trafic d'orgasmes

loevan lawford
(on met dans les gens des bouts de nous que l'on reprend.)
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prénom et nom: c’est dans une église catholique qu’il a passé les premiers mois de sa vie, il a eu de la chance avec son frangin que l’infirmière qui s’etait entichée d’eux s’en foute un peu de dieu et décide de lui donner un prénom un peu sympa, loevan elle a écrit sur le bracelet et il fut ainsi prénommé. lawford c’est parce qu’il fallait un nom pour l’associer,  pas vraiment le pouvoir de choisir à cet âge là. âge et date de naissance: vingt quatre ans qu'il se traîne, qu'il subit les vices de la vie. il est né accompagné d'un autre lui, mais maman et papa n'ont voulu aucun des deux et les bambins ont été retrouvés dans une poubelle alors qu'ils étaient sur le point de crever de faim, ils ont sautés de foyer en foyer personne voulant garder un cinglé et son ange gardien. lieu de naissance, origines: inconnues, une question qui revient trop souvent dans les conversations et qu'il a trop de mal à éviter, qu'est-ce que ça peut bien foutre où il était par le passé? il est ici maintenant et il s'y sent presque bien. occupation: quand il est pas en train de se taper une enième prostituée, il est parfois dans le bar de son frangin, à jouer le videur, le barmaid parfois même l’ivrogne. le reste du temps, il est caché dans le noir avec la lumière du jour qui filtre à peine à travers les volets. loevan, il peint, son âme, son monde. et ses toiles noires se vendent bien quand il se décide à les montrer. statut, orientation sexuelle: il a tout essayé, il voulait rien négliger aujourd’hui encore s’il a pas trop de choix ça le dérangera pas d’explorer d’autres corps. mais ceux qui lui plaisent vraiment, ce sont ceux des gamines, des rondeurs sous les tee-shirts, des effluves de parfums au creux du cou. il aime quand elles sont faibles, vulnérables, douce comme de la soie, prête à tout apprendre de lui. traits de caractère: impulsif, hypersexuel, cassé, dépendant, créatif, enragé. groupe: antaris.

- la tête tournée vers les étoiles -

« il y a une fille. » ton frangin lâche tout à coup et tu détaches tes yeux de la blonde assise au comptoir que tu examines depuis un bon quart d’heure pour le regarder lui et sa mine crispée. « sans blague ? » il secoue la tête, passe une main dans ses cheveux qui ne bougent pas d’un centimètre. « dans ma vie. c’est dans ma vie qu’il y a une fille. » cette fois, tu prends la peine d’écouter un peu plus attentivement ce qu’il te raconte, il est tellement étrange depuis des semaines que t’as l’impression de passer tes journées à côté d’un inconnu. t’es pas trop du genre à poser des questions alors tu t’es dit qu’il finirait par s’ouvrir et se confier sur ce qui le tracassait, mais t’étais loin d’imaginer quelque chose dans ce genre là. «  tu te la fais ? » il soupire, tu vois bien qu’il est agacé, ou peut-être gêné ? d’habitude quand vous discutez d’un truc sérieux, t’es le principal sujet. « c’est pas comme ça entre nous. » beurk, tu fais une grimace de dégoût et il la remarque, t’espère que même s’il est en train de te dire qu’il a des sentiments, il se la fait parce que sinon ça craint grave. « combien de temps que tu la vois ? » il réfléchit même pas. « trois mois. » ça craint grave, grave. « j’aimerais bien que vous vous rencontriez. » t’avales ta bière de travers, mais c’est quoi ce charabia ? n’empêche tu peux pas ne pas remarquer qu’il a l’air content rien qu’à l’idée que tu vois sa belle pour de vrai, alors tu cèdes d’un hochements de tête et son sourire s’élargit. «  alors quoi, on est trois maintenant ? » tu demandes un peu sur la défensive et il rigole franchement. «  peut-être bientôt quatre même ! » il hausse ses sourcils de façon suggestive et sous la surprise, tu manques de t'étouffer avec ta bière. ta réaction le fait rire plus fort encore, pendant que t’essuies le liquide que t’as recraché, il reprend son sérieux. «  jamais, mon pote. toi et moi contre tous, tu te rappelles ? » il tend sa main et tu l’attrapes. «  toi et moi contre tous. » tu répètes doucement.

