Ce n'est pas un coeur, qu'elle a, c'est une pierre tombale.

prénom et nom: J'ai une identité comme chaque individu, il me semble. Mes parents ont mis pas mal de temps avant de trouver mon prénom, pourtant qui est simple. Il est clair et net. Abel, un prénom hébreu comme chaque membre de la famille. Du moins, le plus possible. Ce n'est pas le meilleur prénom, mais, c'était le prénom du père de ma génitrice. C'était pour honorer sa réputation, malgré le drame du couple. J'ai hérité du nom de famille de mon géniteur, abalhad. Un nom de famille peu connu des autres, c'est une famille comme une autre. Une famille banale avec ses hauts et ses bas. âge et date de naissance: D'après de ce que je sais sur l'histoire de mes parents, leur relation n'était pas très bien vu par les parents de ma génitrice. Non pour la réputation de mon père, mais, parce qu'ils ont commis un péché. Les parents de ma génitrice étant très croyant, la fornication était un péché à ne pas commettre avant le mariage. Malheureusement, ma mère porte un amour inconditionnelle à son époux et a commis l'irréparable. Il aura suffi d'une seule fois pour que la sentence soit irréversible. Elle est tombée enceinte et a dû le dire à ses propres parents surtout qu'elle ne voulait pas avorter. Durant les neufs mois de grossesse, ses parents l'avait renié avant de revenir vers elle en préparant leur mariage. Le mariage à du être retardé suite à l'accouchement, elle a souffert durant plusieurs avant de me donner naissance le vingt-et-un février mille neuf cent quatre-vingt-onze à Buford (Wyoming). Mes parents se sont donc marié durant la première année après ma naissance, mais, mes grands-parents ont toujours eu du mal à me combler d'amour. Je vais bientôt souffler mes vingt-sept bougies, j'arrive dans la tranche de la trentaine. lieu de naissance, origines: Mes parents sont originaires de Buford (Wyoming) et n'ont jamais quitté leur ville natale, c'est une petite ville ou que tout le monde se connaît. Ma mère ne voulait pas quitter sa ville pour une autre n'aimant pas devoir perdre ses repères. Mon géniteur avait voulu partir de cette ville pour éviter les ragots suite à ma naissance et l'histoire qui se cache derrière. Une relation sexuelle avant le mariage alors que les générations ont changé, mais, pas pour les cultures et tradition de la famille. C'est pour cette raison que durant les vingt-sept ans de ma vie, j'ai du m'y faire des regards de certaines personnes, surtout des aînés. Nous sommes tous d'origines saoudiennes et avons été éduqué avec les valeurs et les principes qu'ils ont reçus.  occupation: Depuis que j'ai eu l'âge à travailler, j'ai jonglé plusieurs boulots pour subvenir aux besoins de la famille, mais, aussi parce que nos parents mettaient la pression que sur moi. Je n'avais pas le droit à l'erreur surtout, je me devais d'être à la perfection dans tout ce que je m'entreprenais. Entre vendeurs, videur, mécanicien et serveur. J'aurais touché un peu à tout, mais, j'ai comme passion la boxe et mon rêve est de monter une salle de boxe. Seulement, ce n'est pas dans mes cordes financièrement. Je pratique donc la boxe depuis plusieurs années et j'ai un très bon niveau malgré que je n'aie pas eu vraiment de cours particulier. Je possède deux diplômes en poches ou que je peux trouver un métier dans la mécanique aussi bien que dans le commerce. Seulement, en arrivant à crescent heights, il faudra que je me trouve rapidement un boulot pour subvenir à mes besoins vu que j'ai pu m'avoir un petit appartement en centre-ville pour rien du tout. statut, orientation sexuelle: Je n'ai pas de réflexion à avoir sur mon orientation sexuel vu que je suis hétérosexuel à cent pour-cent, il n'y aucun doute à se faire sur le sujet. J'aime beaucoup trop les courbes féminines et leur douceur qu'elles dégagent. Après plusieurs relations amoureuses désastreuses, j'ai préféré devenir volage tout en ayant du