| | il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) | |
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Auteur | Message |
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Invité Invité
| Sujet: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Mer 21 Fév - 11:47 | |
| pansy arkins (Mais l'manque d'argent tue les âmes l'espoir s'enfuit dans la fumée noire) -- -- -- -- -- -- -- -- --
prénom et nom: jolie pansy derrière ses grandes prunelles ébahies, douce mélodie qu’on pourrait prendre pour une folie mais qui en réalité n’est qu’une tragédie. arkins, nom qui brûle les lèvres rosées et qui éveille la curiosité quand on s’attarde sur sa silhouette de dentelle, là où on peut détailler toute l’ampleur des os brisés. âge et date de naissance: 14/11/1990. vingt six hivers à compter les calvaires et les misères. lieu de naissance, origines: leicester, angleterre. y’a l’accent qui roule sur le palais, les origines qui ressortent quand elle libère des mots à la volée. petite anglaise des bas quartiers, elle a grandi depuis les années. occupation: y'a les doigts qui pianotent sur le clavier, les cils qui papillonnent sous la luminosité de cet écran délabré et la poupée qui se fait marionnettiste pour manipuler les égoïstes et se nourrir des risques. menteuse, hackeuse, elle bosse chez les sinners car elle s'est faîte audacieuse. statut, orientation sexuelle: poupée seule dans cet univers de travers, elle a le palpitant à l’envers sous les plaies amères. la carcasse qui rôde contre les reins des étrangers pour un peu de liberté. traits de caractère: rancunière, manipulatrice, fantasque, drôle, pétillante, libre, impulsive, grande gueule, lunatique, sensible, violente, secrète, opportuniste, attachante, téméraire, provocatrice. groupe: pléiades
- la tête tournée vers les étoiles -poupée brisée, astre démantelé… elle avait des rêves pleins les yeux cette gamine en planche à pain qui ne savait rien de cet univers malsain. les prunelles dilatées sous l’envie de s’élever près des hautes lumières pour effacer le quotidien précaire. l’innocence de cette jeunesse dorée, l’inconscience de vouloir exister dans cette société… douce ignorante qui s’accrochait à ce paradis fantasque, à ces mirages d’audace. elle voulait croquer la vie avant que la mort lui interdit. profiter de chaque instant de cette poésie, de la nostalgie jusqu’à la folie. danser même la nuit pour se brûler les poumons jusqu’aux expirations. bouffer l’existence avant de tomber dans la démence. c’était beau, c’était naïf, c’était innocent, c’était futile, c’était impossible…et l’ange torpillé à ses repères familiers, qu’on déménage pour éviter un divorce prématuré, pour fuir un mariage défait par l’agressivité. il n’y a pas de retour en arrière, juste l’absence d’un père et la joie d’une mère. maternelle qui s’accroche à la liberté, qui s’emmêle dans ses rêves désorganisés. et cette amérique à portée, cette bouchée d’air frais. le pays où on peut tout accomplir ou s’effacer en tant que martyr. nouveau commencement. éternel jugement. ça ne marche pas vraiment, y a toujours ce manque d’argent. les galères qui s’enchainent, le calvaire qui s’accélère… mais y a toujours pansy et ses grands yeux écarquillés qui donne foi dans l’humanité. pansy et sa gueule de poupée. pansy et ses plaisirs particuliers. elle qui ne veut pas de robes pour se pavaner, mais bien un ordi pour se brûler la rétine jusqu’à l’excès. geek qui se cache derrière ses pixels, qui se crée de nouveaux repères au travers de cet écran merveille. elle passe sa vie derrière son ordi, préférant sa compagnie à l’inertie des visages ternes à l’extérieur. monde laid, fantômes éparpillés qui s’agrippent à la morosité, qui ne peuvent plus assumer la réalité. elle se moque, elle, derrière son nuage informatique de ces errants qui s’affichent pour un peu de popularité, ou pour une certaine crédibilité. eux qu’on étiquette, autant qu’on achète. victimes de la consommation excessive et de cette société corrosive. et elle s’amuse au travers des lignes de code, pansy, pour souffler un peu de son anarchie. elle grandit avec cette envie, d’apprendre sans comprendre chaque limite de la vie. puis elle sort un peu, car elle est jolie pansy. et que les garçons ils aiment bien les filles jolies. elle connait ses premières beuveries, ses premières conneries. les baisers qu’on vole à l’arrachée avec ses rougeurs tachetées. l’innocence qui devient inconscience. les nuits agitées dans les bras d’étranger. elle mord la liberté comme un fruit empoissonnée. puis les années qui passent, les responsabilités