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| Sujet: constellations dancing high Lun 16 Avr - 11:32 | |
| wes maxwell (23 ans - rigel - Charlie winzar) -- -- -- -- -- -- -- -- --
› identité: Il y a le gosse oublié. Il y a l’homme admiré. Et entre les deux, il y a Weston, ce nom qui vient de rien, donné pour mieux s’en débarrasser. Puis, il y a Wes, qui a fini par s’accepter, qui s’est créé dans la poussière et s’est forgé morceaux par morceaux, délaissant les parts immondes du passé. Pourtant, accrochée comme une sangsue, lui déchirant toujours la peau, l’odeur des Maxwell continue de se déverser sur lui. Ce nom qui empeste, qui traîne les remords et les erreurs, mais qu’il garde malgré tout. Pour le redorer. Pour le guérir. › âge, date de naissance: Qui a vu. Qui a vécu. Vingt-trois ans seulement, mais une éternité déjà passée. Grand est devenu le môme qui est né au pied de la mort, que l’on a négligé, puis abandonné, qui est tombé et qui s’est relevé. Un enfant de l’hiver, prédestiné, peut-être, à se faire résistant aux intempéries.(15/01) › signe astrologique: capricorne › lieu de naissance, origines: Crescent heights. il pue l’amérique à plein nez. Cette amérique déchue et décevante, qui est belle qu’à la surface, crasse dans ses bas fonds. Mais les espoirs au bout des doigts, le rêve américain toujours à la portée des quelques inconscients.. › emploi, études: Entre ses doigts les instruments de torture, ses pinceaux perforants, cracheurs d’encre violents et créateurs d’oeuvres d’art sur l’épiderme devenu souillé. Maître dans son domaine, qui ose se prétendre artiste. L’arrogance qui peint à vif sur les chairs, toile éternelle du bohème. tatoueur. › orientation sexuelle: Les courbes prononcés, les lèvres pulpeuses, les seins à empoigner. Il aime les femmes tendrement, passionnément, mais jamais bien longtemps, fuyant les engagements. › statut civil: Coeur à prendre. › traits de caractère: Il est cette ombre qui se faufile doucement, tapis et guettant, observant toujours dans le silence. Cette présence que l’on ne peut effacer, qui s'impose naturellement, forte, protectrice, intimidante. Wes, il est ce regard qui dit qu’il a tout vu. Cet air désintéressé qu’on ne peut plus surprendre, qui semble tout voir venir, qui ne s'attend à rien, jamais vraiment. Il est droit Wes, dans ses silences, dans son calme et dans ses doux sourires toujours un brins moqueur. Il vient de loin, il a grandi et le gamin enragé a perdu la colère qui lui courbait l’échine et qui l’empêchait d’avancer. L’homme devenu se tient la tête haute, délivre ses ambitions insolentes et il pue la confiance, risquant l’aveuglement. Mais Wes, libre pourtant, que l’on voit aller plus loin, qui a tout pour réussir, qui ne part pas, qui reste accroché à cette ville de misère. Wes, heureux, qui est confiant et grand dans ses manières, malgré tout toujours une lueur sombre dans le regard, quand il baisse la garde, quand sa prestance s’évanouit pour laisser place au gamin déchaîné passé (le calme, le confiant, le loyal, l’idéaliste, l’artiste, le sarcastique, l’orgueilleux, l’obstiné, le rancunier, l’impulsif, le protecteur, l’insolent)
( la tête tournée vers les étoiles )( mauvais gènes), La mère qui se dopait, qui buvait et qui a faillit tuer le nourrisson, Wes déjà en manque à peine son premier cri sorti, accro à la cocaïne avant même de connaître les effets de la poudre magique. Le père, pas mieux, fraudeur, voleur, dealeur, qui frappe pour se faire entendre, qui hurle pour un rien après le gamin qui n'est que gamin. On finit par le sortir de cet enfer, quand maman fait une énième overdose dont elle ne se réveille pas et que papa se trouve derrière les barreaux pour toujours. Mais il est trop tard. Le gamin de sept ans ne parle pas, il a appris trop vite à se taire. Le gamin a ce regard trop dur, l'innocente jeunesse qu'il ne connait pas, et il s'enferme, ne sait pas comment aller vers les autres. ( les monstres sous le lit), On l'envoie à l'orphelinat, trop vieux pour qu'on veuille de lui et de toute façon il ne saurait même pas dire ce qu'est une famille. On l'entasse avec d'autres paumés, dans un minuscule dortoir et des lits qui grincent toute la nuit. Il fait sombre, il fait froid. On ne rassure pas les mômes. On les enferme sous clé et on ne les laisse sortir qu'au matin. Et les cauchemars commencent, les ombres deviennent des montres et chaque bruit se fait effrayant. Mais Wes, il n'a pas peur pas, il n'a peur que des coups de son père et les démons semblent angéliques lorsqu'il fait la comparaison. Alors, Wes, le plus vieux aussi de tous les paumés, ce fait chasseur de monstres par procuration. Il regarde sous les lits et essuie les regards inquiets. Il se fait guerrier des nuits cauchemardesques et protecteur des jeunes camarades. Il est le loyal soldat et il ne les laissera pas tomber entre les griffes des monstres. ( le dérapage) Il n'est pas mauvais Wes, ne l'a jamais vraiment été. Mais il était en colère, toujours un peu, toujours sur les gardes. En colère contre ses parents. Contre lui. Contre le monde entier. Puis, il a