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 enfer et damnation

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Dmitri Malejka
Dmitri Malejka

enfer et damnation 66901517821264102125786679625961022467926n

enfer et damnation Uto1
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Âge : vingt trois ans dépassé, une vie saccagée
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Côté coeur : toujours la même chose d'puis des années, enfermer le vrai pour faire taire la folie.

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MessageSujet: enfer et damnation   enfer et damnation EmptyMar 3 Nov - 7:05

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dmitri malejka
(vingt-trois - pléiades - sid ellisdon)
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› identité: dmitri pawel fucking malejka › âge, date de naissance: vingt-trois ans, un huit juillet à c'qui parait.› signe astrologique: t'y crois pas à ces conneries, alors tu t'en tapes de savoir c'genre d'informations, t'es même pas sur d'avoir un jour cherché. › lieu de naissance, origines: né ici, t'es un gamin du pays de naissance. pour les origines ? fucking polish; accent jamais apprivoisé si tu connais la langue du paternel tu n'as jamais été ici un étranger.› emploi, études: études envoyé à la poubelle sur un coup de tête, t'utilise tes mains pour éviter de devoir penser. mécanicien la semaine, t'es assez doué pour ça, et l'soir tu trâine ta carcasse dans un vieu bar miteux où un patron assez taré a accepté de t'engager. › orientation sexuelle: faire écarter les cuisses des filles y'a que ça qu'tu veux qu'on retienne. l'reste c'est pas votre business. › statut civil: et dans vos sombres esprits tortueux vous y verrez que du feu. enfant maudit, enfant ennemi, il faudrait déjà savoir te supporter, et te persuader de revenir pour que quelqu'un puisse se vanter de passer plus de deux nuits contre ton corps. mais les nuits se sont enchainées, si la tempête pour l'instant s'est calmée et le garde entre tes draps; t'sais bien Dim que ça ne durera pas.
› traits de caractère:arrogeant. violent. connard. tête à claque. loyal. explosif. drôle. indépendant. con mais pas que. réaliste. insupportable. créatif. voleur. enrâgé. endiablé. paumé. lucide. dans une réalité si vivement teintée, on ne peut pas inventer les qualités quand tout ton être depuis sa création crie après les défauts. enfant du diable, tu crèveras le long d'un trottoir, le crâne défoncé par une vengeance névrosée. t'es pas né pour l'humanitaire, tu laisses ça aux demeurés.

