I want to kiss her more than I want air (sixtine)

Ils étaient arriver après un long voyage. Neo ne pouvait pas vraiment dire combien de temps ça avait durée, c’était un vrai voyage plein de vie et de rebondissement. les premiers heures ou jours il avait laisser Sixtine au volant, pas vraiment conscient de son action et surtout parce qu’il avait beaucoup d’heure de sommeil à rattraper. son corps étaient beaucoup trop fatiguer pour endurer des heures entier à zieuter la route en faisant attention au panneau de signalisation. il avait donc laisser cette lourde tâche à sa douce qui elle avait bien compris l’enjeu de la chose. à son réveil, il a récupérer le volant et ils ont passer le reste du voyage à écouter la playlist de Sixtine, chantonnant par dessus les paroles qu’ils ne connaissaient pas, jouant à des jeux que Neo ne connaissait pas, racontant chacun des anecdotes l’un sur l’autre, tout en roulant vers un avenir meilleur. Neo n’avait jamais connue ce genre de voyage. la solitude avait remplis son coeur et son quotidien, jamais il n’avait penser tomber sur ce bout de bonheur un jour. jamais. il n’y avait pas le droit et maintenant, aujourd’hui, il en était le seul propriétaire. ce bout de paradis qu’il pouvait tenir dans la paume de sa main.
Sixtine avait pris un hôtel assez chic, presque trop au gout de Neo. Les années passer dans le van ou des endroits douteux étaient entrain de disparaître, ils avaient une grande chambre spacieuse, avec une salle de bain séparer, un écran plat et même un mini salon ou se détendre. il était bien évident que tout cela à du couter de l’argent, mais Sixtine avait apparement tout en main et Neo n’avait poser aucune question. en cas de réel problème ils auraient qu’à foutre le camp en secret et disparaitre dans un autre Etats. C’était leur première journée dans le parc, le première nuit venait de passer. en arrivant Neo avait pris une douche d’au moins 3h et c’était directement endormis comme un enfant. il était à moitié nu dans les draps, un simple caleçon cacher le plus gros. C’est la sonnerie de Sixtine qui le ramène à la réalité, sa tête était lourde, mais les lumières du jours adoucissait ce réveil, promesse d’un nouveau jour qui se lève. il passer par dessus sa petite amie pour éteindre son réveille, se laissant de nouveau tomber dans les draps, quémandant quelques minutes de plus au maître du temps.
« faut se réveiller, six. » sa voix étaient rauque et sa bouche encore pâteuse. elle étaient de dos et il profiter de sa position pour lui faire la grande cuillère. ses bras venait autour de la taille de la demoiselle et sa tête par dessus la sienne. il avait préalablement virer les cheveux de sa douce pour venir déposer des baiser dans les dernières de son cou, remontant jusqu’à sa nuque et sa joue. « Sixtine Nozere est prier de se réveiller, afin d’aller au parc d’attraction avec son petit ami. » il murmurer dans son oreille pour la faire frissonner. continuant de couvrir sa peau de léger baiser. elle était si douce même au petit réveille, il s’en voulait de ne pas avoir fait quelques choses de romantique pour leur première nuit dans cet hôtel. il voulait que ce soit spéciale et au final, il s’est endormis devant une émission lambda, la bouche ouverte et ses lunettes encore sur le nez. il les avaient d’ailleurs retrouver sur la table de chevet, preuve que Sixtine a dut soupirer en lui retirant de son nez, la veille. « tu me manques. » avait-il continuer de murmurer à son oreille. « même quand tes dans la même pièce que moi, tu me manques. » c’était niais mais neo avait envie de dire la vérité. la vérité la voilà : il a eu le coeur briser tellement de fois qu’il  penser ne jamais se remettre de Cyrus. quand il est partit il a achever son coeur en miette, rendant son organe à sa simple utilisation : pomper son sang et faire vivre son coeur. et il a fallut qu’elle soit dans les parages pour recoller tout ça. apaiser les penser périmer qui sont dans son crâne pour les remplacer par de nouvelle. la vérité c’est que si Sixtine venait à le quitter ou mourir demain, il se donnerais la mort car il n’a plus aucune raison de vivre. « tu te rappel des bien fais du sex au réveil? »

