FERMETURE DU FORUM
Le Deal du moment :
Cdiscount : -30€ dès 300€ ...
Voir le deal

Partagez
 

 make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)

Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Aller en bas 
Aller à la page : 1, 2  Suivant
AuteurMessage
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptySam 26 Mai - 20:28



(Mais aussi parce que je réalise la chance que j’ai
De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi)

un appel et tu bondis, un appel et tu surgit, une voix lente et saccadé au bout du files, tu raccroches comprenant sans ciller la situation. tu lui demande l’adresse, ou d’activé sa putain de géolocalisation, t’es déjà dans la voiture quand il fini par le faire, quel crétin, quel crétin, putain de merde. t'enfile ce que t'as sur toi, voir une veste par dessus tes fringues, t'étais en boule sur ce demi matelas que vous aviez trouvez ensemble, transformer ce bout de pièce en un endroit que tu pourrais presque appeler chez toi. il venait te voir, te nourrir, comme un gosse qui aurait trouver une bête avec des ailes brisés dans la forêt, t'étais sa bête, t'étais brisé et il te nourissait avec ses caresses et sa tendresse. Le creux de ses reins et les baiser en dessus de ta ceinture, tu te nourrirais de son odeur et de sa peau velouté, des détails sur son dos quand il s'endors en premier. il avait ce je ne sais quoi qui le rendait si spéciale, mais il n'avait rien puisque tu t'es interdit de le voir plus qu'un ami, un bon compagnon. tout doit être éphémère, comme ta venu dans ce monde. alors explique moi pourquoi ton coeur s'emballe a l'idée qu'il se fasse encore casser la gueule ? qu'on lui pète encore le nez et les dents jusqu'à retrouver son corps en lambeau ensanglanté ? une boule au ventre et un des jambes tremblante, tu fonces, tu roules, t'y vas, sans réfléchir. C’est Cyrus, il a besoin de toi, et quand c’est Cyrus alors tu réfléchis pas, tu suit bêtement tes tripes qui te demande de rouler plus vite. et tu le fais, tu changes de vitesse, tu souhaites intimement que la bécane te lache a pas entre temps mais tu fini par y arrivée, tout feu, tout flamme, le corps en ébullition près à peter la gueule au premier qui touche à ton… à ta.. à Cyrus, à Cyrus. Il t’as fallut moins de dix minutes pour le trouver dans la foule, autour d’un mec baraquer, encore et ses autres potes assis en arc de cercle entrain de mater la scène. il avait son portable à la main le brun, et t’arrivais pas à voir son visage de là ou t’étais, mais tu savais qu’il été pas entrain de rire, il froncer surement les sourcils en argumentant contre le bloc de glace, des mots tranchants et perçant comme il a l’habitude de lancer, une audace un peu trop présence, des gestes brusques incontrôlé, il est comme ça Cyrus, c’est le feu qui s’embrase à chaque fois qu’on essaie de l’arrêter. Les responsables de l’établissement semblait être dépasser et épuiser par la situation, ils détourner les yeux appréhendant le moment ou les flics allaient devoir intervenir. Alors tu roules des yeux et prend une bouteille de verre vide dans le tas de cadavre de bouteille qui décorer les tables, tu tapotes sur l’épaule du bloc de glace avant de venir frapper avec fracas la bouteille contre lui. « Grouille, toi, crétin. » dis—tu en tirant sur la manche de Cyrus pour l’emmener avec toi. « On se tire avant de se faire tabasser à mort. »


Dernière édition par Neo Nozere le Dim 27 Mai - 4:23, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptySam 26 Mai - 22:45

« Les palpitations, fuis-les comme la peste », mais comment fuir quelque chose qui nous habite, ce quelque chose qui vit et prend racine en nous comme une maladie dégénérative, un poison aux conséquences irrémédiables ? Comment fuir des démons qu'on ne voit pas, qu'on ne peut toucher mais qu'on ressent, qui nous coule, nous coupe le souffle et nous attire dans les abysses d'un monde qui soit inconnu, qui nous interdirait presque catégoriquement d'ouvrir la porte de cet enfer à des âmes extérieures. Ces palpitations qui raisonnaient en lui et chatouillaient son épiderme d'un frisson d'effroi ; parce qu'il savait que ça signifiait que le pire était encore à venir. Lorsque survenait les symptômes, il fuyait ou faisait fuir. Cependant, l'expérience, l'habitude et l'intelligence ne le sauverait pas à tous les coups ; il en avait pleinement conscience et c'est en partie ce pourquoi il se mettait lui-même à l'épreuve. Peut-être qu'un jour, la douceur de sa meilleure amie ne calmerait pas la tempête, que le manche d'un couteau de cuisine s'inviterait volontiers dans sa main, qu'il prendrait plaisir à sentir la lame aiguisée s'introduire dans la chaire de celle qu'il l'avait toujours supporté. Peut-être même qu'il finirait par glisser ses paumes habile autour du cou de Neo, le regard ancré au plus profond de ses yeux pour y lire désir et confusion, jusqu'à ce qu'il ne resserre l'emprise pour sentir son pouls ralentir sous ses doigts, dans une étreinte délicieusement mortelle. Il devait alors savoir contrôler l'incontrôlable ; des pulsions colériques, des palpitations terrifiantes et un besoin monstre de cogner, de blesser, de faire mal.