( la tête tournée vers les étoiles )ésacaté>
01. ton paquet de clope. mater les étoiles. les filles qui écartent facilement les cuisses. fumer après le sexe. passer ta colère en tapant. la boxe sur quelqu'un. un burger et un joint. Lysandre comme pas permit. ne pas savoir ce que tu d'viendras. regarder les voiture passer sous les ponts. t'énerver contre quelqu'un. les haricots verts. les gilets en laine. trainer le soir sans but. ne pas rentrer de la nuit. fixer un merdeux. rester à tourner en rond avec Lys', sans s'emmerder. évacuer ta frustration par le sexe. évacuer ta frustration par la violence. évacuer ta frustration par les insultes. voler juste pour le fun. les fastfood. fumer dans l'herbe sans but. évacuer ta frustration part tout les moyens, même malsains. son odeur entre les draps. 02.qu'on t'prenne la tête. la rééducation. ta nympho de mère. la vie en général. qu'on pense te connaître. beaucoup de tes actes passés. qu'Lysandre l'ait dégommé. qu'on te parle trop. les filles qui ouvrent leur gueule. les brunes anorexiques. voir sa gueule en rêve. te réveiller en sueur. l'hiver. les frites. l'eau trop froide. le froid. dormir sans couette. le manque 03. bang, et le reste c'est du passé. bang et le son il s'est répercuté, plein de morceaux envolés. Et c'est comme ça que ça s'est passé. On te l'a pas raconté, on te l'a pas expliqué. Au première loge pour réciter. Bang, et sa présence s'est éclipsée, bang et sa tête a explosée. Plus de famille Dmitri, plus de main à tenir dans la ruelle le soir. Plus qu'une ombre qui se dit être mère, plus qu'un souvenir d'un sourire lointain, ancien, et de morceau d'un crâne paternel explosé au coin d'une ruelle mal fréquentée. Bang, c'est ta vie. 04. Tes veines sont infectées, ta gorgée est nouée, tes yeux sont injectés. Toi la vie tu la vis pas, tu la brûles. Par tout les bouts possible. Toi tu t'fous d'tout. De la vie, de la mort, des autres, de toi. T'es d'ceux qui aiment rien, t'es d'ceux qui souffrent sans qu'on le voit, t'es d'ceux qui font souffrir et à qui on en redemande. T'es d'ceux qui crèvent tôt. 05. Fils unique, tu créés ta famille à partir d'un rien. Un regard, un sourire, un gâteau. Partner in crime, partner, brother, etc. Y'a un nom, y'a un visage, y'a une terreur qui s'inscrit. Partout. Un duo qui fait peur, un duo qui impose. Lys et Dim. Dim et Lys. Deux côtés d'une même pièce. Tu pourrais crever pour Lys, tu pourrais tuer pour Lys. L'un comme l'autre vous avez assez pour vous assassiner, pour vous enfermer, pour vous détruire... mais on détruit pas se qui nous fait respirer. Et même si ces derniers temps le regarder t'empêche de bien respirer, c'est toujours pareil. C'est Lys et Dim. Dim et Lys. contre l'reste du monde 06.Ta gueule tafiole !, mais aussi tu t'es prit pour Dardevil en plus pédé ?!, ou alors, t'aimes pourtant ça qu'on te touche pédé.. , juste Pédé et stupide, et suppliques de pédales , pédé te fais pas d'illusion , évidement les pédés seuls volent par milliers, mais encore, Va crever pédale.. vocabulaire des plus varié pour le gars le plus enfoiré. t'as pas besoin d'une flopée de mot pour l'illustrer, la bonne vieille répétition haineuse et vulgaire. tortionnaire. t'es l'gars qu'on ferait crever pour haine identitaire. homophobe au possible, t'incendies la décence avec l'insolence. c'est pas l'vaurien des bas quartier, c'est l'crevard qu'on devrait éliminer, la peste et choléra mélangés, tu brûles les âmes avec un poison que tu sais maitriser. refoulé, malmené, jamais t'iras l'assumer, tu préfères cracher, dénigrer, diminuer... t'es l'vrai enfoiré qui aime cracher. si les actes passés l'ont atténués, en rien ils l'ont tué. on n’éradique pas les fléaux comme ça.   07. Lys, il a cassé du pédé, c'est vulgaire mais c'est