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 confins de l'âme (romeo)

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Romeo Barbieri
Romeo Barbieri

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Messages : 3
Identité : moimême
Avatar : tim tim
Crédits : o

Âge : vingt deux.
Occupation : student en bachelor triple cursus gestion des finances & architecture, licence de psycho
Côté coeur : amour fantôme

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MessageSujet: confins de l'âme (romeo)   confins de l'âme (romeo) EmptySam 5 Fév - 8:32

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romeo barbieri
(22 - groupe - timothée c.)
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› identité: romeo barbieri, parfois dit romy › âge, date de naissance:vingt deux années, une majorité dépassée, essoufflée, enfumée. un anniversaire réel seulement tous les 4 ans. un 29 février pas souvent présent. il faut dire que le garçon est pas banal, il faut dire que si le QI a avancé bien plus vite que la normale, le quotient affectif reste autant développé que de 29 réellement soufflés. › signe astrologique: fucking pisces › lieu de naissance, origines: Chicago, enfant d'ailleurs, enfant du pays. le sang, le nom, chaque origine si peu mélangées comme si elles étaient directement importées. L'Italie qui coule dans ses veines, l'Italie qu'on ne veut pas lui faire oublier.› emploi, études:une licence au MIT en gestion des finances validée avec trois années d'avances, un double cursus option architecture pour le garder un minimum concentré l'enfant. pendant que ses amis s'envolent dans la grande vie le voilà revenu sur les bancs poursuivant vers le master, insérant la psychologie pour pas s'endormir.› orientation sexuelle: hétérosexuel, sans savoir bien se définir il ne sait même pas s'interroger.› statut civil: garçon qui ne connait rien aux sentiments, bercé trop près des armes et loin du moindre état d'âme.

› traits de caractère: doux. surdoué. à l'écoute des autres. protecteur. à l'apparence sensible. souriant. aucun instinct émotif, il a tout apprit à défaut. versatile. patient. sournois. calculateur. manipulateur. très peu confiant. ne compte que sur sa tête. peu sportif. construit sur des attentes. très bon acteur. ultra émotif même s'il le refoule. réservé. déteste parler devant plus de cinq personnes. son plus beau mensonge, c'est lui.

( la tête tournée vers les étoiles )
Romeo, au doux son du prénom et du nom il n'y a rien sans rappelé les origines de part les océans, si l'accent n'y est pas tout le reste semble s'être lié pour le montrer. arrivé il y a deux générations en Amérique du côté paternel, du côté maternelle l'accent italien qui suinte à chacune de ses phrase ne trompe personne, produit directement arrivé de Rome il y a vingt petites années. Romeo t'es italien, de sang, de père et de mère; Romeo t'as le sang qui n'est pas mélangé aux américain, on s'en est toujours assuré. fils unique au grand dessein, fils prodige au futur très certain. faut dire que le nom Barbieri s'impose dans la noirceur, dans les esprits, grapille du terrain pour ne plus laisser de doute quand à ce qui t'attend. enfant italien, pour un héritage qu'on te construit dans le sang. papa ne va pas travailler à l'usine ou derrière un bureau bien tranquille, chaque jour terminé depuis maintenant vingt années le père Barbieri le compte comme un de plus à son ascension du pouvoir. Chicago laissé à la fin des années 90 à sa merci, l'Outfit mit à l'agonie, c'est ainsi que l'ère des Barbieri a débuté. un homme bourré d'ambition et d'un carnet d'adresse sans fin, avec une morale qui passe au travers de la légalité et des projets pour faire prospérer tout italien qui passerait sous sa main. faut pas se voiler la face, ton enfance tu l'as passé à traverser des pièces où l'argent glissait, où les armes s'échangeaient et les chiffres s'envolaient. Romeo fils unique promit à l'ultime place dans une organisation dont on ne souffle qu'à peine le nom, l'Outfit renaissant de ses cendres et  un paternel à la main de fer. une vie tout tracée, petit cheval bien en place, petit soldat qu'on observe, qu'on prépare dans l'ombre dans l'attente que le géant s'efface. mais la mère veille au grain, sans même que tu puisses le voir, d'une main de fer elle cadre les ambitions d'un homme à façonner son fils avec la réalité. elle te fait fuir les ruelles de Chicago, elle parle tard le soir pour adoucir les angles, pour t'offrir une liberté à laquelle tu n'as jamais songé. Romeo tu serais enfermé dans un rôle encore moins fait pour toi sans sa protection qui n'a pas de limite. d'une adolescence solitaire et isolée dans un monde régit par la mafia, tu as doucement finit par t'émanciper sans savoir ce qu'elle orchestrait. le MIT, puis l'université à Philadelphie, tu ne dois cet air là qu'à son influence à elle et aux accords de l'ombre qui se passent en italien. rien ne sait, tout ce murmure. t'es que le pantin en attente d'un devenir. dix ans, vingt ans toi même tu ignores le sursit que tu peux saisir.


