make my messes matter make this chaos count meaning (cyrus)

@cyrus baek

(Mais aussi parce que je réalise la chance que j’ai
De pouvoir encore avoir des sentiments pour un être-human autre que moi)

La douceur dont il faisait part n’était pas anodine. c’était tout ou rien avec lui, soit tout blanc, soit tout noir, le gris n’existe pas dans ses bras. et pourtant tu t’étais fait à cette idée. il pouvait être l’amant le plus doux qui soit comme il pouvait être la créature la plus abominable qui puisse exister, ce soir il serait la douceur et tu ne peux être qu’heureux à cette nouvelle. la brutalité ne te dérange pas, ça te remet les pieds sur terre, c’est remplis de passion et d’ardeur, ça te donne des coups électriques dans le ventre et puis, il ne lever jamais la main sur toi, il était dur mais à sa manière. tu l’avais déjà vu tabasser des gens pour moins que ça, mais jamais il n’a oser lever la main sur toi, comme si tu était trop précieux pour mérite un de ses coups, comme si il te sauver de sa propre personne. peut être qu’il essaie de te sauver sans même que tu t’en rende compte ? peut être que le traitement de faveur dont tu es la victime est en réalité une manière de te prouver que tu comptait autant pour lui que lui compte pour toi ? fallait peut être pas s’attendre à de grande déclaration, à des mots qui ne cesse de grandir sous sa langue, fallait peut être décortiquer les détails et faire attention aux choses que personne à part toi peut remarquer ? T’y avais jamais penser, tu penses toujours à lui, à vous, à ce que vous êtes, mais t’as jamais penser à ce que ça pourrais être si lui aussi t’apprécier comme toi tu l’apprécie.

Il te sors de tes penser en t’adressant une remarque en italien, tu te souvient qu’il parle couramment et que ses pattes ne sont jamais bien cuite, parce que d’après lui c’est meilleur quand c’est al dente, alors que pour toi c’est juste des pattes pas cuite parce que c’est encore dur. c’est ce genre de détail que t’es le seul à connaître, le genre de détail qui disparaitra avec toi si un jour tout ça ce fini. il caresse ta chair et t’offre des tendresses, baiser voler, main baladeuse, son souffle chaud sur ta peau te rendait fou, sa simple présence avait le dont de te rendre fou. pas de marque ? tu laches un rire, secoue la tête pour dire non. « tu peux en laisser si tu veux. ça n’attend que toi. » marque moi, fait de moi ta chose, ton être, fait de moi le seul et unique amant de ta liste de conquête. tu laisses ton regard se balader sur sa peau tendu alors qu’il te retire ton tee-shirt et fait le même pour sa personne, faisant bien attention de ralentir le pas pour te laisser te délecter du spectacle. tu ne peut t’empêcher de te mordre la lèvre en le voyant faire, un sourire au coin se dessinant sur tes lèvres. tu poses tes doigts sur ses poignets abimer, écorcher par le temps et ses heures perdu, tu soulèves sa main pour laisser un baiser sur sa paume, puis sur son avant bras, pour lui dire que c’est passer, que maintenant t’es là. il te repousse pour te remettre allongé, ses paumes brulantes de désire sur ton torse. t’étais pas bâtit comme une super star comme il pouvait l’être, ses abdos bien dessiner et ses bras muscler, t’avais rien de ça, t’avais presque un début de bidou et une chair épaisse et dodu, tu te trouvais pas spécialement attirant, mais tu pouvais voir dans ses yeux que pour lui c’était le cas, alors ça te rassurer. ça te rassurer qu’il puisse te trouver quelques choses alors que tu te trouves rien. encore des mots en italien qui vienne caresser tes oreilles, peut être un compliment ou un ordre ? tu ne saura jamais, en tout cas tu te laisse faire et laisse ton corps retomber sur le matelas tandis que Cyrus vient sur toi.