Déambulant dans les rues, les pensées embrumées par un seul et même être ; une âme torturée par des démons inconnus. Une unique personne autour de laquelle son petit monde de joyeux bordel tournait principalement ces derniers temps ; à la fois intrigué par la profondeur de son regard, le parfum de ses mots et la singularité de ses gestes. Neo c'était ce fil conducteur qui reliait son monde à la réalité, qui l'empêchait de temps à autre à commettre des meurtres sans vraiment le savoir et qui apportait à son corps, à son cœur, une multitudes d'autres palpitations, aussi nocives qu'addictives, mais bizarrement inconnues. C'était déjà pas facile d'être complètement dingue, mais ça l'était bien moins d'être rendu d'autant plus fou par un humain pour lequel il tuerait sans broncher si ça pouvait seulement le faire sourire un peu. « Cyrus, le garçon là-bas, il a volé mon dessert », aussitôt le bourreau de ce fichu centre psychiatrique se retrouvait avec une fourchette plantée dans la main, à se briser la voix dans des appels au secours ; c'était sa façon d'être un bon ami et c'est cet ami-là qu'il voulait être pour lui. Parce qu'au delà de leurs fièvres nocturnes, de leurs peaux brûlantes s'embrasant l'une pour l'autre dans l'obscurité d'une chambre noire, ils étaient amis ; amis, parce que c'était moins difficile à prononcer, parce qu'il y avait moins de choses à perdre et bien plus à gagner.

Sa folie n'avait aucun foyer, et ce soir-là elle s'était égarée au beau milieu d'une foule. Il ignorait ce qu'il fichait ici, il n'avait même plus le souvenir d'y être entré. La seule chose dont il se souvenait c'était probablement d'avoir glissé quelques paroles sales au creux de l'oreille d'une jolie fille, des mots qui raisonnaient comme de malsains compliments mais qui n'en étaient aucunement. Sa franchise et son besoin de faire savoir aux autres ce qu'il pensait, ce qui lui traversait l'esprit, était devenu un défaut aux conséquences chaotique. Interpellé par un homme sûrement un peu plus vieux que lui, il s'était arrêté devant ce dernier derrière lequel se cachait la frêle silhouette de la jeune femme qui visiblement, avait jouée la commère. Malheureusement, un mot en enchaînant d'autres, son vis-à-vis avait fait l'erreur à ne pas faire, l'acte à ne pas commettre ; il lui avait crié dessus. Presque aussitôt les palpitations qu'il connaissait que trop bien avait fait vibrer chaque parcelle de peau, chaque nerfs interne ; il avait prévenu Neo, parce qu'il ignorait s'il devait s'en aller ou juste se plonger dans une bagarre supplémentaire. La géolocalisation de son portable activée, le temps filait et défilait et le ton montait ; Cyrus insultait la petite-amie de cet abruti de première et s'occupait d'assener des mots aussi tranchant qu'une lame neuve, il ne faisait qu'énoncer des vérités qui semblaient leur échapper. Interrompu dans son élan par la venu de son ami qui visiblement, était aussi fou que lui pour daigner venir le sortir d'une situation pareille à une heure si tardive. Alors, un sourire amusé sur les lèvres, il le suivait sans broncher jusqu'à l'extérieur. Il n'y avait pourtant pas de quoi trouver la situation drôle, cependant il était dingue, l'excuse était valable ; « -belle entrée fracassante, j'aurai franchement pas fais mieux, on va où maintenant ? ».

@Neo Nozere
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyDim 27 Mai - 6:47

@cyrus baek

(Mais aussi parce que je réalise la chance que j’ai
De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi)

pourquoi tu t’engouffres dans ce genre d’histoire? pourquoi tu prend plaisir a te mêler au chaos? tu penses qu’en sauvant les autres ça va te sauver toi ? Tu ressert le volant entre tes doigts, expire avant de t’extirper de la voiture. bordel. pourquoi, pourquoi, pourquoi. tu fais des choses qui te ressemble pas, tu utilises la violence, tu attises la provocation, tu pousses les limites de ta propre personne, toi qui a toujours été doux, toi qui a toujours prôner la non violence, tu commences à devenir comme lui. ton coeur palpite a l’idée de devoir casser la gueule à ce mec là, lui foutre une racler, déverse toute la colère qui se cacher dans les recoins cacher de ton corps traversant tes poings avant de tomber avec fracas sur la gueule de ce mec qui n’a rien demander. t’avais envie de ressentir la chaleur de ton corps quand t’allais reprendre tes esprits, t’avais envie que lui aussi te ravage de coup, être abimer et écorcher jusqu’à en avoir des hématomes partout sur ton corps. Et cette sensation, cette sensation c’est Cyrus qui te la fait découvrir. un frisson glaçant qui te traverse quand t’y penses mais qui semble si agréable sur le coup. parce qu’après l’horreur, après le bataille, après la guerre, il te fais l’amour. il te fait la tendresse, il recouvre son âme de la tienne pour te réparer, un peu de l’extérieur et beaucoup de l’intérieur, il te fais gémir des mots inconnues, il caresse ton être du bout de ses doigts, il réparer tout, avec ses bras, avec son souffle, avec ce faible sourire quand vous finissez par vous endormir l’un dans l’autre. après l’effort, le réconfort a t’ont pour habitude de dire, le réconfort en vaut vraiment la peine. Alors t’y vas, tu te glisses entre les gens qui t’éloigne du chaos, des personnes lambda qui ont le chance de vivre une vie paisible et s’y plaire. tu te laisse attirée vers les problèmes, l’adrénaline, l’histoire pas fini, claquant une bouteille de belverdère contre le dos de l’ennemie.