I wanna be a good boy
insolence.
comme un mécanisme mal réglé, toujours une latence. depuis l'enfance, tu ne saurais même pas dire à quand remonte ce sentiment. t'es né dans le mauvais sens Romeo, tu te l'es toujours dit. tu n'as jamais compris. quand la plus difficile des logiques se faisait basique dans ta tête; le reste n'était qu'un monde de torture quand il s'agissait d'agir face aux autres. les autres. ton plus grand problème depuis l'enfance. essayer de comprendre pourquoi les autres se vexait, pourquoi les autres s'agaçaient de tes mots, de tes paroles. ne pas comprendre pourquoi ne pas dire tes pensées, essayer de retenir les mots qui vexaient, ne pas les ressentir. tu ne saurais pas comment l'expliquer aujourd'hui, avec le temps c'est devenu un mécanisme bien rodé. tu as apprit par cœur les sourires, les attentions, les retenues, les signes d'affections. s'excuser quand on blesse quelqu'un, ressentir de la culpabilité; tu as intégré ces notions bien notées dans ton cerveau comme dans un petit carnet d'école. ce n'est pas que tu ne ressens pas Romeo, c'est juste que tu ne sais pas mettre les mots sur ces choses. c'est juste un canevas sans ordre, de fil emmêlés que tu ne sais pas maitriser. des émotions que tu n'as jamais réussis à comprendre et qui ont finit par s'emmêler, se cadenasser, se verrouiller. tu sais ce que veux dire aimer, mais tu n'as pas apprit à le développer; ton cerveau trop occupé à gérer une curiosité sur les chiffres, les nombres, les faits historiques et tout autre sujet en dehors de ta personne. ta tête elle fonctionne trop vite et ton palpitant il a jamais su s'imposer. Quotient intellectuel qui écrase la moyenne et pourtant t'es incapable de gérer les échanges sociaux. il te faut tout contrôler, tes gestes, tes regards, tes mots; te cadrer sur des dictats non pas d'une société mais d'une sensibilité. parce que la tienne, c'est pas qu'elle existe pas, c'est juste qu'elle semble un peu saturée, dénaturée, mal câblée.

I wanna be a gangster
inconstance.
non, je n'ai pas postulé, ils m'ont juste contacté. des mots soufflés comme une excuse, comme une explication toute tracé pour tenter de faire passer une lettre qui trône sur la table. un simple dossier, un dossier qui ferait rêver tant de foyer et qui pourtant divise le tien. la grande silhouette sombre de ton père en bout de table qui domine la pièce de sa présence, tu fais pas le poids face à lui Romeo, tu ne l'as jamais fait, tu le feras jamais. t'es frêle, t'es pâle. comme si t'avais pris tout les opposés de ce colosse envers qui tous se prosterne. adossé avec nonchalance sur cette chaise près de la table, t'as rien de son charisme, rien de sa prestance, adolescent banal qui ne fait se retourner personne. t'es maigre, tu te casserais d'un seul revers de main. et pourtant tu es là, avec ton nom inscrit sur cette enveloppe, et les portes de Cambridge qui s'ouvrent devant toi et tes seize ans seulement. un ticket d'entrée pour le MIT sans même avoir besoin de la demander. et face à ce colosse italien qu'est ton père, il y a tout l'entendu d'un potentiel à exploiter. pourtant il le répètera encore ce soir à ta mère dans l'intimité de la chambre, ce n'est pas de diplôme que tu as besoin mais d'aplomb. mais tu n'es pas lui. tu ne le seras jamais, tu as seize ans Romeo et tu le sais; tu n'as pas hérité du physique musclé, de l'aplomb démesuré et du charisme qui assoit l'autorité. je sers pas vraiment à grand chose ici papà. il tique, tu le vois au regard, le coin de l'œil qui se tend, le sujet abordé que tu sais parfaitement explosif. c'est pourtant si vrai. tu ne sers à rien Romeo, pour lui, tu n'es qu'un fils en devenir, qu'un potentiel qui grandit dans l'attente de prendre la suite. pas majeur et inutile, tu doutes même que ça change avec le temps. les sujets qui glissent parfois jusqu'à toi sans t'inclurent dedans, les hommes qui agissent, les plans qui se font et les liens qui prospèrent, tu es étranger à cela, mit à l'écart comme si on attendait un jour de te sortir de la manche comme un joker surprise. autant que je m'instruise. nonchalance et insolence ? ta mère occupé à se verser un café saura lui faire oublier cela.