Des caresses le long de ta chair, une déferlante de baiser, comme bénit de son toucher ton corps frissonne et se détend. tu te mord la lèvre pour retenir une envie de soupirer de plaisir, caresse sa chevelure du bout de tes doigts. vous êtes de nouveau enfermer dans la bulle ou vous êtes si bien, cet endroit reposant ou il n’existe que lui et toi, son odeur, sa chaleur, sa présence partout dans tes veines et tu ne voulais qu’ne chose : que ça reste ainsi pour toujours. mais il ne sait pas et il ne saura jamais si tu ne lui dit pas, alors dans un élan de courage et surtout parce qu’il avait ce regard qui voulait tout dire, tu stop ses doigts, attraper sa main pour l’embrasser de nouveau et plante tes iris dans les tiens. « ne me quitte pas. ne me quitte jamais. si tu doit partir alors enmène moi avec toi, enmène moi n’importe ou, mais ne me laisse pas loin de toi. si jamais on doit mourir alors tue moi d’abord, et enmène moi dans les profondeur de l’enfer si je doit t’y accompagner, j’y serai. je m’en fou qu’y en a d’autre, baiser autant de pute et de timbrée que tu veux, mais ne leurs donnes pas ça, ce regard, cette caresses, garde ça pour moi, car je serai le seul a pouvoir te donner ce que tu veux vraiment. » mon amour, le seul a pouvoir te donner l’amour inconditionelle que je te porte.

@cyrus baek
sa tête est une pelote de laine, emmêler et désordonné, liquide comme du flan. il s’attendait à tout sauf à ses mots qui glisser le long de la bouche du garçon. les frissons le traverse, et il marque une pause, bouche béante, à moitié ouverte, yeux river sur son interlocuteur. comme si il n’était plus capable de rien, comme si son corps avait débrancher le cerveau pour le mettre sur pause. il venait de parler, et le garçon l’avait répondu, un moment d’honnêteté flotter dans l’air, comme deux anciens livre poussiéreux dont les pages commencer à mourir, dont l’encre si peut lue, si peut consulter commencer doucement à se fondre dans ls pages beige attacher à une simple ficelle. ils venait d’ouvrir ses livres, page du milieu, ils venaient de laisser évader les mots qui flotter à présent au dessus d’eux, et neo… neo n’était pas capable d’y répondre correctement.

« tu es à moi… » il répète sa phrase, comme incapable de se dire que c’est réellement réel. des mots si doux qu’il rêvait d’entendre, mais impossible pour lui d’y croire vraiment. cette relation n’avait rien de normal, il en été pleinement conscient, il avait déjà vu des filles et des garçons poser leurs lèvres sur celle de Cyrus, il s’est déjà sentit jaloux et possessif envers lui, mais n’a jamais eu le courage de l’être totalement. il avait déjà sentit sa poitrine gonfler de rage, près à tout dévaster pour que plus aucune personne ne s’approche de Cyrus, sa propriété, son être aimer, mais jamais il n’a eu le courage de le faire; c’est un lache, un pauvre lache, qui ne sais que fuir et prendre ses jambes à son coup quand les choses devienne trop compliquer. pourtant ce qui venait de se passer et l’acte le plus héroïque qu’il a pu faire dans toute sa vie, murmurer à celui qui hante ses nuits qu’il en été fou amoureux. alors il passes ses doigts sur la joue de son amant, les laisser glisser le long de sa mâchoire, jusqu’à dériver sur sa nuque qu’il presse pour le pousser contre lui. il embrasse ses lèvres avec tendresse, des longues minutes d’amour ou il pouvait sentir les frissons le traverser. ses doigts continuerais à caresser le jeune homme, jusqu’en haut de ses épaules, qu’il enroule de ses bras. Cyrus vient alors décoller ses lèvres pour caresser la peau velouté de Neo, des caresses tendres qui vienne s’échouer sur sa nuque et remplir celle-ci de bleu d’amour. généralement Neo détester les marques d’affection, mais avec Cyrus s’était différent, avec Cyrus, il s’en ficher pas mal. il se laisser faire, des tendresses et des caresses qu’il ne peut détail car son cerveau est en ébullition total. son corps commencer à se chauffer sous la présence du jeune homme, il sentait son coeur palpiter et sa bouche constamment affamer de celle de son amant.

« je suis à toi, aussi. » ton objet, ta possession, fait de moi ce que tu as envie. il marque une pause dans ses caresses, ses iris planter dans ceux de cyrus, il pouvait clairement lire tout ce qu’il avait à lire dans ses prunelles, sans qu’il n’est besoin de dire aucun mot. il repris ses baiser, juste après, sentant le toucher du garçon sur son entre jambe. il commença alors a virée son jean, qui lui semblait de trop dans la scène actuelle. son corps de lache en dérive été horrible, mais en présence de cyrus rien ne lui semblait horrible. tout été beau, même si un chaos régner autour d’eux, tout semblait merveilleusement beau. « fais moi l’amour. » pas de baise, pas de coup d’un soir, fais moi sentir tout ce que u viens de me promettre dans mes veines, fait moi vibrer comme tu as toujours sut le faire. je suis à toi, rien qu’à toi.