respect pour la gente féminine. C'est l'éducation que j'ai reçue qui fait que je ne peux rabaisser les femmes. Mais, je suis direct avec elles, je ne cherche pas à me mettre en couple, le célibat est beaucoup mieux et moins d'histoire. Seulement, depuis environ six mois, mon cœur a raté un battement sous une jolie brune. Seulement, elle a disparu comme une voleuse. Je n'arrive pas à me la sortir de la tête et c'est devenu assez frustrant. traits de caractère: Compétitif, j'ai toujours était à vouloir être au-dessus de tout dans tous les domaines qui soit, sûrement depuis l'enfance ou que je souhaite avoir un minimum d'attention de mes parents. Ambitieux, j'ai toujours su ce que je voulais dans la vie et dès que je commence quelque chose, je n'abandonne jamais en plein milieu. Je vais jusqu'au bout des choses que j'entretiens, et cela, même si cela ne fonctionne pas à la fin, au moins, j'aurais fait le nécessaire. Un brin narcissique, je sais mes qualités et mes atouts et je sais les user à bon escient. Gentil, je suis loin d'être méchant et à vouloir du mal aux autres, seulement, il ne faut pas me chercher pour autant. Je peux vite changer de veste et être désagréable. Là, pour rendre service, on peut toujours compter sur moi pour un quelconque service, je le fais si c'est dans mes cordes. Je trouve toujours une solution à chaque problème, je suis très loyale en amitié. Jaloux, c'est l'un de mes plus gros défauts, je n'aime pas partager quelque chose qui me tient à cœur, surtout quand c'est question de femme. Têtu & Borné, je veux toujours avoir le dernier mot surtout quand j'ai raison. Je sais néanmoins reconnaître mes torts, mais, rarement. groupe: rigel

Ma vie n'est pas tellement à plaindre, je ne dis pas que j'ai une vie très rose, seulement, je n'ai pas spécialement à me plaindre. Le seul problème tourne toujours auprès de ma naissance et cela avait fait beaucoup de soucis, surtout du côté de ma génitrice. Elle disait toujours qu'elle allait bien, seulement, ses parents lui manque. J'ai pu en conclure en la voyant pleurer alors que j'étais encore qu'un gosse. Ce n'est qu'à l'âge de mes cinq ans que mes grands-parents ont repris contact avec ma mère, mais, cela ne veut pas dire qu'il m'accepte. Ma mère était sceptique, mais, elle a dû faire avec et cela à son plus gros malheur. Elle voulait qu'on me comble de bonheur, mais, cela risque d'être compliqué. Les années passent et ma mère met au monde mes sœurs et frères qui sont choyé par mes grands-parents, je ne suis loin d'en être jaloux. Je ne porte pas particulièrement mes grands-parent dans mon cœur, après tout. Seuls mes parents comptent pour moi et c'est dur d'attirer leur attention. J'entretiens une très bonne relation avec ma famille et c'est ce que nos parents nous a toujours appris, la solidarité et l'amour fraternel. Je leur porte un amour inconditionnel et sans frontière, seulement, j'en suis quand même jaloux que nos parents soit plus proches des autres, je me sens légèrement mis de côté. La situation se dégrade un peu dès l'arrivée de notre cousin, Jamal. Un petit bonhomme de mon âge avec son air perdu, j'aurais pu le prendre sous mon aile et l'aider. C'est un membre de la famille, même si je ne l'avais pas vraiment connu avant ce jour-là. J'en ai décidé autrement quand ma mère se concentrer plus sur lui que sur moi, j'étais pas rancunier, mais, jaloux de lui. Au fur et à mesure du temps, je ne ressentais plus cette haine envers lui, même si je restais sur mes gardes. Il n'avait aucun intérêt à prendre la considération de mes parents, donc, je pouvais bien lui tendre ma main, non ? Une très bonne relation a fini par naître entre nous et cela malgré le jeu de compétition qu'il y a dans l'air, j'ai toujours voulu être à un niveau au-dessus de lui dans tous les domaines. Il y a un seul domaine qu'il est au-dessus de mon niveau, c'est la boxe vu que c'est lui qui m'a donner cette nouvelle