« saleté de gosse. » la voix du bloc de glace te freezer un instant, tes jambes ne réponde plus, tu voit ses potes qui commence à se lever et leurs minette rouler des yeux à la situation, tout vas très vite, trop vite, ton coeur rate des battements quand tu tire sur la manche de Cyrus pour se casser d’ici. Poussez le peuple qui vous sépare de la sortie en faisant tomber des personnes sur votre passage, te jeter sur la sortie de secours pour arriver plus vite au van. Ce cretin est mort de rire, alors que tu es mort de trouille, tu prend le temps de respirer un instant en sachant sa manche, t’es jamais fâcher, non, jamais, t’es juste contrarier mais jamais énervé, pourtant ton sang bouillonne quand tu entend son rire cristallin retomber dans le silence, ta respiration saccadé en seul bruit sonore et son rire qui retentit. tu te tourne vers lui, un instant, pas de merci, pas de : t’es là, non, rien du tout. tu le choppe le col et le plaque contre le van, son dos claquant contre le vieux tas de ferraille. « tu fais vraiment chier cretin, qu’est-ce que t’es encore aller foutre là bas ? » ton regard dans le sien, des sourcils froncer et un ton presque énervé. «  t’aurais pu te faire tué si j’étais pas arrivé à temps. t’as vu ce mec ? il faisait trois fois ta taille Cyrus. si tu meurs.. » tu ne fini par la fin de ta phrase, la voix trop tremblante et la gorge serré, t’avais juste pas envie qu’il crève. tu fini par le relâcher, surtout parce que t’avais entendu des bruits de pas derrière vous, ils étaient déjà là, ils vous avaient déjà retrouver. « monte, grouille. » c’était plus un ordre qu’une demande, si t’étais venu là c’était surement pas pour qu’il se fasse tabasser hors du club. tu reprend le volant, le coeur qui palpitte encore, un moment de concentration face a tes jambes molle et ton poul sacader, tu vas pas faire une crise de panique ici? si ? c’est pas le moment Neo, réagis. mais t’y arrive pas, t’arrive pas a tournée la clès, tes doigts sont bloquer sur le volant, refusant de réagir a ton cerveau.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyLun 28 Mai - 23:13

Cyrus n'était bon pour personne ; il était nocif et tout ce qu'il touchait se brisait irrémédiablement. Un vice, un don, une maladie, nommez cette addiction comme bon vous semble, mais elle n'en sera pas moins dévastatrice. Plus il essayait de faire bien et plus il faisait du mal, il ravageait ce qu'il y avait d'appréciable chez autrui pour en faire quelque chose de sale, de souiller, d'ignoble. Sûrement parce que ça lui faisait moins peur de côtoyer des gens malheureux, il était moins sûr de les bousiller. Quand bien même ses seules fréquentations vivaient déjà une vie monotone et possédait un cœur en piteux état, il parvenait tout de même à en rajouter une couche, à faire en sorte de rendre les cicatrices indélébiles. La destruction, c'était un peu son domaine. S'il ne tuait pas vraiment, alors il tuait à petit feu. Il était pleinement conscient de ses actes, mais il ne pouvait les arrêter, c'était pas faute d'avoir essayer. S'il parvenait à maintenir Sixtine loin de sa bulle toxique, prête à éclater et à répandre son poison tout autour de lui, Neo avait plongé la tête la première dans ce monde parallèle, un monde dangereux dans lequel il le voyait s'aventurer toujours un peu plus pour le sauver de ses propres démons. Peut-être était-il totalement fou lui aussi, finalement. Cyrus aurait voulu épargner ça, l'épargner de cette violence, du malheur ambulant qu'il représentait, des défauts conséquents qui constituaient sa propre personne, cependant, il ignorait s'il était vraiment prêt, moralement parlant, à éloigner Neo de lui ; à le garder hors de son champs de vision plus de soixante-douze heures, il ne se sentait tout bonnement pas capable de couper les ponts, de ne plus entendre sa voix, qu'elle lui dise des mots durs, des mots doux ou qu'elle gémisse près de son oreille. Il détestait dire au revoir, surtout lorsque son cœur lui, désirait rester.