☽☽☽

« tu peux me le dire, si tu gères pas. » ses yeux sont rivés sur toi, ils ne te lâchent pas depuis que tu es arrivé dans la pièce. « putain, mais je te dis que je gère ! » tu exploses soudain et il ne cille même pas, parfois tu regrettes de pas être seul, parfois tu regrettes que quelqu’un te connaisse si bien. il finit par décoller ses mains du plan de travail pour ouvrir le frigo, il attrape une bouteille de jus d’orange à moitié entamée pour en boire une gorgée avant de te la tendre, tu la prends sans dire un mot, tu tentes de contrôler ta respiration, les fourmis qui courent dans tes jambes, dans tes mains et dans ton calbut. ça te met en rogne qu’il sache exactement quand il faut la fermer pour pas te voir tout détruire sur ton passage, après quelques minutes de silence, il bouge vers l’entrée pour enfiler son manteau. « qu’est-ce que tu fous ? » tu peux pas t’empêcher de demander un peu inquiet de faire une connerie s’il se barre. tu veux pas qu’il se reproduise la même chose que la dernière fois, tu veux pas redevenir le monstre que t’as été, c’était il y a longtemps, c’était une seule nuit, c’était une seule fille, mais tous les jours, elle te hante. et quand c’est pas elle, c’est le souvenir de tes mains, de tes mots, de tes actes, c’est la chaleur dans ton ventre qui te rappelle que t’as adorer ça bousiller une vie, bousiller une fille. « je vais faire un tour. » il se contente d’annoncer avant d’ajouter : « beverly est dans ma chambre, si tu veux… » tu craches le jus que t’as dans la bouche, les yeux écarquillés, tu t’exclames : « si je veux quoi, bordel ? » tu peux pas croire qu’il est en train d’y penser et pourtant quand tu le regarde, tu sais qu’il est sérieux, tu comprends pourquoi il décide de partir à ce moment là. et putain, tu te demandes ce que t’as fait à dieu pour qu’il t’inflige un truc pareil, les pulsions qui défoncent ton crâne depuis des heures s’intensifient quand elles comprennent ce qui pourrait arriver. « penses-y loe, ok ? » tu ris, et ce n’est pas un rire joyeux, tu ris parce qu’il est cinglé. «  hors de question. » tu craches à sa figure avant de déguerpir dans le couloir avec la ferme intention de t’enfermer dans ta chambre pour la soirée, mais il y a la porte qui claque et ta bite qui réagit à son absence. et puis, il y a sa présence à elle dans l’autre pièce. tu maudis ton corps, tu maudis ton jumeau, tu maudis ce monde merdique dans lequel tu vis et t’ouvres la porte qui mène à l’enfer. dans le lit, une silhouette se détache de l’obscurité, elle te fait un sourire discret : « camden, c’est toi ? » sa voix rauque manque de t’achever, tu peux plus lutter. tu souris à ton tour, ferme la porte doucement sans lâcher la gamine nue du regard. « c’est moi, bébé. »

- SOYONS AMIS:

je poste un deuxième message pcq déjà je fais ce que j’veux   et ENSUITE j’ai besoin de votre aide, j’ai choisis daniel pcq il est craquant et qu’il colle au personnage, mais est-ce que vous avez d’autres idées d’avatars par hasard, un peu dans le même style? faut que ce soit un mec canon qui en impose, pas une gueule trop douce même si j’aurais kiffer sam way ou jake cooper mais peur qu’ils collent pas, so voilà si vous avez des idées genre bederov, lachowski, vous voyez? bref bref love  

Spoiler:

Nora Campbell a écrit:

dommage que tu veuilles changer j'adore tellement la bouille de bederov

j'approuve. nous faire miroiter bederov et le reprendre, c'est cruel, c'est tout bonnement cruel, que fait amnesty international
sinon merci de ruiner mon mercredi avec cette fiche qui m'a piétiné le coeur de façon répétitive.
ta plume est sublime, le perso aussi, que dire de plus à part que, vraiment, je te hais
rebienvenue

Nikos Avergopulos a écrit:

J'dois être vraiment tebé parce que j'ai vraiment lu "trafic d'organe".
Bien ouej et bienvenue chez les âmes torturées sadomaso

et moi j'ai lu castré au lieu de cassé derrière hypersexuel et je comprenais plus rien
anyway, ce perso est gold, genre vraiment mais venant de la meuf qui joue leo, c'est pas super surprenant
rebienvenue chaton, quelle putain de fiche et je milite pour le maintien de bb daniel

Nora Campbell a écrit:

t'as déjà fini
dommage que tu veuilles changer j'adore tellement la bouille de bederov
et j'réfléchis avec un lien, on se fera un combo leo/loe (omg tu vas nous CONFUSER MDRR )

ouiii, j’ai ce personnage en tête depuis longtemps !
je vais peut-être le garder alors  
MDR j’avais même pas remarquer, mais j’avoue putain  

Gemma de Salm a écrit:

Nora Campbell a écrit:

dommage que tu veuilles changer j'adore tellement la bouille de bederov

j'approuve. nous faire miroiter bederov et le reprendre, c'est cruel, c'est tout bonnement cruel, que fait amnesty international
sinon merci de ruiner mon mercredi avec cette fiche qui m'a piétiné le coeur de façon répétitive.
ta plume est sublime, le perso aussi, que dire de plus à part que, vraiment, je te hais  
rebienvenue    

ohhh, alors comme ça je piétine ton coeur gemma, j’en connais deux qui vont m’en vouloir   merci pour tes mots, ils sont magnifiques pour mon ego

Nikos Avergopulos a écrit:

J'dois être vraiment tebé parce que j'ai vraiment lu "trafic d'organe".
Bien ouej et bienvenue chez les âmes torturées sadomaso

Cece Cartwright a écrit:

Nikos Avergopulos a écrit:

J'dois être vraiment tebé parce que j'ai vraiment lu "trafic d'organe".
Bien ouej et bienvenue chez les âmes torturées sadomaso

et moi j'ai lu castré au lieu de cassé derrière hypersexuel et je comprenais plus rien
anyway, ce perso est gold, genre vraiment mais venant de la meuf qui joue leo, c'est pas super surprenant
rebienvenue chaton, quelle putain de fiche et je milite pour le maintien de bb daniel

« de la meuf qui joue leo » ça me fait super plaisir que ça plaise, merci bcp et ouais bon d’accord je garde bederov