l'époque où on se cherche, où on veut entrer dans le moule et les conneries commencent. Mauvaises décisions l'unes après les autres, se tient avec les mauvaises personnes, ceux qui se révoltent comme lui. Et puis, il se fait prendre, se retrouve au commissariat. Il est dans la merde. Sauf qu'il est mineur, on le laisse partir avec des travaux communautaires, un petit dossier criminel malgré tout. Et c'est la claque qui le réveille. Wes qui ne veut pas devenir comme lui, comme son père. Alors, il se promet de ne plus jamais revenir. Il se prend en main, arrête les conneries, les petits vols et les bagarres. Ça n'en vaut pas la peine. ( dessine-moi un mouton) Les études ne sont pas pour lui. Il a essayé pourtant, tente la fac pour que mieux abandonner. Il voulait étudier l'histoire. Il voulait étudier l'art. Mais l'histoire se vit et l'art doit se performer. Il a toujours aimé dessiner. Du plus loin qu'il s'en souvienne, c'est avec un crayon à la main qu'il se sent en paix. Dessiner pour échapper. Gribouillé du beau. Tracer des rires. Peinturer des couleurs dans un monde gris. Il dessine et il est plutôt doué. Alors, il se fait apprenti dans un atelier de tatouage. Il pratique ses traits, ses contours, apprend sur des peaux de cochons, est mauvais avant de devenir bon. Aujourd'hui, tatoueur reconnu dans la ville et des dizaines de ses toiles se promènent dans les rues. ( crescent heights) Ville de malheur. Ville de misère. Et pourtant, incapable de la quitter. Partir, Wes l’a voulu. Partir, il a été a deux doigts, les mains déjà sur le volant. Si près sans jamais tenir parole. Il ne compte plus les fois où il a songé à plier bagage pour ne plus revenir. Mais il est toujours là Wes. Toujours là parce que cette ville lui a aussi accordée ce qu’il a de plus précieux. Parce qu’il serait seul Wes, et qu’il serait incapable de le supporter. ( le thérapeute) Il y a ceux qui se taisent, grincent les dents, supportent la douleur. Et puis, plus nombreux, ceux qui parlent, qui se vident le coeur. Wes, il est l’oreille attentive, celui à qui on se confie alors qu’il y a des aiguilles entre les doigts. Il ne sait pas pourquoi. Peut-être parce qu’il est cette aura calme, qui semble solide, qui semble être capable de garder les secrets. Peut-être à cause de ses silences, des silences qu’on lit, qu’on décortique avec ce que l’on veut qu’ils signifient. ( les vices) Il ne peut pas toucher à la drogue. Non, pas après maman. Pas après Maya. Mais il boit, parfois un peu trop, ça lui délie la langue. Il doit faire attention, on ne doit pas savoir qu’il est faux. Et la cigarette addictive qui lui détruit lentement les poumons, la mort entre ses lèvres. Mais la caféine c’est correct. Chaque jour, cinq tasses bien foncées, sinon il devient grognon. -- -- -- -- -- -- -- -- --› prénom, pseudo: audrey › pré-lien, pi: pré-lien de nora › fréquence de connexion: j'va et viens comme le vent › le mot de la fin: j'vous love - code bottin:
[/u] - Code:
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› <u>célébrité en minuscule</u> - pseudo en minuscule
Dernière édition par Wes Maxwell le Lun 2 Juil - 16:42, édité 11 fois |
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Remie Banks - mars attack ! -
stop making the eyes at me
i'll stop making the eyes at you
and what it is that surprises me
is that I don't really want you to
Messages : 564 Identité : mathilda Avatar : eilish Crédits : mad sounds, sial, venus in furs Âge : seize ans roulés dans l'herbe Occupation : sophomore & serveuse de pacotille au mcdo Côté coeur : à la recherche des cœurs de palmier Quartier : dans l'est avec maman, dans l'ancienne chambre de rex
| Sujet: Re: constellations dancing high Lun 16 Avr - 12:51 | |
| BIENVENUE !!!!!!!!! :jill: :jill: :jill: :jill: :jill: c'est trop beau ici "y'a du verglas. les gens se pètent la gueule. c'est drôle" CHEZ MOI C'PAREIL peut-être qu'on est voisins |
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Invité Invité
| Sujet: Re: constellations dancing high Lun 16 Avr - 14:21 | |
| NORA, merci, t'es belle. Et puis, ce pré-lien, j'ten amour j'espère que Wes va te plaire et on va avoir un lien de malade, promis
JEM, je suis doux doux merci bg! jake cooper, ce babe. d'ailleurs, le band, il est trop top
TIM, il est dur, mais à l'intérieur il est tout moelleux Merci !
REMIE, WHAT WHAT Ma voisine est une vieille folle qui sacre après tout l'monde, mais okay, peut-être, idk Thank compatriote poutineuse ! |
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Sil Myers
Messages : 1450 Identité : tadshoot Avatar : lucky blue Crédits : - Âge : dix neuf ans Occupation : combats illégaux et n'importe quoi pour chopper du fric Côté coeur : coeur à l'envers, qui fonctionne pas autrement que pour des amitiés fracassées Quartier : le squatt du mauvais côté des rails, entassé avec une bande d'idiots
| Sujet: Re: constellations dancing high Mar 17 Avr - 14:12 | |
| MAIS CE CHOIX QUOI Beau il me fait tellement fondre et en plus QU'EST CE QUE T'ES BEAU Faut qu'on parle lien du coup, forcément |
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