vrai. t'as d'quoi l'envoyer en taule, un aveu, une bavure. autodestruction assuré... pour un acte vengé. Lys t'a volé son regard, ses yeux bleu et son avenir. il a brisé ton âme en deux, au moment où tu savais même pas en posséder. c'était dur, c'était violent, c'était brûlant. et tu pourrais, d'un mot tout lentement prononcé le faire payer. mais t'es pas un saint, et t'es pas de ceux qui voient les choses bien. t'es prêt à continuer, à l'assumer, le couvrir et nier. et même s'il t'a volé l'regard d'ce pédé dont tu te pensais amouraché, tu l'suivras dans la tombe avant d'cracher. 08. accidenté de la route, drogué au possible, t'as frôlé la mort, t'as frôlé la vie. t'aurais voulu juste la fuir pour de vrai mais au lieu de ça t'as continué à respirer. deux semaines sous respirateur, le temps que les bleus dans ton cerveau s'éloignent et te laissent respirer. ton coma s'est éloigné, et retour à la vie. obligé. retrouvé dans une chambre vide, dans une chambre froide, sans pouvoir bouger. parce que oui, après le temps mort, il y'a la vérité. l'atroce vérité d'un corps malmené, à entièrement rééduquer. 09. y'a plus rien, rien d'tout ça, y'a plus du gamin qui finira par crever sur l'bitume. ça c'est déjà arrivé, ça c'est déjà passé, et l'kid il a crevé. 10. y'a pas d'mots pour t'exprimer, pour l'exprimer, alors t'as arrêter de vraiment parler. t'as arrêté beaucoup d'chose avec ces mois qui ont passé. le jour et la nuit, la nouvelle bipolarité. avant tu riais pas aussi vrai, tu t'en foutais pas aussi bien. nouvelle réalité, avant t'étais de marbre, maintenant c'est l'volcan en ébullition. un torrent de choses. tu ries pour de vrai, tu hais pour de vrai. votre duo imposait la crainte, maintenant tes coups de folie imposent la terreur. que ton meilleur ami te contienne à peine n'aide pas à apaiser les erreurs. tes mots sont encore plus sales, tes insultes plus brutes. et si tu ries et tu t'éclates aujourd'hui pour de vrai, on s'inquiète de la moindre chose qui pourrait faire tourner tes envies. le monstre de colère, petit prince et enfer. 11.la coke devenue meilleure alliée pendant de longs moins, l'alcool refoulé au placard pour toujours planer. plus haut, plus loin. c'était beau, ce monde plus calme et éloigné des démons de ton crâne. et aujourd'hui retour à zéro, le manque qui brûe chaque seconde de tes veines, l'alcool souvent pour apaiser l'envie d'une ligne, l'envie d'un rail que tu retiens sans savoir quand tout s'arrêtera. 12. adrénaline par paquet. haine viscérale qui ne s'éteint qu'un temps jusqu'à ce que ton corps se crispe d'horreur et de terreur. manquer la mort, frôler l'arrêt total, rester en vie. nouveau jeu dangereux, nouveau jeu qui s’immisce dans ta vie. bordel, t'as jamais été fini. 13. tu connais ni la mécanique du coeur, ni celle de l'esprit. t'es monté à l'envers, machine mal réglée. 14. crevard mal réglé, t'as finit par te tirer de chez elle. adieu les baises de pleines nuit, les rails de coke incrustées dans la table basse de ton enfance. les photos d'un paternel à la cervelle explosée. vous avez pris un truc à deux, les deux tarés bien défoncés. un salon immense, une cuisine qui ne sert pas, des chambres à l'opposé. y'a des insultes qui claquent souvent, mais en vrai c'est l'rêve de gosse de chacun qui s'réalise. vivre ensemble, s'envoyer chier, s'engueuler si peu. le duo de l'enfer, cet appartement c'est l'antre de Lucifer. 15. tu baisais chaque soir, une différente. ou bien celle de la veille, quand elle était douée, et qu'elle savait quand il fallait s'taire. tout pour t'occuper, robot bien rodé, l'sexe dans ta vie il a toujours bien trop compté. puis il est revenu sur le tableau, puis il a remit le feu à toutes tes bonnes résolutions. Wilde, en lettres diaboliques.