c'était assez étrange de conduire la voiture de Neo, voire même de conduire tout simplement après autant de temps mais après tout, il fallait bien qu'on avance sur notre itinéraire et le véhicule n'allait pas avancer tout seul. la Floride, voilà notre prochaine destination et plus précisément le parc d'Universal Studio dans la très funeste ville d'Orlando. Neo avait proposé quelques vacances en bord de mer et moi, j'avais trouvé un compromit pour qu'on s'y rende. passer quelques jours dans l'univers d'Harry Potter à une heure de route des plages, comme ça, nous pourrions nous amuser mais aussi chiller ensembles. durant le trajet, j'avais souvent laisser ma playlist tourner, pas trop fortement pour que le garçon puisse se reposer et reprendre des forces et quand il venait à se réveiller, on avait échangés nos places, lui derrière le volant, moi sur le siège passager. on chantonnait, on rigolait et même, on venait à sortir quelques anecdotes par-ci par-là pour apprendre à nous connaître un peu plus. après tout, je comptais sincèrement passer ma vie avec lui si il voulait bien de moi, alors, il valait mieux commencer dès maintenant à fonder des bases solides, implanter les fondations d'un bâtiment robuste. sur le trajet, lorsqu'il conduisait, je laissais mon téléphone en mode partage de connection pour pouvoir utiliser mon ordinateur et faire quelques recherches, réservations sur notre destination de vacances puis j'avais prit la décision de nous louer une chambre assez luxueuse, de quoi profiter un maximum du confort que pourrait nous offrir ce lieu malgré l'argent qui allait s'écouler de mon compte en banque. tant pis au pire puisque ceci était un peu comme un cadeau pour Neo, un cadeau pour qu'il puisse se détendre et se dire que malgré la noirceur de son passé, l'avenir allait se montrer plus lumineux, plus agréable. après tout, après l'orage, il y avait toujours un petit éclaircit.
le soir, trop fatigué pour quoi que ce soit, Neo avait justement trainé sous une douche chaude pendant un très long moment avant de venir se poser dans le lit, lunettes sur le bout du nez et finir par s'endormir connement devant un talk show. pauvre petit amour, il était encore épuisé et il ronflait carrément avec sa bouche entrouverte. j'avais retiré ses lunettes de son visage, les pliant délicatement pour les poser sur sa table de chevet, le bordant tendrement avant d'éteindre la télévision et finir par moi-même me coucher, la voiture m'ayant épuisée également depuis plusieurs jours.
un son venait à me tirer de mes rêveries, un son délicat qui n'était autre que la version acoustique de take on me mais la force n'étant pas en moi, j'avais préféré garder les yeux clos et laisser le réveil sonner jusqu'à ce qu'il s'arrête de lui-même mais c'est Neo qui venait à l'arrêter, se redressant doucement pour finir par me passer au dessus et appuyer sur le bouton stop. un grognement s'échappa de mes lèvres alors qu'il tentait de me faire remonter du pays de Morphée. cependant, un sourire se forma à la commissure de mes muqueuses lorsqu'il venait à poser ses petites lèvres délicates dans le creu de mon cou. "Sixtine Nozere ? hmm... j'aime bien quand c'est toi qui m'appelles comme ça." lui soufflais-je avant de venir à tirer un peu plus sur ses bras pour qu'il ressert son étreinte, qu'il me serre encore plus fortement dans ses bras. pour lui faire comprendre que jamais je ne le laisserais et que si j'étais là avec lui, c'était pour guérir son petit coeur en miettes. je laissais mes doigts parcourir ses avants bras dans un câlin avant qu'un rire ne s'échappe de ma bouche, un rire mielleux et tout à fait mignon. le sexe au réveil. ça faisait quatre mois que j'avais oublié c'était quoi, même si c'était pas tellement dès l'ouverture des yeux. "la dernière fois, tu sortais de la douche et tu m'as agiché avec sa serviette autour de la taille, et l'eau qui ruissellait sur ton torse. mais j'm'en souviens bien oui." lui avouais-je parce que clairement, ça manquait un peu beaucoup. et si il me demandait ça alors que j'avais toujours les yeux fermés, c'est qu'il avait une petite idée en tête. "je suppose que tu voudrais bien d'un petit câlin matinal hein ?" je venais à pivoter dans ses bras pour le faire face, venant à passer mes bras autour de sa nuque et poser un baiser sur ses muqueuses, frotter le bout de mon nez contre le sien. puis je le poussais légèrement pour qu'il colle les épaules contre le matelas avant de grimper au dessus de lui, juste pour continuer à l'embrasser passionnément, lui faire plaisir en me faisait plaisir aussi à moi-même.

