprise, tomber un peu n’importe ou. un gosse qu’on réclamer pas, qu’on attendait encore moins. sa mère petite française, simplette et rondelette, avait cacher sa gosse à ce richissime Christian Grey low cost qui faisait chavirer son coeur, son bébé, le garçon dont elle aller accoucher, serait son secret à elle, et a personne d’autre. elle aller l’élever en lui chantant du Edith Piaf et du George Michael en fond sonore, il allait trouver le sommeil uniquement quand on lui caresse les avants bras et il serais un fanatique des blagues nul trouver dans les caramabar et surtout un adorateur de patte au fromage. Cette gamine un peu paumer avait tout fait pour que le vie de son gosse soit un succès, entre eux n’exister qu’amour et honnêteté, ils vivaient dans un Disney et comme dans tout les Disney, une tragédie arrive toujours pour bouleverser la vie du héros principale.
La tragédie fut la maladie brusque et inexpliqué de cette douce française. d’abord des maux de tête, des crises de paniques, des épisodes de démence. ensuite des coup de gueule, des crises de folie et bien d’autre réaction inexpliqué qui rendait la vie avec elle, des plus en plus dur. son gosse avait grandit, il avait 12 ans maintenant, et il comprenait pas que sa mère soit aussi déjanté, toujours facher ou en colère, suivit de chaude larme, sanglait innaretable avec du Céline Dion en boucle. Pour que tu m’aimes encore, ne finissait pas, cette chanson rouler encore et encore dans le salon, des 12 au 13 ans du jeune homme, jusqu’à ce que la mère de la française débarque pour tout arranger.
Arranger n’était pas le mot, le mot adéquate est : schizophrène. c’était le nom de la maladie de la française, elle été toucher depuis plus de deux ans et les épisodes aller devenir de plus en plus violent. la grand mère avait pris soin du jeune homme, lui promettant de ne plus jamais remettre Celine Dion de toute son existence. Mais celle-ci été trop vielle et trop fatigué pour s’occuper correctement du gosse. il fallait appeler le père, et le père n’en avait rien à battre.
Oz est un jeune homme plein de de talent, il a une mémoire visuelle qui change de l’ordinaire. il peut réellement prendre photos avec son cerveau et se rappeler exactement de ce qu’il vient de voir. il est talentueux, il joue de la guitare, du piano et de la flute à bec, bien qu’il ne sache faire que trois notes. il sait danser aussi, il agite et ondule ses membres comme si son corps n’était pas composer d’os, et il bouger au rythme de la musique qui rouler, en dehors de cette pute de Céline. quand il y repense, il a fait des cauchemars qui on été bercer par Parler à mon père et dieu seul sait qu’il respecte cette talentueuse nana, mais qu’il ne pouvait plus supporter les notes de sa voix à la fois douce et angélique.
Son père l’a adopté, il a fait de lui l’être le plus important de sa richesse, et lui a promis de lui donner tout ce qu’il a construit. Le vieux ne s’est jamais excusez de ne pas avoir été là, d’avoir raté la plus grosse partie de la vie de son gosse, il avait juste dit qu’en échange il aurait tout ce qu’il a toujours voulu, le beurre, l’argent du beurre et même la crémière. il été sans aucun doute que Oz voulait la crémière, mais il ne sentait pas le besoin d’avoir de l’amour matériel quand tout ce qu’il l’intéresser été un plat de patte quatre fromage devant un épisode rediffuser pour la cinquième fois de NCIS. c’est avec cette amour rejette et son coeur plein de regret qu’il souhaiter retrouver sa folle de mère, leur appartement minuscule et même Céline.
Le vieux continuer a l’ignorer et le balade, il le faisait chanter, il le maltraiter, il lui faisait croire des choses qui ne seront jamais réel, il faisait semblant d’en avoir quelques choses à faire, d’Oz, de son avenir, de sa personne. et le gosse le croyait, c’était stupide, mais il n’avait aucun autre repère et personne n’allait perdre son temps avec un gamin trop grand pour son âge. alors du haut de ses 1m80, Oz avait décidé de ne plus donner d’importance à son père.
Son plaisir et ses envies été devenue une priorité. tout ce qu’il voulait a présent c’était s’amuser. il ne voulait plus la crémière, il voulait le beurre et l’argent du beurre. Une nouvelle voiture et le voilà ravis, une soirée qui fini dans le chaos et le voilà souriant. les frissons éphémère d’un bonheur qu’il ne touche que lorsqu’il été dans les excès. l’extreme maladresse d’un jeune riche qui voulait tester es ses limites. Rien de plus qu’un bon à rien avec du fric, un fléau pour la société.
Recadrer ? il allait l’être. peut être au bout de sa seizième soirée ou tout le monde a fini chez les flics, parce que la maison d’à côté on a eu assez d’avoir autant de foutoir. une descente de la police ou Oz lui même avait été arrêter, dans un état totalement pitoyable. C’est entre les humain répugnant et les détraquer sexuelle qu’il a eu le déclic. entre l’envie de mourir et l’envie de vomir sur tout ce qui se trouver autour de lui, même sur lui même. et l’odeur nauséabonde qui le pousser vers la deuxième extrémité. le carnage fut finit huit heures plus tard quand l’avocat familiale a fini par le faire sortir de là, encore à ce moment là, monsieur Oz été sur le point de pété un câble prétendant s’être fait toucher par le gars du fond. mais personne ne l’écouter plus, il été invisible, c’était le garçon qui crier aux loups et quand il se fera dévorer personne ne voudra plus jamais le sauver. il est rentrée, fatigué et torturer.
il ne voulait plus de tout ça, plus de céline dans la tête, plus de choses qui le torturer. il est partit, sans rien dire, il a organiser une mise en scène pour disparaitre, pour n’être plus qu’un souvenir amère sur les lèvres de son géniteur. il ne voulait plus être une plaie, il voulait être le sauveur.
c'est pas fameux omg, j'doit ré-écrire/supprimer des partit, mais j'voulais pas poster vide.