passion. Une passion qui est devenue quelque chose de vital dans mon quotidien. J'avais contesté son départ, mais, en vain. Il a préféré quitter la famille pour une nouvelle ville, une nouvelle vie. Je l'avais très mal pris surtout que je l'aimais comme un frère, c'était devenu un membre de la famille et il n'avait pas besoin que je lui dise pour le savoir. J'avais seulement ordonné à garder contact, chose qu'on a fait. J'allais lui rendre visite dès que j'avais l'occasion et en apprenant qu'il se mettait dans des situations délicates. Je pourrais le dire à mes parents pour qu'ils fassent quelques choses, mais, je n'ai pas envie de casser le lien qui nous unit. Je fais ce que je sais faire de mieux, je ne dis rien et j'essaie de lui faire comprendre, mais, buté comme lui, il n'y a pas pire. J'ai dû continuer d'avancer dans ma vie et sans toi, c'est dur. J'ai arrêté rapidement les études après avoir raté mon bts commercial. Je suis loin d'être con, mais, ce n'était pas ce que je voulais faire et la pression des parents n'a rien arrangé. Je ne voulais plus faire ce qu'ils voulaient que je fasse et faire ce dont j'ai envie pour mon futur. Je suis maître de ma vie, après tout. J'ai donc trouvé plusieurs petits travails pour subvenir aux besoins de la famille et aussi économisé. Plusieurs années sont passées depuis ton départ, j'avais mon train de vie habituel qui était de travailler, ramener ce qu'il faut pour se nourrir et m'amuser durant mon temps libre. Après une relation amoureuse vouée à l'échec depuis le départ, car, cette nana m'avait menti depuis le départ en disant qu'elle était célibataire, alors qu'elle était mariée avec un type. Depuis ce jour, j'ai mis une croix sur les relations amoureuses, je n'ai pas le temps de souffrir pour les autres. J'enchaîne donc que les relations sans attaches et cela fonctionne plutôt mieux, pas de souffrance. Jusqu'à que cette brune tape à la porte familiale. J'étais au salon avec mon géniteur en train de regarder un match de foot, je n'étais pas très proche avec mon père, mais, nous partageons quelques moments ensemble, comme ce jour-là. Les pieds posés sur la table basse et croisés, ma mère nous frapperait en nous voyant de la sorte, elle n'aime pas nos positions de se tenir devant la télévision. « - Tu y vas, fiston ? On toque à la porte. » Je n'ai pas vraiment le choix vu que cela tourne plus à un ordre qu'à une question. Je me lève en soupirant avant de m'étirer de tout mon long avant d'avancer vers la porte d'entrée de l'ouvrir, je baisse légèrement les yeux en voyant le regard d'une brune me toiser. J'arque un sourcil face à cette jolie demoiselle. « - Mes sœurs ne sont pas à la maison, si c'est elles que tu cherches. » La plupart des filles qui viennent à la maison sont pour mes sœurs, seulement son haussement de sourcil me dit que j'ai tort. « - Je suis là pour Jax, ton cousin. » Je penche le visage sur le côté en plongeant mon regard dans le tien, pourquoi cherches-tu mon cousin. « - Comment connais-tu mon cousin ? » Je ne veux même pas savoir la réponse, surtout si cela confirme mes doutes. Mon père arrive derrière moi avant de te sourire. « - Jeune fille, ne reste pas dehors. » C'est ainsi que mon père t'invite à rester quelques jours à la maison. Durant ses quelques jours passé avec toi m'ont donner un espoir, ce n'était pas de l'amour, mais, de l'attirance. Mais, il n'y avait pas que cela pour autant, il y avait un truc derrière dont je ne pourrais pas dire. Un nouveau sentiment. Tu avais beau essayé d'avoir des renseignements sur Jamal, mais, j'avais refusé de te donner son adresse, par jalousie. Une nouvelle fois. J'ai eu une déception en apercevant que tu étais partie sans un mot, même pas une salutation. C'était l'une de mes sœurs qui t'avait certainement dit ou le trouver, mais, je n'aurais jamais la certitude vu qu'elle fait mine de rien quand je lui touche un mot.(...) Six mois plus tard. Je rentre tranquillement du boulot, ce n'est pas le boulot de mes rêves, mais, cela m'apporte un salaire à la fin du mois. Mon père s'en prend à moi et ne me lâche pas la grappe, il ne veut rien entendre. Seulement, il a bu quelques verres et je le sens. Ma mère me touche le bras pour que je baisse le regard vers elle, ce que je fais. « - Ne fais pas attention à lui, Abel. Il a failli perdre son poste et il a été boire. Je n'arrive pas à le calmer, mais, ne riposte pas. » Je hoche le visage en essayant de faire ce qu'il y a de mieux à faire, chose qu'il dit un mot de trop. « - C'est de ta faute si les parents de ta mère ne t'ont pas accepté ! Et, tu n'es pas capable d'avoir un travail correct ! On ne t'a jamais demandé la lune, juste d'avoir un bon travail, et même cela, tu n'es pas capable ! » J'arque un sourcil avant de lâcher un soupir. « - Tu es sérieux dans tes paroles ? » Il me regarde avant de me rire au nez, chose que je n'apprécie pas vraiment, même venant du géniteur. « - Tu n'es un bon à rien ! Tu n'as jamais compris que tu n'avais pas ta place. » J'allais répondre à sa provocation, mais, l'un de mes sœurs arrive ou qu'elle s'avance vers mon père en le pointant du doigt. « - Tu vas beaucoup trop loin, et même avec de l'alcool dans le sang ! Il a tout fait pour nous et tu n'es pas capable de voir ses bonnes actions. Il a toujours mis la famille en premier plan. » Elle se tourne vers notre mère en soupirant. « - Tu aurais pu calmer la situation surtout que tu sais que j'ai raison. Il a toujours voulu avoir une reconnaissance, mais, rien. » Je prends la main de ma sœur avant de quitter la pièce en soupirant. « - Ca suffit, laisse tombé. Cela ne s'arrangera pas en parlant pour rien. Je t'aime, petite sœur. » Fis-je en la prenant dans mes bras en souriant doucement, je me décale en l'embrassant sur le front avant d'aller dans ma chambre faire mes bagages rapidement et descends prêt à quitter la maison. « - Tu vas où comme cela ? » La voix de ma sœur m'arrête ou que je me tourne vers elle et ma mère qui a les yeux brillants. « - Je vais aller voir Jax, j'ai besoin de prendre un peu de recul. Je vous aime tout fort ! » Ma mère me prend dans les bras en s'excusant de ne pas avoir su s'interposer entre nous. Je souris en lui faisant un bisou sur le front. Je sais ce qu'elle ressent et je ne lui en veux pas, mais, je ne peux pas pardonner mon père pour le moment et rester dans la même maison, c'est trop me demander. Puis, cela me donne comme occasion de retrouver cette jolie brune. J'irais demander des renseignements auprès de mon cousin et voir comment il se porte depuis ma dernière rencontre. (…) C'est ainsi que j'ai trouvé un appartement sur la route pour retrouver mon cousin et prendre du recul par la même occasion. Cela m'aura mis une semaine pour emménager correctement et trouver un travail dans un garage de la ville et ainsi qu'un travail dans l'un des bars le plus connu. Je n'ai pas encore eu le temps d'aller voir mon cousin, mais, mon téléphone n'arrêter pas de vibrer et cela ne pouvait être que mes sœurs. Allongé sur mon canapé, je sors mon téléphone pour lire mes messages et le premier me laisse perplexe. C'est de mon père et j'hésite même à l'effacer sans le lire, mais, la curiosité est un vilain défaut.« - Abel, je suis désolé pour ce que j'ai pu te dire. J'étais complètement bourré, je ne pensais pas ce que je disais. Je suis désolé, rentre à la maison. Tu sais très bien que ta maison est ici ! Tu sais très bien que si tu n'étais pas désiré, on n'aurait pris une autre décision. Dans tous les cas, j'en suis désolé. » Je soupire en posant mon téléphone sur la petite table. Heureusement que j'avais toutes mes économies pour pouvoir me payer un appartement plus au moins correct. Cela fait bizarre de vivre seul et d'avoir son propre appartement, mais, cela me donnera plus de chance d'accomplir l'un de mes rêves et de trouver cette brune.