T'es moche et tu le sais. C'est pas comme si tu pouvais compter sur ça, tu en as conscience. Derrière ce gloss rosé, et son fond de teint y'a que ton visage et ta peau décharné. C'est pas comme si tu pouvais compter sur ta beauté pour briller. Tu devrais le savoir à forcer d'y être confrontée. C'est pas comme si en plus tu le compensais, t'es chiant et t'es qu'une dégonflé. Alors tu vois t'as vraiment rien pour faire envier, y'a ta laideur qui nous fait nous arrêter, tu pues le déjà vu, tu chlingues les ravages dans la rues, tu dégoulines plus de sex-appeal. T'aurais pu faire une bonne pute si tu savais la fermer, mais tu sais pas. Pauvre petite fille à papa disgracieuse. T'es pas laide, t'es moche, de l'intérieur comme de l'extérieur rien en vaut le détour. Tu serviras à rien, tout comme aujourd'hui d'ailleurs. T'en a conscience. Je le sais. Y'a juste à regarder tes prunelles scintillante, tu brilles d'une lueur amusante. Non la réalité elle est trop chiante. T'as pas d'étincelle, ou de fierté, t'a que la dope et l'orgueil pour te faire encore marcher. Pauvre petite fille à papa oubliée, tu fais pitié mais tu le sais. Tu caches ta laideur derrière un masque de beauté, tu caches tes pleures derrières des verres d'alcool brûlé. Tu finiras pas, tu n'irais pas loin. Et pourtant t'es là à tous les faire bandé. Dix centimètres de talons, une jupe qui couvre à peine ton derrière tant maté. T'es qu'une pute de l'an deux mille. T'es qu'une prostitué comme il y avait, mais sauf que toi t'es qu'une raté. Tu comprends pas vraiment. T'as jamais vraiment fait de mauvais choix, pauvre petite fille à papa délaissée. Envoyée valsée dans un monde qu'elle n'a pas souhaitée. Les étoiles de princesse se sont vite envolées n'est-ce pas ?! Et tu te trémousse, ivre d'alcool et de désespoir. Tu sais comme moi que ce soir celui qui te sautera ne t'aimeras pas, qu'il n'y a a ni prince charmant ni fin glorieuse. Tu le sais je le vois dans tes yeux. Et t'es moche et chiante je le sais, mais ton désespoir est trop beau et compense ton absence d’ego. T'es plus rien, t'as plus de fierté, plus d'espoir, t'es qu'une loque trop lâche pour en finir. Tu me plais, tu le sais ? Non parce que le reconnaître serait admettre que tu ne survivras pas, t'es trop bas, trop loin, tu remarques plus personne, hormis les mains abjectes qui te touche. Je n'irais pas les virer, je ne fais que contempler ta descente aux enfers. Je jubile, tu me fais jouir ni par ta beauté ni par ton originalité, non t'es qu'une banale fille de joie qu'on trouve les samedi soir tâchés.