C'est pour ces tas de raisons que son sourire se dissipait à l'instant même où son dos heurtait le véhicule. Il n'était plus habitué à voir quelqu'un qu'il connaissait, quelqu'un à qui il était très attaché, s'autoriser ce genre de gestes. Il laissait Neo faire ; il le laissait même élever le ton, sans jamais lever la main sur lui. Cyrus serrait les dents, la mâchoire contractée, il contenait cette folie meurtrière, pour ne pas faire quelque chose qu'il regretterait amèrement la seconde d'après. Il possédait quelque chose d'indéniablement spéciale à ses yeux et il était sans nul doute, la première personne le traiter de cette façon sans en subir les conséquences. Son regard brun le fixait attentivement et ses mots s'encraient dans son esprit flou et embrouillé par l'adrénaline. Se mettre en danger faisait partie de sa façon de vivre sa vie, de se sentir pleinement libre. Prendre le risque de mourir, c'était aussi celui de s'en sortir d'autant plus vivant et c'est la seule chose solide après laquelle il courait. Parce que son monde n'avait été que blanc et cris durant cinq années consécutives, cinq années entre quatre murs ternes, à fixer des papiers-peints sans couleurs et observer la vie, l'air libre, l'interdit, à travers des barreaux d'aciers. Il l'avait rêvé cette fameuse vie, peut-être pas comme ça, mais il l'avait désormais et Cyrus était déterminé à la mener coûte que coûte. « -Si je meurs ? », mais pas le temps de discuter davantage que ces idiots les avaient déjà trouvé. Un rictus presque malsain venait loger la commissure de ses lèvres, un peu comme si cette brève discussion venait d'être balayée. Sans plus tarder, il grimpait dans le van et verrouillait sa portière avant de se pencher sur Neo pour faire de même avec la sienne.  Il avait bien vu que ça n'allait pas, qu'il semblait fébrile et le voir comme ça, son cœur flanchait toujours plus ; c'était à croire qu'il avait un faible pour les âmes écorchées à vif. Ses doigts glissaient doucement sur son menton pour lui faire tourner la tête dans sa direction ; « -Hé, regarde-moi, tout va bien d'accord ? Je ferai attention la prochaine fois, j'te le promets, je suis vivant et je compte bien le rester, qui veillerait sur toi sinon, hein ? S'il te plaît, dis-moi quelque chose, dis-moi que ça va aller ». Il avait beau être complètement dingue, ça ne l'empêchait pas d'avoir un cœur, et ce cœur là battait à vive allure pour celui était venu le chercher au beau milieu d'une meute de loups.

@Neo Nozere
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyMar 29 Mai - 8:48

@cyrus baek

(Mais aussi parce que je réalise la chance que j’ai
De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi)

En plus il te tease, il te teste, il te cherche. ses yeux globuleux dans les tiens, des sourcils froncer un regard féroce, comme prêt à te bondir dessus, mais parce que c’est toi, parce que ce n’est pas un autre il ne fera rien. il tiens à toi, tu tiens à lui, si jamais il meurt… les mots te manques pour d’écrire ce qui pourrais ce passer. alors tu continueras a endosser ce rôle ô combien il est énervant de se réveiller en pleine nuit, tu continueras à lui sourire après, tu continueras a chasser les démons qui essaie de le chopper et lui briser la nuque et tu continueras a recevoir ses bras comme récompense. tu te répète encore, tu te le dit tout bas : la récompense en vaut le coup. parce qu’il n’y a rien de plus délicieux qu’avec un Cyrus calme entre ses bras, quand il lâche prise, qu’il baisse les armes pour t’offrir ce qu’on peut trouver de plus beau entre deux coups de rein. parce que c’est surement de ce Cyrus la que tu ne veux pas te détacher, que tu n’a pas encore fichu le camp, que t’es pas déjà de l’autre côté du continent. « si tu meurs, je te tue. » si tu meurs, je me tue. tue moi, laisse moi crever avec toi, emporte moi dans ta tombe si jamais tu me laisse ici. c’est dramatique, c’est même horrible à dire, mais rien ne te retenais plus, plus personne ne comptait vraiment. ton coeur s’emballe les méchants revienne, tu te met au volant de ton van, ce gros tas de ferraille qui faisait presque partit de toi. mais t’as comme un soucis, t’es comme freezer, ton corps ne répond pas vraiment et t’arrives pas à bouger. c’est une crise panique, c’est un coup de jus dans la colonne vertébrale, quand t’arrives plus à respirer parce que ton coeur tambourine soudainement, quand tes membres font la grève de ce que le cerveau peut te dire, quand les fourmis envahisse les paumes de tes mains et la plante de tes pieds, comme si t’étais entrain de te voir couler, t’y arrive pas. et ils arrivent, tu les entend, tu entend les injures les bruits de balles perdu, les chaussures qui claque contre le sol, bouge néo, bouge.

Son toucher te ramène à la réalité, ses yeux dans les siens, son souffle si prêt du tiens, ses mots qui caresse tes oreilles avec douceur, comme si il venais de frapper de toutes ses forces dans ton dos, et recouvrir ensuite la plaie de baiser. acte à la fois violent et doux, tu ne saurais l’expliquer. tu ne répond pas, tu restes inerte et ta main va machinalement sur le levier de vitesse pour démarrer la voiture. ils étaient déjà derrière vous et t’es persuader d’en avoir écraser un, mais tu passes à la vitesse supérieur et fait rouler le monteur en grillant les trois feux qui se trouver sur votre passage. plus rien ne compte vraiment quand tu te met à rouler avec férocité vers chez vous, non, mauvaise idée, tu changes de destination, si jamais ils savaient où vous vous planquez ils peuvent vous prendre en embuscades quand vous y êtes pas préparer. alors néo l’intello, néo qui a déjà fait du 1 contre 3 changes de direction. tu met le cape sur la plage dans un endroit dessert ou t’avais pour habitude de rester, en haut des collines là où la mer est assez proche pour qu’on l’entende danser mais assez loin pour qu’elle nous emporte dans sa danse. Dans un coin perdu, ou y avait que des surfeur et des jeunes qui fumer beaucoup trop pour avoir un travail stable, entre déchet de la société on se reconnais bien, on s’entraide, on s’épaule. ils te connaissent la bas mais ce matin il n’y a encore personne, juste vous. tu te gares sur un côté et descend le premier, tu n’adresses pas un mot, ni un regard à ton ‘’’’ami’’’’’ trop énervé pour parler et puis il le sait, t’es pas très bavard comme gosse. tu te laisse tomber sur le sol, face à la mer pour allumer ta clope, laissant ta colère se faire emporter par les vas et vient de l’eau salé.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyJeu 31 Mai - 5:33

