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| Sujet: “Moonlight drowns out all but the brightest stars.” _Niamh Ven 13 Oct - 13:52 | |
| Niamh Sarkisyan (“I like the stars. It's the illusion of permanence, I think. I mean, they're always flaring up and caving in and going out. But from here, I can pretend...I can pretend that things last. I can pretend that lives last longer than moments. Gods come, and gods go. Mortals flicker and flash and fade. Worlds don't last; and stars and galaxies are transient, fleeting things that twinkle like fireflies and vanish into cold and dust. But I can pretend...” )_ Neil Gaiman -- -- -- -- -- -- -- -- --
prénom et nom: Niamh Sarkisyan. âge et date de naissance: 23 ans. 18 Mai 1994 lieu de naissance, origines: Dublin, Irlande, mais sa famille vient d’Arménie, elle a la double-nationalité et parle bien évidemment l'arménien en plus de l’anglais. occupation: Diplômée en comptabilité. Actuellement sans emploi et sous peu danseuse au Sinners, parce que financièrement, c’est plutôt la merde. statut, orientation sexuelle: En hiatus, ça ne va plus trop entre eux, alors ils se sont dit ‘Stop’. Mais, ça ne change rien au fait qu’elle soit bisexuelle. traits de caractère: Discrète ; Douce ; Paumée ; Naïve ; Affectueuse ; Tactile ; Sérieuse ; Obstinée ; Fière ; Calme, mais étincelle dans un tas de paille ; Patiente jusqu'au point de rupture ; Looser au féminin ; Poissarde en puissance ; groupe: antaris.
- la tête tournée vers les étoiles - Et elle s’envole. Porte claquée. Dévale les escaliers. Perles cousues sous les paupières, elle pleure muette. Y a qu’un sac sur son épaule. Un sac de tout, un sac de rien. Quelques fringues arrachées du placard, quelques trucs, quelques choses. Du bric et du broc. Et elle est dehors. Il pleut dans ses yeux tandis qu’elle les dirige vers la façade de l’immeuble. Pause. Non, non. Elle veut pas de ça, une pause. Elle préfère les éclats et les cris. Elle préfère la sécurité d’un toit et la chaleur des draps à la fraîcheur et la solitude de la nuit. Des étoiles plein les yeux, des plans sur la comète, oh, les rêves qui éclatent. Débris qui s’envolent jusqu’en Irlande. Pourquoi elle est partie déjà? C’était pas un caprice d’enfant gâtée. C’était pas une décision prise sur un coup de tête. Peut-être qu’elle s’était fait des films, peut-être qu’elle aurait du être plus raisonnable. Mais c’étaient deux belles années qu’elle venait de passer sur le continent américain. Presque à l’autre bout du monde. Un océan gigantesque la sépare de ses parents, de son île. Loin, loin, de tout, d’eux. Tant mieux. Les pieds ancrés profondément dans la terre, ils ont dit tu pars, ne reviens pas. Tu pourras pas dire qu’on t’avait pas prévenue. Elle connaissait pas le cœur des hommes, Niamh. Elle avait pas idée que les choses comme l’amour pouvaient s’essouffler de la sorte. Mais comment aurait-elle pu le prévoir ? C’était peut-être un petit peu trop parfait au début. Trop de trop. Pas assez de défauts. Pas assez de couacs et de clics. Alors quand ça a commencé à glisser, à prendre de la distance. Quelque chose de cassé. Elle a paniqué. Lui, s’est fâché. T’as plus besoin de moi que moi de toi. Il n’avait pas tord. Sans lui, il lui faudrait se débrouiller pour se loger, c’est lui qui l’avait aidée à trouver un travail. C’est lui qui l’avait fait venir ici, c’est lui qui lui garantissait une situation stable si loin de là où elle a grandi. Mais sans lui, c’est compliqué. Debout, dans la rue, elle est perdue. Alors elle déambule. Premières nuits dans un motel. Premières angoisses. Les cernes sous ses yeux en arrivant au bureau, elle pique du nez sur le clavier de son ordinateur. On la surprend, on la sermonne. Elle la sent la spirale qui s’ouvre sous ses pieds et elle se sent emportée par le courant sans rien pouvoir faire. Alors, elle ne lutte pas. Elle ne lutte pas non plus quand elle est finalement convoquée par son boss pour