'Cause you can be the beauty
ignorance.
Alba, et le myocarde qui s'emballe. Alba et pas un regard qui s'entrecroise. il faut dire que tu fais pâle copie à côté de son futur avocat de copain, toi, elle te regarde avec douceur, avec sympathie avec le cœur au bord des lèvres mais hors de portée. toi Romeo, tu sais pas draguer, alors Alba c'était couru d'avance. avec deux années de moins, avec ton cerveau qui marche trop vite... t'avais beau pouvoir retenir le code pénal bien plus rapidement que ce Dumbo, c'est pas ça qu'elle cherchait. pourtant tu te souviens même de la robe qu'elle portait la première soirée où tu l'as croisé avec Rachel accrochée à son bras. foutue mémoire, tu préfèrerais pas te souvenir de son sourire qui t'a fait dérayer de nombreuse conversation, ni de son rire ou de ses lacune dans des matières que tu t'efforçais de combler. non toi tu étais que le plus jeune de la bande, t'as ni le charisme de Jason, ni tout autre qualité qui aurait pu éjecter Dumbo de la trajectoire. Alba ou autant de mois à ne pas comprendre qui se passait, pourquoi elle réussissait à ne pas t'agacer quand tu lui expliquais encore et encore un résumé d'ouvrage. t'as mis du temps à comprendre, qu'Alba c'était pas une fille comme les autres. qu'Alba c'était pas un être humain avec qui il suffisait de claquer les schéma que tu t'es toujours efforcé d'adopter. le jour où un peu éméchée elle t'a pris dans ses bras, que t'as sentit tes mains devenir un peu moites...  c'est ce jour là que t'as compris que les barrières de contrôle avaient leur failles et leur limite. Alba comme clef dangereuse pour s'insinuer dans chacune de tes pensées. Alba magicienne qui vient tout perturber, Romeo incapable de manigance insensible face à ses sourires. toi capable de mensonge et tragédie pour parvenir à tes fins, sans soupçons de culpabilité, te voilà réduit à observer ce brun envouter celle qui restera ton amie. alors t'as préféré te mentir, ne rien dire, enfouir ces sursauts de sentiments qui grapillaient un cœur qui n'a pas l'habitude de fonctionner. tu t'es convaincu Romeo ne pas être amoureux, ce mot que tu as beaucoup trop lu mais que tu n'as jamais vraiment voulu comprendre. et de ces premiers sentiments, tu as décidé de ne plus rien en éprouver. d'un claquement de cils, tu t'es persuadé te détacher de ces embêtements que t'as collé à "sentiments". tu perds assez d'énergie à gérer tes relations amicales avec ce cercle si peu nombreux, pas la peine d'en rajouter. et d'Alba, le livre tu as décidé de le brûler. histoire qui n'a jamais débuté.

And I could be the monster
manigeances.
le bruit qui part tout seul, qui résonne, amplifié et rebondit dans un infini qui n'existe que dans ton esprit. le coup de feu meurtrier, déjà au passé et qui ne fera que se répéter inlassablement dans tes pensées qui ne connaissent jamais de repos. le souffle angoissé qui cesse d'exister, et le corps qui s'effondre dans un silence qui ne durera pas. quotidien absolument pas bouleversé; comme si c'était un mauvais film hollywoodien. ni mouvement brusque, ni frémissement; les muscles qui ne se tendent même plus... lassitude d'une horreur qui ne trouve plus son chemin ? les vacances qui n'ont de nom que le retour aux sources. soupire, et sa main qui repose l'arme comme tu repose ton téléphone après une conversation désagréable. agacements d'une autre dimension, quand il s'agace les conséquences en sont différentes. mais tu ne bronches pas Romeo, d'une visite impromptu dans cet hôtel où rien ne filtre, ni ne s'infiltre... tu le sais qu'il n'y a pas que les armes en décorations de ceintures de ces hommes à se méfier. pourtant tes opales mettent plus de temps à s'en détacher, de ce corps devenu cadavre qui git au sol. elles s'accrochent à la tâche de sang qui s'élargie; et tu songes à la personne qui effacera ça. nettoyer derrière soi, pas qu'au sens propre. et l'université semble si loin quand tu reviens fouler le monde où ton père règne en maitre et seigneur. monde noirci d'argent dans lequel tu évolues sans te voiler la face. ton futur que tu contemples sur ce cerveau qui s'entre voit de cette boite crânienne abimée à bout portant. pas même un haut-le-cœur, ni un soubresaut de l'âme; ici la tienne n'a pas sa place depuis le début. et seul ton cerveau te sauvera et t'élèvera pour suivre les traces d'un colosse qui te porte dans son ombre pour encore de nombreuses années. Chicago, la ville noire que tu fuies avec déraison, te persuadant au quotidien que tu pourras continuer d'échapper aux contraintes d'un nom trempé de sang, entaché d'illégalité. te persuadant de pouvoir continuer à n'être qu'un petit marionnettiste de tes propres manigances sans un jour devoir reprendre un empire auquel personne ne te pensent capable. toi être fragile, toi petit génie aux yeux trop bleus et trop grands, au visage d'ange. et si tu trompes tout le monde; dans tes absences de réactions, tu laisses perdurer tes propres mensonges.


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› prénom, pseudo: dis nous, on est entre copains! › pré-lien, pi: on tague le @créateur pour un pré-lien. › fréquence de connexion: tu viendras nous voir souvent? › le mot de la fin: écrire ici.

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