la douleur avait disparue comme dissipé par le temps, et surtout par Sixtine. Il n’avait plus de courbature, il n’avait plus envie de colère cacher au plus profond de lui. il avait tout apaiser avec sa tendresse ou juste sa personne. un fin sourire se dessine sur ses lèvres alors que la gamine commence à gigoter. pourquoi était-elle étonné qu’il l’appel par son nom ? monsieur netero nozere n’est-il pas marier à sirra nozere, par les liens sacrée des faux papier dit à la va vite ; après un mariage de merde avec une connasse (dont le nom lui échappe) ? impossible à dire si cela à un jour était vrai ou pas. mais ça pourrais le devenir si le temps faisait bien les choses. oui neo devait se pencher sur l’achat d’une bague, peut être d’une vrai cérémonie à la mairie et même d’u repas en tête à tête dans un vrai restaurant, de lux et de qualité. pourtant, rien de tout ça n’avait d’importance quand il s’agissait de sixtine, car n’importe quel bar pourris remplis de plouc et de droguer était un endroit merveilleux si elle s’y trouvait. « j’appelle ma femme, elle s’appelle Sirra, tu t’appelles Sixtine, que fait vous dans mon lit jeune fille? ma femme va arrivée, je ne veux pas qu’elle voit que je copule avec une fille plus jeune et plus sexy qu’elle. » il lache un gloussement débile, et tend ses bras vers sa dulcinée. a vrai dire il y était presque obliger, car celle-ci tirer sur ses longs haricots vert pour venir plus près d’elle. on va finir par fusionner un jour, pensa t-il un sourire aux lèvres.
« c’est moi qui t’es aguicher ? c’est vrai que c’est moi qui traine en tee-shirt culotte dans tout l’appartement, j’me souvient très bien. » il ris de nouveau. quand Sixtine se retourne, elle vient poser ses lèvres sur les siennes et il l’accueil avec plaisir. il l’accueil comme si il ne l’avait pas embrasser depuis une éternité. le baiser que le prince a donner a la belle au bois dormant après 100 ans de sommeil est jaloux, de ce baiser pur et délicat que Sixeo s’échange. il ne peut s’empêcher d’envenimer les choses. le feu ardent qui né entre les cuisses commencent déjà à s’enflammer. tout doux Neo, commence par à tout donner d’un coup. il se délecte de ce baiser jusqu’à ce qu’elle prenne le dessus. ses mains qu’elle pousse pour le mettre sur le dos, elle vient alors le chevaucher en recommencer à l’embrasser langoureusement.
neo a les mains baladeuse, il vient alors les frotter au hanche de la demoiselle. ses longs doigts, minces et fin qu’il fait glisser sur la peau dénudé de sa petite amie. il ne rompe pas le baiser, juste pour respirer entre deux frottement de nez. il avait envie d’elle, c’est inévitable, il avait envie qu’ils ne fasse qu’un et surtout : il avait envie de la voir dans sa tenu préféré, son habit d’Eve.
il glisse alors ses mains le long de son corps, remonter le long de son dos, jusqu’à retirer la couche de vêtement qu’elle avait sur elle. ce tee-shirt (qui est a lui d’ailleurs???) « c’est à moi ça? je met tes fringues moi? » un autre rire quand il s’imagine porter les crop top de sixtine. il vient alors de nouveau l’embrasser, laissant voler le vêtement dans un coin de la pièce. son attention était alors porter de nouveau sur elle, et juste elle. elle et ses yeux de biches, elle et son adorable petit museau, elle et sa peau si douce et si délicate. il attrape alors sa nuque pour y déposer mille baiser, les suçons avait eu le temps de disparaitre en 3 mois et sur le coup l’envie de lui en refaire lui traverser l’esprit. mais au lui de ça il laisser son corps retomber sur l’oreiller en continuant de caresser sa peau.