qu’il lui dise que c’était pas possible. Que les gens comme elle, il pouvait pas les garder dans sa boîte. On sait jamais. Vous les islamistes. Elle avait sursauté, tremblé et son visage avait perdu des couleurs. Quoi ? Sa peau sombre. Ses croyances. L’une était évidente, l’autre beaucoup moins. Elle cachait aux autres le Dieu auquel elle adressait parfois quelques prières muettes. Allah quand ça l’arrange. Pas pratiquante,vaguement croyante. Il est la rambarde à laquelle elle se raccroche quand elle se sent basculer dangereusement et là… c’est la chute. Y a plus rien. Elle s’est écorché les doigts, cassé les ongles. Hématomes qui constellent ses genoux et ses coudes en se débattant. Mais la douleur. Serre les dents. C’pas une battante Niamh. C’est une plume, légère et douce qui a pas les armes. Alors, elle flotte. Dehors. Dans la rue. Assise sur un bout de trottoir, le visage dans les mains alors que le monde autour d’elle s’écroule. Elle a bien trouvé un appart’, une colocation sombre à pas trop cher. Mais combien de temps elle pourrait rester là ? L’horloge et le calendrier qui défilent. La date sur son bout de papier vert qui l’autorise à rester sur le territoire se rapproche dangereusement. Elle sait pas quoi faire, Niamh, elle est paumée. Elle veut pas retourner en Irlande, hors de question. Elle aimait bien sa vie ici, oh oui. Puis, surtout, elle aimerait bien le récupérer. Que ça s’arrange entre eux. Sans lui, c’est pas possible. Mais il lui faut trouver une solution. Alors, elle écume les petites annonces, en écrit d’elle-même. Comptable. Y a toujours besoin d’une comptable, non ? Pourquoi c’est si compliqué de trouver ?
Mais la belle, la danseuse, sa colocataire qui lui chante dans les oreilles, celle qui a toujours de bonnes idées. Des bons plans. Elle lui glisse qu’ils cherchent toujours des danseuses dans son trou à alcooliques lubriques. Niamh, elle sait bouger, elle sait danser, vaguement. Sexy, c’est pas ce qu’elle imaginait la définir. Mais elle garde la proposition dans un coin de sa tête. Ça lui fout la trouille. Mais s’il n’y a pas d’autres solutions, c’est vers celle-ci qu’elle se tournera. Qu’elle s’est tournée. Mais c'est que temporaire, hein ? Le temps de trouver autre chose... De se trouver. - - SOYONS AMIS:
prénom/pseudo: Casyldh / GLaD0S. pré-lien/inventé: Pré-lien du gang, finalement :') c'était comment ta journée? :groin: le mot de la fin: Trop trop trop contente de vous retrouveeeer . - Code:
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<cp>cindy kimberly</cp> - niamh sarkisyan
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| Sujet: Re: “Moonlight drowns out all but the brightest stars.” _Niamh Ven 13 Oct - 21:41 | |
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Sil Myers
Messages : 1450 Identité : tadshoot Avatar : lucky blue Crédits : - Âge : dix neuf ans Occupation : combats illégaux et n'importe quoi pour chopper du fric Côté coeur : coeur à l'envers, qui fonctionne pas autrement que pour des amitiés fracassées Quartier : le squatt du mauvais côté des rails, entassé avec une bande d'idiots
| Sujet: Re: “Moonlight drowns out all but the brightest stars.” _Niamh Sam 14 Oct - 1:47 | |
| Trop contente que tu sois là J'te l'ai déjà dis de toute héhé Et j'aime beaucoup beaucoup ce que t'as fais de Niamh ! CA VA ETRE LA FOLIIIIIIE pour bien commencer, n'hésite pas à créer une fiche de liens, et n'oublie pas de venir nous informer du métier de ton perso. on t'attend aussi sagement dans la partie flood ou encore sur la cb. n'hésite pas si tu as des questions, et puis amuse-toi bien parmi nous ! |
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| Sujet: Re: “Moonlight drowns out all but the brightest stars.” _Niamh Sam 14 Oct - 5:01 | |
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| Sujet: Re: “Moonlight drowns out all but the brightest stars.” _Niamh | |
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