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| Sujet: de chair, d'os et de sang (ike) Mer 4 Oct - 10:18 | |
| ike lewis (26 ans - antaris - jack o'connell) -- -- -- -- -- -- -- -- --
› identité: vagues souvenirs aux échos douloureux qui murmure le prénom isaac et l'enfant enragé, trop libre pour l'accepter qui crie cent fois plus fort ike. parce qu'il l'a choisi, parce qu'il ne reste rien de ceux qui l'ont abandonné, parce que tout ce qu'il a bâti c'était de ses mains. lewis, passe partout et anonyme. Comme une ombre qu'on attrape jamais. tout le monde et personne. › âge, date de naissance: la nouvelle année comme une malédiction, l'aube de janvier pour fêter l'infortune. vingt-six années à errer sous la lune. › signe astrologique: écrire ici. › lieu de naissance, origines: enfant d'un ventre qu'il a jamais connu, gamin des rues, roi du vide. aucun sang qui résonne avec le sien, juste l'écho des rires de gosses paumés qui font résonnent avec les siens. A faire des ruelles sombres votre territoire, des nuits votre histoire. › emploi, études: l'argent tâché de sang et de sueur, gagné à l'écorchure des phalanges. les hématomes sur le corps, dans les combats de rue illuminé par les vieux néons › orientation sexuelle: ici. › statut civil: 2min30 max. › traits de caractère: la rage au ventre, l'extrême qui ne connaît aucune limite. c'est l'amour démesuré et la haine incommensurable, ike. des mots-coup-de-poing et des caresses aiguisées. Des douceurs trop éphémères et les colères surgissants sans prévenir. La dualité ou le mauvais gagne toujours, ike c'est une lumière pâle, une mauvaise foi qui se persuade du bon quand il ne subsiste que le laid. Roi des mauvais choix, ceux instinctifs et ceux même mûrement réfléchis. De tout les sentiers, il emprunte le plus obscur, comme une destinée. Fatalité. La rancœur qui tord le bide, qui ne s'en va jamais, des listes noires aux noms qu'on rayent, des abandons qu'on ne pardonne pas et jamais de seconde chance. Comme un uppercut, des sourires éclairs, des dagues dans le regards. et des phalanges qui démangent de vous couper le souffle, jusqu'au paradis ou jusqu'à l'asphyxie. Ike c'est le calme traître, une accalmie feinte avant la marée haute qui vous engloutie. C'est le mensonge et la violence, c'est la douleur même quand on aime.
( la tête tournée vers les étoiles )- Spoiler:
01. enfant de nul part, enfant de personne. il a fait des inconnus autour de lui une famille qui reste ancrée, celle qui vaut bien mieux qu'un nom sur un bout de papier. celle qui l'a aider, fait sombrer aussi. apprit à aimer, à haïr surement. celle qui l'a élevé, qui l'a brisé. tout se construit, se détruit. l'immuable ce sont ces voix, ces visages et ses gens qu'il a choisi 02. ike il a l'injustice en arrière goût dans la bouche, amertume qui ne s'en va jamais. il y a pas de demi-mesure, y a ceux né du bons côtés, ceux qui sont nés du mauvais, lui il est pas né du bon et personne ne peut changer sa place il en est convaincu. pessimiste 03. la rue il la connait comme sa poche, il pense vaguement à s'en éloigner mais ça n'arrive jamais. c'est le seul endroit ou il a ce sentiment de liberté transcendant toute raison, puissance des dieux sales, sans limite et sans lois sinon les siennes. parce qu'il fait ce qu'il veut, où il veut, quand il veut. 04. les phalanges écorchées, le sang et l'obscurité c'est son monde à lui, sa façon de communiquer, le moyen le plus simple de le comprendre sans rien savoir pourtant. ike c'est jamais les mots, les vrais. c'est de la poudre aux yeux, des petites vérités sans valeurs, du superficiel pour avoir l'air ouvert. y a jamais la sincérité pure, y a jamais le coeur mit à nu. c'est rien qu'une illusion dont les failles perceptibles ne sont jamais dévoilées vraiment. on les devine, on croit les saisir, mais même lui, il les comprend pas. 05. il donnerait sûrement sa vie pour ceux qui compte vraiment. c'est la loyauté inébranlable, ike. il trahit pas, pas ceux-là. aucun scrupules pour les autres. 06. ike c'est l'hypocrisie dérangeante quand on l'entend parfois donner des leçons à demi-mots juste après avoir cassé la gueule de quelqu'un. c'est le panorama branlant qui dévoile un type qu'a rien de glorieux, qui veut croire pourtant qu'il est mieux que tout ça. parfois. toujours à tort. 07. il réfléchit pas toujours à ce qu'il peut dire, ce qu'il peut faire ike, souvent il finit par regretter, impulsions violentes qui dépassent ses propres envies, mais il s'excuse pas. jamais. ça non plus, il sait pas faire. 08. c'est le non sens qui règne, il peut hurler qu'il te hais tout en refusant que tu partes, te laisser partir sans en avoir envie. dire je t'aime et s'en aller. ike il fait souvent un pas en avant pour en faire cinq en arrière. il parle pour agir à l'inverse, agit pour dire le contraire. y a aucune logique chez lui sinon la sienne.