≈ ≈ ≈
 J’sais m’battre, j’vous préviens ! Alors là s'en est une bien belle de connerie, tu lèves les sourcils en le dévisageant. De toute manière il va finir par se pisser dessus, ou faire un arrêt cardiaque. t'es déjà assez responsable de ses problèmes de santé, non ? tu le dévisages ta colère contre toi même refaisant comme toujours surface contre autrui. Contre lui. En un coup j'te met à terre. ta voix sort dans la nuit, froide, implacable, avec acidité. tu t'doute qu'il finira par la reconnaître, il est pas con. La sienne, elle reste incrustée dans ta tête. Depuis des semaines. et tu le fixes le silence retombant, un temps. Mais faut pas s'leurrer, t'sais pas contenir, t'sais pas te taire, encore moins compatir. Et tu te hais. Baisses tes points, tu t'es prit pour Dardevil en plus pédé ?! t'expire la fumé, tu le fixes, alors qu'il en est incapable, par ta faute et celle de Lys. Connard.
≈ ≈ ≈
Toi t'es qu'un mec qui veut pas de ça. T'as jamais signé pour ce genre de connerie, de débilité, de futilité. Tu voulais juste... quoi ? Baiser ? Du plaisir et rien de plus ? Oui, exactement. Seulement voilà, pour le petit crétin qui voulait que baiser, dans l'histoire c'est toi qui t'es fait baiser. En beauté. Sans le voir venir. Ce p*tain de tournant dangereux. T'as pas réagis assez vite. Tu serres les dents tu t'écartes un peu, tu te redresses. Tu veux l'envoyer chier. Après tout tu ne lui dois rien. Strictement rien. Où peut-être juste sa vie gâchée. Stupide culpabilité. Tu le haïs. Tu voudrais. T'es pas l'centre de mon monde. J'avais à faire c'est tout ! J'vais pas arrêter d'vivre pour ta gueule et ces conneries... Voilà. T'es beau, t'es bien, t'es un sacré crétin. Pire un sacré connard. C'était si difficile de dire que tu flippes ? De ça. De lui. De vous. De ta poitrine trop oppressée quand il est pas là, de ta poitrine trop malmenée quand il est trop près. J'veux pas m'attacher. A personne. J'vis ma vie... Tu rajoutes, naïvement, en pensant que c'est toi qui décide, que c'est ta tête qui aura le dernier mot sur ces trucs qu'on appelle communément sentiment.
≈ ≈ ≈
Volant, course, bitume, verres, métal, sang, black out. Et d'un souffle commun c'est comme une respiration unique qui s'arrête alors que les bruits se suivent et brise la ruelle qui semblait ne pas pouvoir vivre pire. Et le peu de cris de terreur qui suivent l'engin qui percute quelques fois le bitume, sont absorbé par la suite écœurante du métal contre le bitume. Peu à peu y'a des bruits qui parcourent, qui se réveillent, et la musique semble s'arrêter au loin face au murmure qui devient plus fort. Oh mon dieu. Faut appeler une ambulance !! Aidez le !!! Et les mouvements, et les discussions entre terreur et stupéfactions. Et tout remonte à ta gueule, comme un mur immense en pleine figure. Sonné. Non. Une respiration qui déchire tes poumons, oppressé. T'essayes de repousser un truc, tu comprends pas. C'bruit dégueulasses, et ces paroles au loin. [...] Y'a plus d'son dans ta voix, y'a plus d'sang dans ta bouche, y'a plus rien qui semble bien fonctionner ni corps ni cœur bien entrainé. Lys... j'veux pas... pas... crever... j'ai p.. Y'a cette peur qui te prend au coeur, un coeur qui semble même plus vraiment bien fonctionner. Toi qui pensait ne pas en avoir, c'est pourtant ça qui te faisait durer. Rester. Et putain t'avais décider de l'aimer, lui, la vie, l'après, le bien, le calme... Et putain tu voulais... vivre. Vraiment. Et c'est déjà du passé alors que seul tes derniers souffles semble y rester et ton esprit déjà s’envoler.
≈ ≈ ≈
haine d'autrui, haine du monde, haine de soi. y'a plus rien qui brûle en toi, rien de distinct, qu'un brasier sans non et sans pitié. haine des autres, haine du temps, haine de toi. c'est comme un verdict d'après mort, un constat d'après vie. tu l'supportes pas. tu craches sur tout, tu craches sur vous. toi et Lys, un cicatrice brûlante et violente, une plaie béante qui semble pas s'apaiser. haine de lui, haine du passé, haine de tes pensées. c'est ce qui vous a rapproché, plus étroit que jamais, plus lié qu'une entité. tu vas mal et il le sait. Lysandre le plus gros bâtard de renommé, qui semble tout passé pour ton démon endiablé. il passe tes insultes, il passe même ses exs que tu vas baiser, parce que tu veux blesser, abimer, te venger. contre une loi qui n'existe pas, contre un karma qui ne s'arrêtera pas. t'as mal de tout, t'as mal pour tout. ton égo meurtri, tes actes stupide. débile. tu voudrais tout effacer, jusqu'à son nom, le renier. lui l'handicapé qui t'a quasiment tué. l'pédé dépravé, celui qui a faillit t'aliéner. pauvre con, taré.
≈ ≈ ≈
chapitre terminé. résolutions oubliées, il y a la tempête qui s'est apaisé. météo qui stagne et qui fait oublier l'enfer d'une autre réalité. enfermé dans une bulle qui n'a jamais été faite pour durer... dans une chambre qui n'est pas faite pour tout réparer. tu t'laisses par un instant berner Dmitri, avec son corps, avec les nuits qui vous entoure d'anonymat apprécié. il y a vos mains qui s'égarent, vos lèvres qui s'accrochent et ton cœur dont tu perds encore plus le contrôle. tu l'sais pourtant qu'il faudrait revenir à la réalité; que Lysandre restera pas toujours sur le banc à attendre de jouer, que tu ne peux fuir le monde et encore plus ta personnalité... il vous berce d'illusion Wilde et ses belles promesses qui endorment pulsions et brutalités; il se berce de promesses de changement que t'es pas sur de pouvoir garder dans la longévité.


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› prénom, pseudo:  enfer et damnation 3761149357 › pré-lien, pi:  enfer et damnation 1172238142  › fréquence de connexion: jamais. › le mot de la fin: tmtc.


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Lio Kentucky
- ça plane pour moi -
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Identité : anesidora (em).
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Âge : seize pelles roulées à l'humanité.
Occupation : les p'tits boulots.
Côté coeur : le célibat, les filles, les garçons, faut pas trop y faire attention.
Quartier : une coloc mal foutue du côté des âmes noires.

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MessageSujet: Re: enfer et damnation   enfer et damnation EmptyMar 3 Nov - 8:03

oh fck
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Dmitri Malejka
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MessageSujet: Re: enfer et damnation   enfer et damnation EmptyMar 3 Nov - 13:48

ouè pardon pardon,
un forum a fermé du coup on a ramené nos deux ici, histoire d'avoir un lieu où poster Arrow
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