que ma volonté soit fête (gina)

Invité

enfermer dans ce lit d’hôpital, cloîtrée entre ses quatre murs. il sait plus vraiment ce qu’il fou là, mais il est là. son corps recouvert e ce drap trop épais et emballée dans cette tenu d’hopital ou inévitablement t’as le cul à l’air parce que c’est jamais fermer derrière. une raison de tomber encore plus malade, quand on y pense. ne parlons même pas de la bouffe, écraser, en morceau et pré mâcher. merci beaucoup les infirmières de mâcher tout ça pour moi, mais j’suis bien capable de le faire moi même. il s’en fou pas mal de la bouffe, mais il voulait juste se plaindre de cette environnement qu’il détester tant. il se demande comment il va payer tout ces soins médicaux, et encore plus comment il va faire pour pouvoir sortir de ce trous à rat. on l’autorise à se promener de temps en temps, aller dans la salle avec les autres détraquer pour lire des magasines vieux de trois ans et regarder ce que les infirmières ont envie de regarder. une dictature horrible à celle qui sera le plus déterminer entre un épisode de Top Model USA ou alors une rediffusion de question pour un champion, il a l’impression d’avoir regarder une trentaine de fois la même rediffusion ou alors son esprit fatigué ne faisait plus la différence entre les candidats. et puis il s’en fou, il s’en fou vraiment.
Il a envie de quitter ce trous à rat, et il donnerais un rein pour une clope. c’était hors de question de lui cédé cela, comme si il avait réclamer une liasse de billet ou pire encore : un lingot d’or. non, juste une clope, une cigarette, ce ridicule petit bâtonner remplis de chose pas bonne pour la santé. il fini par s’assoir sans la salle d’attente des urgences, à côté d’une personne lambda. qui ne tente rien n’a rien, mais neo a jamais été très à l’aise avec les gens. il se rapproche tout de même de cette être inconnue. avant d’engager la discussion, du mieux qu’il peut. « salut, il fait moche hein. » sérieux, t’aurais pu trouver mieux. pas très à l’aise, il se racle la gorge et re-essaie. « t’aime bien l’aventure ? j’veux dire les grandes aventures, j’ai un truc à te proposer : tu m’aides à sortir d’ici et j’te donne 100 dollars et une boite de cookie au pépite de chocolat. » si c’est dis cookie n’était pas déjà à moitié consommer ou fondu, vu que ça faisait bien une semaine qu’ils trainer sur la banquette de son van.

Invité

l’hôpital l’avait appelé en urgence, l’état de sa mère s’était empiré et elle nécessitait une autre opération. elles étaient presque devenues habituelles maintenant, elles se déroulaient au moins une fois par semaine pour essayer de tuer ce démon à l’intérieur de son corps frêle. le cancer n’est jamais chose facile à combattre et souvent, on ne s’en sort pas. gina commençait à perdre espoir, c’était tellement difficile de voir la femme de sa vie, celle qui l’avait élevée seule, à deux contre le monde. alors lorsqu’elle avait raccroché, elle avait couru prendre un bus en direction de cet immeuble qu’elle détestait tant, qui sentait la maladie et les blessures à dix kilomètres à la ronde pour pouvoir être là durant cette dure épreuve, encore. à son réveil, car sa mère allait forcément se réveiller, sa progéniture serait au chevet de son lit, à lui tenir la main, sourire aux lèvres forcé comme elle ne l’avait jamais autant forcé. cela faisait des semaines qu’elle était dans cet hôpital, dans sa blouse blanche, à manger des plats tous droits sortis des poubelles du restaurant voisin, même gina qui était une piètre cuisinière tentait de lui cuisiner quelques plats brésiliens qu’elle affectionnait tant, les chaleurs du pays du sud qui lui rappelait les souvenirs de son ex-mari qui avait pris la fuite un beau jour, les laissant là, toutes les deux, dans un quartier défavorisé et dans une ville industrielle qui n’était pas faite pour elles. mais tout cela était du passé, c’était trop tard pour changer le cours des évènements. alors gina de concentrait sur le présent, sur sa mère, sur sa possible guérison.