« Si tu meurs, je te tue », des mots doté d'un double sens dont il n'avait pas le moindre soupçon. Neo pouvait de toute façon faire ce qu'il voulait de lui ; lui cracher les pires horreurs, lui balancer des vérités difficile à avaler, Cyrus ne lui en voudrait pas. Peut-être était-il, ne serait-ce qu'un peu, ensorcelé par ses beaux yeux et son caractère opposé au sien. Il réveillait en lui des tempêtes inconnues, des séismes aux conséquences intérieures, indélébiles. Il avait beau le cacher, le dissimuler du mieux qu'il le pouvait, l'impact qu'il avait sur lui était irréversible ; il ne pouvait plus rien faire contre ça. Dans son esprit, aussi intelligent soit-il, il ne cherchait plus et se contentait d'être d'accord avec cette phrase dénuée de sens. Le danger ne lui faisait plus peur depuis longtemps, si bien qu'à présent il s'amusait à prendre des risques, jouait avec sa vie et flirtait avec la mort. C'était le seul moyen de faire taire ces voix incessantes qui l'incitait à commettre des fautes, à faire du mal et à s'en faire aussi. Évidemment, il prenait en compte que ça ne pouvait pas être facile pour les autres de comprendre son fonctionnement dangereux, pour Neo encore moins, puisqu'ils étaient plus proches qu'ils ne le devraient. Seulement il ne pouvait pas se permettre de lui expliquer ce que même lui, trouvait détestable, ce qui faisait de lui un monstre, une bête de foire, une âme pleine d'ombres mais par dessus tout, irrémédiablement malade ; parce qu'il était dingue, diagnostiqué par de prestigieux médecins qui nommait sa folie maladive d'anormale, de compulsive. Il l'avaient dit à plusieurs reprises, il était foutu ; mais un brin d'espoir, presque éteint, persistait au fond, au plus profond de son être, prenant doucement racine dans les abysses noires de son propre néant, il persistait à croire qu'il pouvait vivre et aimer, aimer fort, à la folie, désespérément, à en perdre le peu de raison et de lucidité qu'il lui restait.

Neo semblait reprendre doucement ses esprits alors Cyrus se réinstallait correctement, laissant à son ami, son amant, le temps de démarrer pour les emmener loin de cet endroit. Le silence devenait roi et plus rien n'était dit, pas même un mot. Il ignorait où menait la direction empruntée mais il s'en fichait pas mal à vrai dire, du moment qu'ils étaient loin de tout ça, il ne ressentait pas le besoin d'en savoir plus. Quoi qu'il en soit, il se voyait mal ouvrir la bouche pour ordonner un lieu précis, c'était de sa faute si Neo était là et encore plus s'ils devaient fuir. Le fait qu'il daignait rester muet, terré dans un silence de plombs, lui faisait presque tirer la grimace. La tension palpable n'avait pour une fois, rien de sexuelle, bien au contraire. Alors, lorsque le van fut garé et qu'il l'observait sortir pour aller s'installer sans lui dire quoi que ce soit, il s'autorisait à soupirer. « -Vous, fermez-là », marmonnait Cyrus aux voix dans son esprit qui profitaient de la situation délicate pour se déchaîner, s'emmêler et tenter de le couler. Ne souhaitant pas rester assit dans le véhicule jusqu'à ce que ça se calme, il s'éclipsait pour le rejoindre. Debout, près de lui et un peu hésitant, il réfléchissait à ce que ferait ces mecs de séries d'ados que Sixtine l'obligeait parfois à regarder avec elle. Quel comportement adopter, quoi dire, quoi faire. Il avait toujours été brusque, même dans sa façon de montrer aux gens qu'ils tenaient à eux. Il pourrait frapper quelqu'un, lui briser la mâchoire, juste pour lui dire qu'il l'aime beaucoup. Perdu, il venait s'asseoir derrière lui, sans vraiment savoir si c'était ce qu'il fallait faire, en tout cas c'était ce dont il avait envie. Ses bras venaient alors d'eux-mêmes enlacer sa taille tandis que son menton prenait appui sur son épaule, les yeux rivés vers l'horizon. « -Je t'apporte pas mal d'ennuis », lâchait-il à voix basse, comme pour ne pas déranger la mélodie des vagues ; « -Je sais que t'es fâché et je comprendrais si tu préférerais qu'on ne se voit plus », bien que lui, espérait profondément que ça ne soit pas le cas.

