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| Sujet: nomade Jeu 10 Mai - 11:30 | |
| vahiny obcy (i'm a deaf man, chasing the ecchoes of a song that's already been played. - days 'n daze) -- -- -- -- -- -- -- -- --
prénom et nom: vahiny, douceur incontestée laissant comme un arrière goût vanillé sur la bouche. aux origines inconnues, quelques lettres mélangées aux mélodies inversées laissées par des géniteurs aux identitées oubliées depuis des années. Obcy, patronyme que tu t'es octroyée à toi-même. Alien en polonais, parce qu'au fond, t'as toujours été l'étrangère. âge et date de naissance: dix neuf ans, un certain mois d'octobre en 97. la date exacte de ton premier souffle n'as jamais été divulguée, ont t'aurais trouvée dans ta couverture de fortune aux colorations effacées par une nuit froide, la veille de la fête des morts, comme l'ironie qui te colle à la peau. lieu de naissance, origines: tu viens de la rue, du béton et du froid. tu rêves d'être descendue des étoiles sur ta comète en fusion. occupation: sculptrice. tu vends tes sculptures de bois dans la rue en échange de quelques billets. des jouets pour enfants, des poupées, des meubles construits des débris de la rue. statut, orientation sexuelle: le coeur volatile, t'arrache les étiquettes pour les laisser valser dans le vent. dans tes draps froissés, les corps douceurs des femmes, les mains rêches des hommes sur ta peau satinée. vahiny qui se donne toute entière l'instant d'une nuit.traits de caractère: la jolie nomade en constant mouvement, le sac à dos montagne sur les frêles épaules pour mieux s'enfuir dans les rues. l'hésitation impulsive, la contradiction d'une éclipse solaire. la douceur qui persiste aux bombardements. des sourires sucrés sur peau saveur soleil, la tête haute et les rêves qui implosent. groupe: stella
- cinematic apology -les gens sont pressés. ils se bousculent dans les rues, consultent leurs montres et leurs téléphones. toujours quelque chose à faire, toujours un endroit où se rendre. tu reste comme en suspends, entre les aiguilles. quelque part entre les secondes et les minutes.elle aurait pu entrer dans le moule, elle aussi. se fondre dans la masse, suivre le troupeaux. trouver un emploi, avoir un toit sur la tête, tomber amoureuse et se laisser consumer, fonder une famille, acheter une maison où finir ses jours et regarder sa descendance évoluer comme les bourgeons deviennent des fleurs majestueuses. elle aurait pu. peut-être même qu'elle aurait du, peut-être qu'elle le fera, ou peut-être pas. vahiny c'est un peu comme les oiseaux, t'aimerais attraper le coloré là-bas, qui vole un peu trop haut dans le ciel bleuté pour être touché ou vu parfaitement. vahiny c'est cet oiseau là, celui qui n'as pas vu de barreaux dorés de sa vie, celui qui est resté la tête dans les nuages toute son existence, les ailes déployées dans le vent d'été, s'envoler vers une nouvelle destination avant que les étoiles prennes le ciel devenu encre d'assaut. le squat, cet endroit un peu sombre mais si chaleureux à la fois. endroit où les humains sont plus humains que ceux qui possèdent tous ce qu'ils veulent, bien souvent. ils avaient l'habitude de lui dire qu'elle irait loin peu importe le chemin, qu'elle devrait continuer de croire. vahiny qui s'accroche à cette idée, à défaut de faire fusionner ses phalanges à celles d'un(e) autre, à défaut d'avoir quelque chose ou quelqu'un qui serait la définition même du chez sois. aller loin, c'était facile du moment qu'ont a des jambes, du moment que l'ambitions nous a pas quittés en pleins milieux du chemin, que les étoiles continuent de nous montrer la voie. alors la douce arpente les rues, escalade les montagnes, les embûches et tout ce qui se met en travers de son chemin, le pouce dans les airs pour un moment de répit quand ses jambes menacent de flancher sous le poids everest de son sac. les gens sont pressés. ils ont hâte de grandir, vieillir pour mieux regretter les jeunes années, volées, dispersées à travers les âges.