le plus agréable, c'était de se réveiller aux côtés de Neo, pouvoir sentir sa chaleur contre moi, son souffle au creux de mon cou mais aussi pouvoir entendre sa voix rauque me murmurer des petits mots doux. et le fait qu'il m'appelle carrément Sixtine Nozere m'avait surprise, délicieusement je dois bien l'avouer et ça m'avait tiré les commissures comme jamais. j'aimais bien cette association et j'avais réellement envie même qu'un jour cela puisse être vrai et que je n'ai plus besoin de me cacher sous une fausse identité aux yeux du monde. puis voilà que ses paroles provoquèrent un rire assez mignon, enfantin et mélodieux parce que la situation était marrante. je m'imaginais bien être l'amante de Neo, celle qui avait réussit à voler son coeur alors qu'une autre femme était dans sa vie depuis un petit moment. bon, c'est un peu ce qui s'était passé dans nos vies avant qu'on ne vienne à sortir officiellement ensembles. Cyrus était l'épouse de Neo et moi j'étais son amante. "Monsieur Nozère fait des infidélités à sa femme ? j'espère qu'elle ne va pas rentrer trop tôt, j'aimerais encore pouvoir profiter de toi comme il se doit. et j'ai pas non plus envie d'aller me cacher sur le balcon jusqu'à ce qu'elle parte." et je l'avais attrapé, serré contre moi parce que durant les jours qu'on avait passé à rouler, ça m'avait manqué de ne plus être aussi proche de lui qu'avant, alors j'en profiter de dormir avec lui dans cet hôtel luxueux pour redevenir câline. "oui c'est toi qui m'a agiché, fallait pas sortir à moitié à poil de la salle de bain et rester planté dans le couloir avec ta belle gueule là. moi je sortais juste de ma chambre en pyjama pour aller boire un verre de lait. au final, j'ai même pas bu mon verre de lait parce que j'ai pêché avec toi. mon dieu, j'suis même pas allé voir le prêtre pour me confesser...." un pivot, un face à face et je venais à l'embrasser parce qu'au fond, c'était plutôt plaisant de pêcher, d'aller à l'encontre de ce qu'on m'avait enseigné étant petite et qu'être dans les bras de Neo était bien plus agréable que passer son dimanche matin à l'église. Il avait toujours les mains baladeuses et ce n'était pas étonnant que ce soit encore le cas quand j'avais finit par venir le chevaucher et me pencher pour continuer à l'embrasser, le taquiner de temps en temps en mordillant ses lèvres délicatement sucrées. un frisson me parcourut lorsque ses doigts remontaient le long de ma taille et finir par retirer le tee-shirt que je lui avais piqué la veille pour dormir paisiblement. un nouveau sourire se forma en commissure de mes lèvres, laissant mes paumettes se roussir quand il le laissa tomber au pied du lit, du moins, j'avais pas trop regardé où il avait bien plus le balancer. "je vois pas de quoi tu parles, il est à moi ce haut." après tout, c'était pas ça le mariage ? ce qui est à toi est à moi ? puis s'était tellement plus confortable, plus agréable de pouvoir sentir son odeur sur moi, nager dans un vêtement bien trop grand pour moi qui me faisait carrément une sorte de robe. sa main forçait sur ma nuque pour revenir près de son visage, venant à poser ses lèvres dans le creux de mon cou pour déposer des dizaines et des dizaines de baisers avant de se stopper net et se laisser retomber sur le coussin.