@Neo Nozere
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyJeu 31 Mai - 16:01

@cyrus baek

(Mais aussi parce que je réalise la chance que j’ai
De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi)

une latte puis une autre et les nerfs se détente, l’odeur de la mer et le vent qui caresse tes cheveux avec douceur. ce petit paysage qui apaise ton âme, ralentis ton coeur pour un rythme normale, tout vas bien, tout vas aller mieux, tu devrais le savoir qu’il est comme ça, il l’a toujours été. et pourtant tu restes encore près de lui, toujours à ses côtés, car plus rien d’autre ne compte que sa personne. tu peux pas t’en aller, tu peux pas t’enfuir, que tu le veuille ou non tu sera toujours à te demander si il est vivant ou pas. pourtant tu descend du van sans le calculer, trainer des pieds sans le calculer, fume ta clope sans le calculer, pourquoi tu fais tout ça si tu veux même pas lui parler ? pourquoi tu parles pas ? tu parles jamais, tu laisses tout s’étouffer dans ta gorge, se perdre dans tes penser. tu laisse tout couler dans les abysses de ta mémoire, et tu regrettes de ne jamais les avoirs dit, les choses qui te tienne à coeur, les choses qui compte vraiment. ses mains viennent à ta rencontre, chaude et agréable comme à son habitude, son menton sur ton épaule, tu fini ta clope et l’écrase au sol, posant tes doigts sur les siens, penchant la tête pour lui laisser de la place. « je préfère que tu te taise si c’est pour dire des conneries. » tait toi, vraiment tait toi Cyrus, parce que tu sais très bien que je suis incapable de partir. tu le sais autant que moi, t’en a pleinement conscience, parfois j’me demande même si t’en joue, si tu utilises salement ce que je peux ressentir pour me tester. t’as besoin que j’te prouve que je serai toujours là c’est ça ? t’as besoin d’aller faire le con dans je ne sais quel boite de nuit pour embrouiller je ne sais quel mec pour me demander de venir te prouver que je serai toujours là ? bah j’suis encore là du con, je viendrais toujours courir après toi, sauver ton cul de tes galères, je serai toujours là. et tu te retourne vers lui pour passer tes mains autour de sa nuque, douce et chaude sensation de pouvoir retrouver son être près de toi. ton front coller contre le tiens, le souffle qui s’échappe de vos deux âmes, tu veux ta récompenses, tu veux ton lot gagnant. un baiser, un doux baiser, que tu viens glisser sur ses lèvres. tes doigts qui caressent la naissance de ses cheveux pour venir s’y perdre avec douceur. offre moi ma récompense maintenant, offre moi le réconfort après l’effort. « si y avait que toi et moi, si y avait que nous deux, je t’aurais emmener loin d’ici, loin de tout. » tes yeux dans les siens, tu penses à sa meilleure amie qui l’attend sagement à la maison, et leur appartement et leur chez eux, tout ce qu’ils ont construit ici. « j’vais m’allonger, rejoint moi si t’as envie. » tu laisse ton corps tomber sur le matelas que tu venais de déplier dans le coffre de ton van, pas très épais mais au moins les draps étaient propre et un traversin été présent pour servir de coussin.
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyJeu 31 Mai - 19:34

Sans qu'il ne s'y attende vraiment, Neo lui demandait de faire taire ses âneries, alors il exécutait et ne disait plus rien ; parce que c'était lui et qu'importe le nombre d'inconnus qui partageaient ses draps, aucuns n'égalaient la chaleur, le toucher et les baisers de son amant favoris, de son ami le plus intime. Pour excuser son comportement sans avoir à user de la parole, il déposait dans son cou, une multitude de baisers similaires à de tendres caresses, souriant presque contre son épiderme d'une douceur incroyable. C'était d'être près de lui qui le faisait vibrer, qui le poussait davantage à perdre toute notion de ce qui semblait plus ou moins raisonnable, cependant il ne pouvait pas s'en détacher, il n'en avait pas la moindre envie et quand bien même il en aurait l'envie, il n'y parviendrait pas. Alors certes, c'était peut-être idiot de dire de lui qu'il était son pote et ce malgré le nombre incalculable de fois où son corps s'était embrasé contre le sien, mais quelle autre étiquette pourrait-il s'autoriser à lui coller ? Le simple fait d'y penser, d'y songer, ça le mettait dans un état de nervosité inhabituel, sûrement parce qu'au fond il venait de trouver quelque chose qui parvienne à lui faire peur, à l'effrayer au point qu'il ferait réellement n'importe quoi pour se le sortir de la tête, tout en restant le plus près possible. C'était sans nul doute bien plus difficile à supporter que ces voix qui habitaient son esprit depuis son plus jeune âge, auxquelles il avait su faire un place mais qui au moins, ne seraient pas susceptible de lui briser le cœur.