elle s’était habillée en vitesse ce matin pour aller travailler et au bout d’une heure elle avait été finalement dérangée. l’oncle l’avait laissé filer, car c’était une affaire de famille très importante, même s’il n’avait plus aucune relation avec sa chère sœur. il y pensait, il priait. dans cette salle, une dizaine de personnes étaient présentes, quelques uns d’entre eux osaient râler du fait qu’ils attendaient depuis des lustres. ça énervait gina plus qu’autre chose, elle les verrait travailler à la place de toutes ces infirmières et chirurgiens, tiens ! mais aujourd’hui ce n’était pas le jour pour crier contre les autres, elle garda ses pensées pour elle et resta assise tranquillement sur sa chaise, battant du pied sur le sol, patientant pour savoir si sa mère allait en sortir vivante, cette fois-ci.

un mec s’approche et tente un semblant de discussion, peut-être pour oublier la raison de sa venue ici ou tout simplement pour faire passer le temps, mais ce n’était absolument pas le moment. gina ne lui répondit pas, continuant de fixer le mur d’en face, sans sourciller, comme s’il parlait à un mur, un fantôme. il passerait peut-être pour un fou, ou la fermerait gentiment, elle l’espérait. mais la seule chose qu’il trouvait de mieux à faire, c’est de la soudoyer pour sortir d’ici contre de l’argent et un paquet de gâteau. mais bon dieu à quoi pensait-il dans cet endroit ? gina tourna la tête vers lui, les yeux rivés sur son visage, pleine de rage, de tristesse, mais elle ne laissait rien transparaître.

« tu te crois dans une cour de recrée ? » elle balaya la pièce du regard, comme pour lui confirmer que ce n’était pas du tout le bon endroit pour ça.

« - si t'es là, c'est qu'il y a sûrement une bonne raison. » un temps pour le laisser comprendre qu’il n’aurait pas dû choisir gina pour sa petite blague.

« - j’ai autre chose à faire. » attendre. espérer. prier.

maman, reviens, s’il te plaît qu’elle pensait au plus profond de son être.

Spoiler:

Invité

(te dire que les méchants, c'est pas nous)
@Gina De Oliveira

ce serai traitre de dire qu’il ne l’a connaissait pas, ce serai même pas très sympa de dire qu’il ne la connaissait pas. en réalité, il l’avait déjà vu, a plusieurs reprise. elle avait arpenter les couloirs de cette horrible endroit à plusieurs reprise, toujours dans la hâte, toujours essouffler, toujours entre le courir à toute allure en poussant tout le monde sur son passage et la marche rapide qui forcer les gens qui été en travers de sa route à se décaler. elle et sa silhouette si fine, elle et ses jambes si longue qu’on s’y perd. elle a ce visage à la fois triste et paniquer, comme si on lui avait donner tout les malheurs du monde à porter sur les épaules. ce serai méchant de la part de neo d’affirmer qu’il n’avait jamais connue cette enfant, parce qu’après tout il reconnaissait ses yeux beaucoup trop rond et cette mâchoire serré. il ne l’avait jamais aborder parce qu’il n’aborde jamais personne. en premier lieu parce qu’il trouvait le son de sa propre voix agaçante, en second lieu parce qu’il ne se voyait pas donner du courage et de l’espoir à cette fille alors qu’il ne la connaissait d’Adam, ni d’Eve. pourtant, son coeur palpitant et son courage la pousser à venir s’assoie à côté d’elle, pour lui demander de l’aide, mais aussi pour en savoir un peu plus sur cette gamine un peu trop paumer.
ses doigts été glacer, le banc aussi et le ton de la brune l’été encore plus. il hésité entre rebrousser chemin et se retourner en moonwalk pour faire comme si de rien n’était. alors pourquoi il ne le faisait pas ? va savoir. son regard balayer la salle pour une autre ouverture, mais il n’en avait pas d’autre, le seul plan qui avait 0,01% de chance de marcher, c’était elle, elle et personne d’autre. il avale donc sa salive et rafraîchis sa gorge en toussant, pour reprendre la parole. « j’me souvient pas que la cour de récrée soit aussi fun. c’est vrai, on rêve tous de faire des courses sur des brancards ou se faire toucher par des vielles infirmières. » c’était pas drole, neo n’avait jamais été un garçon drole, il ne sait même pas comment il fait pour faire rire Sixtine, ou juste réussir a tenir une conversation avec elle. Si t’es là c’est pour une bonne raison. vrai. beaucoup trop vrai, il baissa les yeux sur les bandages qui ornait ses mains. signe de torture qu’il s’était infliger, cacher par de simple rouleau en tissus. il n’avait aucune idée de pourquoi on le garder enfermer, ils avaient peur qu’il recommence ? peur qu’il ne se tue encore une fois ? dans ses locaux, c’était bien possible.
« je sais pas si t’as vraiment autre chose de plus important à faire. ‘fin, j’dit ça parce que c’est la troisième ou quatrième fois cette semaine que j’te voit venir ici, ça doit être plus important qu’un taf lambda ou alors tu doit réellement adorée l’odeur de cette endroit. » il s’était autoriser à le dire, à lui faire comprendre qu’il été attentif, qu’elle n’avait rien à lui cacher, comme si elle pouvait se reposer sur lui alors qu’ils se connaissait à peine. peut être qu’elle avait envie de lacher les vannes et peut être que pour une fois Neo saurait être une bonne épaule pour l’aider à aller mieux. le problème c’est qu’il n’allait pas lacher l’affaire. « je m’appelle neo. et j’ai merder pour beaucoup de chose, mais en dehors de cet hôpital, j’ai une unique personne qui m’attend et qui compte réellement. ça fait une semaine qu’elle m’attend et j’ai besoin de ton aide pour partir d’ici. » il n’avait jamais autant parler de toute son existence, jamais autant donner des mots a sur sa vie. neo a toujours été silencieux, mais étrangement il avait envie que cette nana comprenne ce qu’il été entrain de vivre. qu’une personne comprenne ce qu’il été entrain de vivre. alors il se redresse en espérant qu’elle le suit, pour mettre à bien le plan d’évasion de cette endroit.

Invité

la journée avait déjà mal commencé, et elle allait très mal se terminer, gina le sentait à des millions de kilomètres. elle ne savait pas qui était ce jeune homme, mais il n’était pas dans une bonne posture, à lui parler de cette manière. en fait, au fond, il ne faisait rien de mal, mais il était tombé sur la mauvaise personne pour le libérer de sa solitude et le faire sortir d’ici. non, gina n’avait pas la tête à ça. et ses blagues n’arrangeaient rien. elles empiraient même les choses. déjà qu’elle n’était pas d’humeur, là, c’était encore pire. ça ne serait même pas étonnant qu’elle pousse une gueulante dans la salle d’attente, juste pour le faire taire. ses rêves à elle, ils étaient grands fut un temps, mais depuis la maladie de sa mère, tout s’était évaporé en fumée, et depuis la mort de sam, aussi. son groupe d’amis était loin maintenant, elle s’était éloignée, rien n’était plus comme avant.

« à vrai dire, j’évite de rêver, j’vis dans la réalité. tu devrais faire pareil et éviter de croire que je pourrais t’aider pour quoi que ce soit. j’suis pas ta copine. » sa langue de vipère avait encore frappée, les mots sanglants de gina s’écoulaient lentement.

elle ne voulait pas lui faire du mal au fond, il n’avait pas l’air d’un mauvais garçon, elle ne souhaitait simplement pas parler à cet instant, elle voulait rester seule, ne plus faire de rencontres, ne plus souffrir. comment pourrait-elle s’en débarrasser ?
et pour ne rien arranger, il l’avait déjà vu trainer dans les couloirs, ce qui voulait dire qu’il était là depuis longtemps. peut-être savait-il pourquoi elle était là ? non, personne ne devait la voir, personne ne devait savoir. quelqu’un pourrait se servir de cette information contre elle. gina ne faisait plus confiance à personne. sauf peut-être deux trois pour qui elle donnerait sa vie. des gens qui comptaient énormément pour elle. s’il l’avait vu, elle ne pouvait pas lui dire qu’elle n’était que de passage, mais pas forcément lui avouer la vraie raison de sa venue dans ses lieux qu’elle détestait.

« je suis une fétichiste des hôpitaux, oui, j’aime tellement ça que je viens passer des heures et des heures dans les couloirs pour m’imprégner des problèmes des autres. » comme si elle n’en avait pas assez… et franche, elle l’était, elle aimait aussi beaucoup l’ironie. surtout ces temps-ci.

au fur et à mesure, gina voyait bien qu’il n’allait pas la lâcher, qu’il espérait qu’elle s’apaise, qu’elle lui raconte sa vie. elle n’avait pas besoin d’un psy, juste qu’on l’oublie un moment. neo, qu’il s’appelle. super, elle en était ravie. gina ne s’arrêta pas non plus en si bon chemin.

« - je comprends très bien pourquoi il y a qu’une seule personne qui t’attend dehors, si t’es aussi lourd. » elle ne se rendait pas compte parfois du mal qu’elle faisait.

et la brunette avait bien remarqué ce qu’il avait au poignet. ce n’était peut-être pas la peine d’en rajouter, et puis, elle ne le verrait plus après ça, autant se calmer un peu.

« - plus vite tu seras parti, mieux je me porterais. » qu’elle finit par dire, au bonheur du jeune homme. elle soupira, et ajouta.

« - t’as un plan, petit génie ? » ça ne lui prendrait que cinq minutes. et gina pourra continuer d’attendre les nouvelles des docteurs.

Invité

(te dire que les méchants, c'est pas nous)

« le mot fétichiste me donne des frissons d’horreur. » il n’avait pas relever sa mauvaise humeur, encore moins son manque de tact. elle avait de bonne raison d’être là, il n’avait aucun doute la dessus. il voulait cruellement qu’il l’aide, sans lui demander si elle avait besoin d’aide en retour. elle ne semblait pas être le genre de gamine à avoir besoin d’une psy, plutôt de celle qui garde tout en elle avait d’exploser à coup de pied tout ce qui la dérange. à commencer par toi.
c’est un volcan, il en a connue des volcans dans sa vie, mais il ne pensait jamais devoir demander l’aide d’une d’entre elle.
il re-balaye la salle du regard, mais ne voit personne d’autre qui pourrais correspondre au profil. a vrai dire il avait besoin de quelqu’un de vivant, et tout ceux qui ont passer une nuit ici semblait être mort, de fatigue ou juste d’espoir. c’est ce qui a d’horrible avec cette endroit, l’espoir est sur un grand huit qui apparait et disparait de manière continuel. personne ne sait si il va revenir un jour, comme personne ne sait si il va redescendre dans un coup sec sans prévenir personne. c’est le grand huit des horreurs, et Neo voulait quitter ce manège aussi vite que possible.
« tu vas même pas me donner ton prénom? »
peut être qu’il va la revoir, un jour. peut être qu’il pourrais même prendre son numéro, qu’elle pourrais appeler parce qu’elle pense qu’on la suit dans une ruelle ou qu’elle doit de l’argent a un mec costaud qui lui voudrais du mal. peut être que Neo pourrais dégainer quand il sera dans un meilleur état et juste faire son travail de mec, viril ? l’aider en retour, lui rendre l’appareil comme dirait la jeunesse. il ne serai pas contre, il ne serai pas contre alléger les épaules de cette gosse qui semble porter tout le centre Afrique sur ses épaules beaucoup trop molles.
« tu te fais toi passer pour ma petite amie. signe un chèque en bois et aider moi à aller jusqu’à ma voiture. » son plan été simple, il avait déjà un faux chéquier avec un nom qui n’était ni le sien, ni celui de Sixtine. a vrai dire ils ne savaient même pas comment il s’appeler, il été inconscient et presque mort quand il est arriver. il dégouliner le sang et été à deux doigts de rejoindre Hades et la douce enfer qui serait sa futur maison. personne ne lui a redemander depuis, parce que Neo ne parle jamais, il accepte de la tête, dit oui de temps en temps, mais il ne parle jamais. « je te serai reconnaissant. » c’est suffisant tu penses ? il en sait rien, mais il aimerais qu’elle soit d’accord.

Invité

des frissons d’horreur, l’hôpital lui-même en provoquait, pas seulement le mot qu’elle avait employé. maintenant, elle ne souhaitait que partir d’ici également, mais gina était obligée de patienter pour avoir des nouvelles de sa mère. coincée ici, comme emprisonnée dans un de ces plus mauvais rêves. elle allait bientôt s’en aller au ciel, loin de sa fille, gina le savait, sa mère ne resterait pas plus longtemps parmi les vivants. bientôt, la jeune femme se retrouverait complètement seule. esseulée. ce mot la fascinait, sorti d’un poème français qu’elle admirait, ou tout simplement du dictionnaire. ce mot était d’une beauté, qui lui correspondait complètement. du moins, en ce moment. remonterait-elle la pente un jour ? certainement, elle était bien plus forte que ce qu’elle avait l’air. et dure avec les autres, comme avec ce garçon qui semblait des plus gentils. gina l’aurait certainement apprécié, dans une autre vie, un autre contexte.

“Non, je vois pas pourquoi je le ferais.

- J’ai déjà oublié le tien, de toute façon.”

il n’y avait rien pour rattraper sa méchanceté. ce n’était pas son jour. pas sa semaine. pas son mois. elle pouvait se trouver toutes les excuses du monde…. elle n’allait pas bien et la seule façon de le montrer sans vouloir demande de l’aide était de crier contre tout le monde et s’éloigner de ceux qu’elle aime. comme sid. comme adil. le décès d’un de leur groupe toujours là, présent dans son esprit, comme un vieux fantôme. pourtant, avec certains, elle arrivait à se rapprocher, à avoir des liens potables, même parfois forts, comme nikki. ou gino. elle était comme une roulette russe, on ne sait jamais sur quoi tomber avec elle. quelle facette de sa personnalité, quelle humeur. c’était quitte ou double. et parfois, mieux valait ne rien avoir du tout de sa part. c’était moins risqué, plus prudent.

gina éclata de rire, ce n’était pas vraiment discret dans cette salle d’attente qui semblait si silencieuse, auparavant, on pouvait entendre les cris des défunts. mais elle ne pouvait pas se retenir, le plan du jeune homme était à dormir debout, sérieusement, où pensait-il aller avec ça ? ils allaient se faire pincer dès le début.

“P’t’être que tu es un psychopathe qui vient de s’échapper de l’aile psychiatrique, qu’est ce que j’en sais moi ?

- Et puis, t’es en état de conduire ?”

non elle ne se souciait pas de lui, elle se souciait là de toutes les autres personnes qu’il pourrait croiser dans les ruelles de crescent heights. pas la peine de sortir de l’hôpital pour en ramener une dizaine en contrepartie.

“Et si tu es un terroriste qui compte foncer dans la foule ? Ca fait de moi…. Ta complice ? Non merci.

- Puis de toute façon ton plan craint un max. T’aurais pu trouver mieux.”

non, ce n’était pas à gina de lui proposer quelque chose de mieux, elle n’était pas là pour ça. finalement, tout bien réfléchi, elle ne gagnait rien en l’aidant.

“Prouve moi que tu es de bonne foi”.

c’était juste pour l’emmerder un peu plus, et puis ça occupait la belle le temps qu’on vienne la voir pour lui annoncer la dure nouvelle qu’elle attendait.

Spoiler:

» (25/08) gina de oliveira
» gina de oliveira
» beau masque (gina)
» ce n'est pas un rêve ▽ gina-maria de oliveira
» (accident de voiture) Juliet, Gina & Nikos