Sa maison, c'était la rue. C'était les autres, ceux qui eux aussi étaient perdus. Les abandonnés, les enragés. Les mal-aimés. Sa maison, c'était jill et son sourire doux, les nuits froides dans le wagon abandonné réchauffé par les rires maladroits des amis qui trouvaient leur réconfort l'un dans l'autre. un soupçon de douceur dans la violence de votre univers. Le crissement des cailloux entre les rails sous leur pas la nuit, à refaire un monde qu'était pas à la hauteur de leurs rêves, à s'échapper d'une réalité qui était trop austère. Patchwork de vie mal accordés, des éphémères et des constantes. Tableau mathématiques qu'on résoudra jamais : des inconnus qui n'ont aucun sens mais qui se trouvent. Ce sale gosse touchant et irritant. Faux-frère, vrai famille. Cette gamine insupportable qu'on poussait dans la boue. qui lui cassait les couilles. littéralement Sale teigne. Y a tout ceux qui sont passés et partis, ceux qui sont restés, ceux sombré dans l'oubli. Ceux qui ont réussis et ceux qui ont faillit. Ceux qu'on a aimé et ceux qu'on a haït. solitaire était la nuit, sourd était le bruit. Les enfants des ombres, nichés au coin des ruelles, dansant au milieu des routes désertes, fendant le silence de leurs éclats de rires. A la tombée de la nuit, ils écument la ville, devenant rois du néant. A taguer les vieux wagons, à se lancer le ballon. Abandonnés mais jamais seuls, battant le rythme de leur existence vide de sens. il a jamais eu le soleil, mais y a toujours eu la lune. Une vague lueur au fond du ciel pour pas arrêter de se battre. Les poings serrés pour avancer. Étincelle inatteignable qui l'a fait enragé. La jalousie acide au fond des tripes devant les gamins qui riaient à la sortie de l'école, rejoignant des parents qui les attendaient. Devant les ados sortit du lycée, qui retrouverait une stabilité une fois rentrée. Il est pas né dans la lumière, il a évolué dans l'obscurité avec se besoin d'extérioriser. des ecchymoses, des plaies sanglante, les poings serrés. Uppercut et hémoglobine. victoire, défaite. oil tuméfié, côté félé, nez cassé. visage sur le macadams et spectateur morbide. la violence et l'euphorie. la folie. frôler l'excès, le non retour. le pas de trop. Y a cette cage humaine qui encercle des enragés. KO. Sa maison, c'est le sinner. des années plus tôt, et sans doute bien des années plus tard. Des âmes en perdition, et celles qui se sont trouvés dans l'obscurité des lieux. Ce mot branlant qu'on appelle famille, qui dit pas grand chose, qui suffit jamais. Qui explique tout pourtant. C'est le réconfort d'un chez soi, même imparfait. Des existences ravagés qui se retrouvent sous l'oeil indifférent de la lune. Les frères avec qui on s'engueule, avec qui on se bat. Les frères qu'on lâche jamais parce que c'est tout ce qu'on a. entre quatre murs, y a toute sa vie. Celle du gamin, celle de l'adulte. Tout les gens qui ont comptés, qui savent parfois apaisé la rage, calmer le tumulte. Et son enfer c'était elle, son paradis c'était elle. La violence et la douceur, c'était elle. La rive et la dérive c'était elle. Les lambeau d'un myocarde, c'était elle. Trop d'amour qui n'était que pour elle, et de la haine qui a toujours été sienne. Les regrets c'est en pensant à elle et la rancœur c'est la tienne. La mort, c'est son visage et la vie juste son regard. La folie c'est son nom et ta perdition c'est son prénom. Tout, c'était elle. Rien, c'était elle. Hier c'était elle, aujourd'hui pas vraiment, demain sûrement pas mais toujours. L'apocalypse, c'est vous. Ils ont grandit, les gamins des rues. Funambule sur leur fil. Et combien oserait prétendre avoir tenu la distance ? Ils ont glissé, un à un, sur les pente glissantes qui menaient à la tourmente. Il a pas fait exception, Ike. De la sueur et du sang, c'est tout ce qu'il reste. Des battements de cœur extatiques provoqué par l'adrénaline. Des hématomes et des plaies mal cicatrisées. De l'amour comme des éclats de verre planté dans le myocarde. les gamins qui savaient pas y faire. les adultes qui n'ont pas réussis. pas réussi à être heureux, à vivre mieux. -- -- -- -- -- -- -- -- --› prénom, pseudo: dis nous, on est entre copains! › pré-lien, pi: on tague le @créateur pour un pré-lien. › fréquence de connexion tu viendras nous voir souvent? › le mot de la fin: écrire ici. - code bottin:
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<cp>› célébrité en minuscule</cp> - pseudo en minuscule
Dernière édition par Ike Lewis le Lun 2 Juil - 9:34, édité 9 fois |
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