Mais lorsque le corps de Neo se met en mouvement, chaque pensées devenaient poussières et ces poussières ; de vulgaire cendres nocives dont il parvenait à se débarrasser. Qu'importe la durée de cette paix intérieure, il en profiterait pleinement. Son front contre le sien, rien n'était plus doux que de sentir le souffle de son ami émaner de ses lèvres pour chavirer contre les siennes. Puis, enfin, un contact ; tendre et efficace, assez pour faire sombrer ses maux le temps d'un instant. Un baiser digne d'une renaissance, auquel il répondait automatiquement, éprouvant un besoin certain de le sentir toujours plus proche de lui ; il se disait qu'au fond, il était sûrement pas le seul à pouvoir l'étreindre, l'embrasser et partager ses silences, qu'il devait profiter de chaque secondes, de chaque précieuses minutes et de faire en sorte qu'elles soient spéciale, qu'elles soient indéniablement les meilleures,  inégalable. Il n'avait pas besoin de reconnaissance, juste d'être le premier ; d'être celui qui serait sans hésitation sur la première place d'un podium instable. Cyrus craignait d'être balayé, d'être remplacé d'une facilité sans nom. Pourtant, lorsque Neo lui offrait ce genre de gestes, ce genre de mots, il avait l'intime conviction d'être bien assez important pour ne pouvoir être descendu à un quelconque rang de dernier, de perdant. Son regard brun observait sa fine silhouette disparaître à l'arrière du van, ses paroles en échos jouaient des sons répétitifs dans son esprit, mêlant désir et sentiments. Sans réfléchir plus longtemps, il se levait à son tour pour le rejoindre ; son corps allongé sur le matelas, Cyrus venait doucement s'asseoir à califourchon sur ses cuisses, juste pour se pencher sur celui qui parvenait à le rendre plus dingue qu'il ne l'était déjà. Ses paumes de chaque côté de son visage, il venait frotter affectueusement le bout de son nez contre le sien, un sourire à la commissure des lèvres ; « -Et s'il n'y avait que toi et moi, je t'aurai suivi », chuchotait-il comme un secret, avant d'embrasser à son tour, cette bouche sur laquelle il se voyait déjà perdre le souffle.

@Neo Nozere
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyVen 1 Juin - 10:02

@cyrus baek

(Mais aussi parce que je réalise la chance que j’ai
De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi)

la tension s’apaise, comme après guerre les armes sont ranger pour laisser place à l’amour. le problème est là, il suffit d’un geste de sa part, un baiser voler, un souffle s’accéder, ou encore les milles baiser qu’il dépose avec douceur le long de ta nuque pour que tu cèdes, que tu laisses tomber les armes, que tu abandonnes toutes idées de le quitter. tu ne peux pas, tu ne pourras jamais, à moins qu’il te force a partir, qu’il te chasse comme l’a fait tes parents. parce que tu sais que t’es pas à la hauteur, tu peux sauver personne, t’as pas réussi a sauver ta mère des poings de se connard, t’as pas réussi a te sauver toi même, t’es toujours à la dérive, t’es toujours à l’abandon comme a chercher ta place dans ce monde qui n’est pas fait pour toi. alors comment le sauver ? comment lui apporter du bonheur ? comment faire taire ses voix trop bruyante qui hante ses pensers ? comment les chasser une bonne fois pour toute ? tu ne sais pas, t’y connais rien, tu te sent comme un crétin inutile. parfois il leurs parlent, parfois ils le torturent, parfois il sert ses doigts sur son crâne en hurlant et tu sais pas quoi faire. tes mots sont pas suffisant, tes baiser sont inutiles, rien de ce que tu peux faire n’a d’impact sur ce qui lui arrive alors à quoi bon ? tu ne peux pas le sauver, tu l’encombre avec je ne sais quoi qui prend tellement de place, tu le dérange avec tes sentiments, tu monopolises son temps avec tes attentions. et a part ça Neo tu peux faire quoi ? rien du tout, tu peux rien faire du tout. pourtant tu voudrais pouvoir l’aider, tu voudrais pouvoir apaiser sa tête et le serrez tellement fort dans tes bras que ça recollerais tout les morceaux de son âme.

Tu déposes un dernier smack sur ses lèvres avant de te redresser pour retournée dans le van, épuisé et réveiller avec sursaut tu commencer à avoir une migraine dont la douleur s’évader le long de ta nuque. t’avais besoin de t’allonger et tu lui propose grandement de venir te rejoindre, pour avoir ta récompense, ta caresse, tel un chaton qui aurait été sage toute la nuit. il te rejoint et se met a califourchon sur toi, ses mains venant à la rencontre de tes joues, un sourire se dessine sur tes lèvres alors que ton amant vient coller avec délicatesse ses lèvres sur les tiennes, des mots doux qu’il te murmure à l’oreille. un autre baiser un peu plus fougueux cette fois-ci, tu te redresses sur tes coudes pour amplifier la chose. ses paumes sur ta joue, tu tournes la tête pour embrasser l’intérieur de sa main, avant de te redresses en tailleur pour te mettre à la même hauteur que lui. tu prend sa main dans la tienne, reste un instant dans un silence. tu cherches les mots à dire, les choses que tu voudrais demander, pourquoi ? pourquoi tu part pas avec moi alors ? laisse Sixtine, laisse tout ça et part avec moi. je sais que je suis pas un super bon partis, que j’ai rien pour moi, que je suis pas foutue comme une rockstar mais si tu me demandes la lune j’essaierais au moins de t’avoir une étoile. tu le regardes avec insistance comme si il pouvait deviner tes mots et soupire, tu t’en veux tellement de ne pouvoir rien dire, tu t’en veux tellement d’être aussi lache. rien ne sors alors tu passes tes doigts le long de sa cuisse jusque sur son pull que tu tires pour l’amener vers toi, un baiser que tu déposes sur son front, et tes bras que tu entour autour de son crâne. « donne moi ma récompense Cyrus. »
Revenir en haut Aller en bas
Invité
Invité
Anonymous


make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) EmptyDim 3 Juin - 9:27