- piqûre d'étoiles. -la rumeur de tes pas qui parcourent les rues, dans l'ombre des arbres camouflant étoiles, mélodie chancelante dans le silence de la pénombre. clac, clac, clac.comme une constance, une cadence parfaitement imparfaite sur l'asphalte délavé. le bruit de tes pas qui t'aide à tenir, comme un échos à tes pensées volatiles qui t'emplissent la tête quand tes prunelles marées se promène sur la faune. la semelle des tes boots usées sur les lignes jaunes, les bras bien droits, comme suspendus dans les airs par les fils utilisés pour les pantins. sauf que tu t'es jamais sentie aussi libre qu'à cet instant précis, prise dans un présent en plein éclosion. clac, clac, clac. le temps qui poursuit sa course, qui t'observe de haut pendant que tu parcours ton chemin que tu connais même pas toi-même. tu te cherche encore, entre béton et forêt, entre asphalte et écume, entre le ciel et la terre. les kilomètres qui s'accumulent, et toi qui tombe un peu plus amoureuse de tout, de rien, à chaque pas, à chaque pouce levé, à chaque personnes rencontrées, ou presque. les gens, les gens ils sont pas tous bien, ils ont pas tous le cœur au bon endroit, comme une arythmie de la connerie humaine. assise sur ton pan de mur briqué, tes créations étalées devant toi attendant de trouver une maison convenable, les regards jugements, les sourires moqueries, les murmures inadéquats. " fainéante" mais ils ont pas parcouru le même chemin, ils ont pas traversé les mêmes trous noirs à bord de la même navette spaciale que toi, non. ils ont pas rêvés les mêmes rêves, ils ont pas inventés leur présent dans les étoiles, ils ont pas écrit leurs pas dans le sable, non. alors que t'ouvres ton coeur au monde et tout ce qu'il contient, ont te grenade d'artifices perfides, et tu t'envoles, encore, un peu plus haut, un peu plus loin, tu cherche ta planète, ta maison, ton dernier arrêt, ton dernier mile parcouru. - le coeur éclosion. -
elle avait ce goût de paradis, quelque chose qu'on oublie pas, comme un parfum d'interdit.
il avait l'aura bourgeonnante des champs d'irlande en floraison, quelque chose qui se décrit pas, qui s'explique d'un frisson sur l'épiderme.
la fusion du ciel et de la terre, deux battements de coeur éclair.
mais dans chaque tempête recèle un dommage collatéral.
- - SOYONS AMIS:
prénom/pseudo: stéphanie, ou écailles de lune, .nie, alien babe. pré-lien/inventé: inventé, inspiré d'un ami qui voyage sans rien dans les poches. c'était comment ta journée? les nuages qui nous pleurent le soleil sur la tête, les journées grisailles. le mot de la fin: vous êtes toujours aussi beau qu'au tout premier jour. - Code:
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<cp>amelia zadro</cp> - vahiny obcy
Dernière édition par Vahiny Obcy le Mer 16 Mai - 5:31, édité 19 fois |
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| Sujet: Re: nomade Jeu 10 Mai - 11:44 | |
| bon déjà amélia le prénom le début de cette fiche j'adore tellement j'ai si hâte d'en savoir plus bienvenue par ici |
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Rory Raynes - reine des piques -
- requiescat in pace:
Messages : 495 Identité : cecefaiblesseabsolue Avatar : elle fanning Crédits : queen nox Âge : nineteen endless fucking years old Occupation : full time queen (of the underworld) Côté coeur : addicted to the Night(mare) Quartier : orange grove
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Lio Kentucky - ça plane pour moi -
i made it through
darkest part of the night
now i see the sun rise
Messages : 1422 Multicomptes : semyon l'taulard en fuite. Identité : anesidora (em). Avatar : finn wolfhard. Crédits : une moche (av); astra (sg). Âge : seize pelles roulées à l'humanité. Occupation : les p'tits boulots. Côté coeur : le célibat, les filles, les garçons, faut pas trop y faire attention. Quartier : une coloc mal foutue du côté des âmes noires.
| Sujet: Re: nomade Jeu 10 Mai - 12:03 | |
| je l'aime déjà d'amour, ton petit alien ce début est tellement beau, elle a l'air toute douce ta vahiny (vahiny quoi ) bienvenue par ici |
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| Sujet: Re: nomade Jeu 10 Mai - 12:20 | |
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| Sujet: Re: nomade Jeu 10 Mai - 12:24 | |
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| Sujet: Re: nomade Jeu 10 Mai - 12:54 | |
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