en impasse… elle ne change pas son quotidien, elle maintient le même refrain. elle bosse chez elle en arnaquant des gars, en vantant une justice délabrée pour quelques billets, en hackant des caméras de sécurité. elle ne vaut pas mieux que tous ces enfoirés… et pourtant elle s’y plait. puis y’a la réalité, douloureuse et foireuse, qui vient la frapper de plein fouet.quand une nuit, elle décide de se balader sous les étoiles éparpillées. quand elle se permet de rêver à un peu de danger et qu’elle n’a pas idée sous la mélodie qui s’écoule entre ses tympans, que le vent tourne subitement. elle ne voit rien, qu’une série de chiffres sous les phares aveuglants, elle n’a pas le temps de s’écarter, de s’échapper. y’a juste cette voiture en face d’elle qui roule beaucoup trop vite, l’alcool au volant, la mort au tournant. et le choc dément. le noir, le néant. l’enfer qui s’ouvre précipitamment. la poupée elle s’est réveillée dans des draps blancs. le corps déchiqueté, la jambe arrachée. comme une fatalité pour tous ses pêchés… sa réalité altérée, l’envie de gerber. tout son monde s’est écroulé et pourtant elle a lutté. elle a continué de respirer pour se venger. essayer de marcher pour que son corps mécanique puisse avancer. elle n’a rien dit aux autorités concernant le matricule de son bourreau effacé, elle s’est permise de dessiner la justice entre ses phalanges ensanglantées. harcèlement permanent envers cet enfoiré qui a tracé pour éviter le procès. elle l’a enterré, fait chanter, tuer. et elle continue de s’acharner car elle n’a plus deux jambes sur lesquelles se reposer et que cela n’a pas de frais. justice cruelle, liberté de dentelle. elle joue avec le feu la poupée dans l’attente de se brûler. dans le besoin de détruire et de reconstruire. kamikaze qui se nourrit de sa rage, pour effacer les orages. puis y’a une opportunité qui se présente à elle, alors qu’elle s’engage dans l’inégalité, qu’elle partage ses magouilles délabrées. y’a ce gang qui ressemble à un foyer un peu bordélique mais au bonheur idyllique. y’a plus de limites, plus d’arrêts, juste l’envie de vivre jusqu’à en crever.juste une poupée qui rôde sur son fil en hauteur, comme une funambule prête à exploser l’apesanteur… - - SOYONS AMIS:
prénom/pseudo: fanny/black madness. pré-lien/inventé: pré-lien d'Ike. c'était comment ta journée? goooooooooooood. le mot de la fin: love sur vos fesses . - Code:
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<cp>holland roden</cp> - pansy arkins
Dernière édition par Pansy Arkins le Jeu 22 Fév - 17:04, édité 3 fois |
| | | Sil Myers
Messages : 1450 Identité : tadshoot Avatar : lucky blue Crédits : - Âge : dix neuf ans Occupation : combats illégaux et n'importe quoi pour chopper du fric Côté coeur : coeur à l'envers, qui fonctionne pas autrement que pour des amitiés fracassées Quartier : le squatt du mauvais côté des rails, entassé avec une bande d'idiots
| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Mer 21 Fév - 11:54 | |
| ce choix de scéna olalalalala, j'aime tellement le virus trop pressé de lire ça ! |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Mer 21 Fév - 19:28 | |
| Sil < moi aussi je suis trop contente qu'elle était libre ahah j'espère que la suite te plaira :chou: Nora < ahah merci ( tu vas voir y a un sens caché itout ) danke chaton t'inquiètes je vais foutre le bordel /pan/ |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Mer 21 Fév - 21:16 | |
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| | | Invité Invité
| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Jeu 22 Fév - 2:55 | |
| juste un tout petit peu ça va les chevilles hein oh t'es trop chou merci chaton danke et je me bouge le fessier pour vite rejoindre le gang |
| | | Invité Invité
| | | | Invité Invité
| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Jeu 22 Fév - 10:57 | |
| Si le sens caché du gif c'est qu'il lui manque une jambe, on va pouvoir monter notre propre club Super choix de pré-lien en tout cas, puis Holland est si belle |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Jeu 22 Fév - 17:22 | |
| bb < t'es trop un chat je t'ai déjà tout dit en vrai mais jotem à la folie tout plein et merci mon amour Fran < Poto d'handicap /pan/ on s'appelera le club des unijambistes et double merci ahah puis fiche terminée |
| | | Invité Invité
| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) Jeu 22 Fév - 23:37 | |
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| Sujet: Re: il n'y a pas la vie sans la mort, mi amor (pansy) | |
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