La tension présente le brûle d'une flamme vive, d'une chaleur enivrante et sa seule voix à le don d'éveiller ses sens, de les tourmenter, de les emporter dans un univers hors de portée, parallèle à la raison et lié à ce quelque chose de surpuissant qui le dépassait, assez pour qu'il ne sache pas mettre de mots là dessus. Sa respiration déjà quelque peu fébrile à la proximité qui les unissait, il prenait ces moments d'intimité, de complicité comme une bénédiction, un cadeau bien mérité, quelque chose dont lui seul avait le droit – bien que ça ne soit pas le cas, se voiler la face lui paraissait être la meilleure des options. Il n'aurait su dire ce qu'il éprouvait à l'instant, un mélange d'envie, de désir, tiraillé par la crainte de tant de sensations mélangées les unes aux autres. L'inconnu ne lui faisait pas peur, mais revivre ce qu'il avait déjà vécu, subir ses propres sentiments, des sentiments dangereux dont la nature lui semblait floue, il n'était pas prêt à s'y résoudre. Peut-être par simple peur de recevoir la fameuse gifle du sens unique, d'un aller simple pour quelque chose qu'il serait le seul à intercepter ; y songer ne rendait ça qu'un peu plus réel, alors pour faire taire ses  pensées et pour répondre à Neo, à cette parole qui raisonnait presque comme un ordre, il venait sans la moindre retenue, écraser sa bouche contre la sienne. Comme un besoin irrépressible, l'embrasser avidement, à en perdre le peu de souffle qu'il lui restait, lui faire comprendre qu'ici, maintenant, il n'y avait plus qu'eux, il n'y avait plus que lui, seulement lui.

« -Con piacere, tesoro », soufflait-il contre ses lèvres, dans une langue qui était presque la sienne. Bercé par la respiration de son vis-à-vis, il glissait ses mains sur celles de Neo afin de les faire glisser le long de son corps, éloignant son visage du sien pour observer ses traits d'une douceur incommensurable. Ses doigts venaient se perdre sur le col de sa veste pour la lui retirer, balançant le tissu dans un coin sans la moindre considération ; il réitérait l'action en retirant ce t-shirt qui masquait la peau tant désirée de son amant. « -Je suis content de voir qu'il n'y a pas de marques », lâchait Cyrus à voix basse, comme un secret, une vérité à dissimuler. Parce qu'il était content de voir que son épiderme semblait intact, sans la moindre trace jusque là. À son tour, il ôtait son sweat-shirt d'un lenteur folle, qui se voulait avant tout joueuse, mais surtout parce qu'il faisait terriblement chaud. Aux côtés de Neo, il oubliait l'horreur que lui paraissait son propre corps ; un champ de bataille morbide. Il s'agissait là d'un tout autre type de traces que celles qu'on pouvait s'offrir lors d'un tête à tête fiévreux ; d'anciennes brûlures de cigarettes, ou bien cette cicatrice imposante qui décorait une partie conséquente de son avant bras. Ces détails horrifiant n'avaient pas la moindre importance lorsqu'il se perdait dans la profondeur de son regard. Doucement, ses paumes brûlantes venaient par instinct se poser sur son torse, le poussant légèrement à s'allonger le plus confortablement possible, ce rictus satisfait au bord des lèvres ; « -Gesù santo, sei cosi carina », marmonnait le sud coréen, une fois encore de cet accent Italien instruit par sa mère.

Le désir de le sentir s'embraser contre lui ne pouvait être contenu plus longtemps ; il se penchait alors sur son corps, ses baisers comme avalanche le long de sa mâchoire venaient rapidement chavirer sur son cou, mordre son épaule d'un appétit félin. Le simple contact de sa bouche contre sa peau réchauffait considérablement la température de son être et faisait fondre, le temps d'un moment, la glace qui gardait son cœur en sécurité, loin des potentiels vautours qui s'aventureraient à vouloir le mettre un peu plus en miettes. L'habileté de ses doigts parvenaient à se frayer un un passage entre leur deux torses, caressant, effleurant chaque parcelles de peau comme s'il s'agissait du plus fragile des trésors, un trésor qui serait le sien. Comme à chaque fois, il avait le cœur battant et il faisait taire cette mélodie assourdissante en déboutonnant le pantalon de son amant. Ses baisers fiévreux tentaient  de troubler son âme, d'allumer un feu sur sa personne, son souffle s'échouant contre cette dernière à la moindre occasion. Son corps glissait contre le sien au fil des minutes, jusqu'à ce que ses lèvres n'arrivent enfin sur la douceur de son bas ventre, à la limite de son vieux jeans usé, ses doigts agrippant presque brusquement la bordure de ce dernier. La chaleur émanant de Neo l'ensorcelait d'une agréable manière ; ce quelque chose qui même en cet instant, alors qu'il embrassait cette zone qu'il savait sensible, le poussait à ouvrir les yeux pour l'observer, le regarder comme s'il était la huitième merveille du monde.

@Neo Nozere
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé



make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty
MessageSujet: Re: make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)   make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus) Empty

Revenir en haut Aller en bas
 
make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)
Voir le sujet précédent Voir le sujet suivant Revenir en haut 
Page 1 sur 2Aller à la page : 1, 2  Suivant
 Sujets similaires
-
» cyrus baek
» profanity } cyrus
» (Départ) Cyrus Baek
» Make a wish. [Gus]
» (compliqué) make me feel ... (00/01)

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
sous les étoiles. :: ÉCLIPSE :: Anciens rps-
Sauter vers: