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 the wolf inside is breaking free | bash

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MessageSujet: the wolf inside is breaking free | bash    the wolf inside is breaking free | bash  EmptyLun 20 Aoû - 8:28

Autant que les dossiers sur son bureau, les pensées s’accumulent, s’amoncellent en montagne de mots et de douleurs ravivées qui la rendent plus aigrie à chaque secondes qui tombent en couperet sur sa journée. Sa concentration sur les lignes qui passent sous ses yeux ou même les voix qu’elle peut entendre au téléphone lui semble être des bribes de phrases sans aucune logique. Si autrefois son travail lui permettait de garder un équilibre précaire pour combler rien qu’un peu le trou béant, à présent, il y a des jours où elle se rêve à être ailleurs qu’ici, entre quatre murs où la décoration épurée l’oppresse, lui rappelant un avant où elle était fière de ce qu’elle faisait et de ce qu’elle avait accomplie. Un pli amer se creuse au coin de ses lèvres alors que dans un soupir elle abandonne stylo et lunette de vue, la lueur d’un astre brûlant venant caresser les papiers éparpillés devant elle de ses rayons, lui exposant tout le travail qu’il lui reste et qui lui restera encore longtemps. La passion pour son travail est encore là, ses flammes de désir de justice léchant toujours son âme et la poussant encore et encore à devenir plus incisive que jamais pour gagner ses combats et ceux de ses clients. Nephtys est de ces avocats cherchant les failles, voulant y entrer sans remords pour planter l’arme assez profondément pour voir son adversaire suffoquer et ployer les genoux. Et elle se sait pourtant incapable de trouver la source de sa propre victoire dans la propre bataille qu’elle mène depuis dix ans, l’absence de sa fille planant comme une épée de Damoclès au dessus de sa tête, tanguant doucement sur son fil et prête à la transpercer à tout moment, pour achever le travail de la folie qui la guette à l’orée de son esprit, comme un crépuscule prêt à jeter ses ombres et l’avaler dans sa nuit horrifique. Le corps plus nerveux qu’à l’accoutumé, elle se relève, usant le parquet de l’aiguille de ses escarpins, laissant planer son regard d’obsidienne sur la rue en contrebas. Si le quartier est calme, c’est dans cet immeuble et dans les bureaux qui l’habitent que coulent les larmes les plus amères, que les lèvres se délient pour trouver enfin refuge auprès de personnes comme elle. Personne n’imagine que celles qui a la langue trempée dans le fer et l’arsenic, n’est plus qu’une bouée prête à couler. Dans un geste absent, elle laisse ses mains divaguer sur ses avant-bras, là où là où elle se plante un peu plus de venin, dans le but curieux de s’abrutir quand la douleur psychique la prend en prisonnière, étau brûlant qui la paralyse à l’abri des regards. Les regrets et la culpabilité sonnent en elle à chaque fois mais elle s’accroche à ce seul échappatoire trouvé.  La porte de son bureau s’ouvre assez brusquement pour manquer de la faire sursauter, sa tête se tournant vers l’intrus qui vient d’y entrer. Nephtys serre les dents, cherchant à repeindre son visage d’un calme qu’elle a travaillé depuis qu’on lui a apprit à ne jamais montrer ses émotions, les enrobant d’un voile épais d’indifférence. Elle hausse un sourcil, incitant sa secrétaire à ouvrir la bouche, toujours en suspens au pas de la porte. Celle-ci se décrispe quelques peu, n’essayant même plus de lui sourire “Votre rendez-vous est arrivé.” C’est dans sa mémoire embrouillée qu’elle fouille brièvement avant de se redresser quand le nom lui revient, la tension s’écoulant lentement le long du lit de ses veines, arrivant à remonter jusqu’à son cerveau. Le corps qui émerge enfin prends une place énorme dans la pièce. Son attention toute tournée vers lui, elle ne lui renvoie que son regard, scrutateur “Je ne pensais pas que vous viendriez.” elle lui offre encore et toujours le vouvoiement, comme pour tirer un peu plus sur le fil et mettre les barrières qu’elle a toujours imposée, le sarcasme à peine dissimulé. D’un geste gracieux de la main, elle l’invite à s’asseoir avant de le faire elle-même, son regard passant sur lui, tentant de percer l’humeur dans laquelle il s’est nimbée aujourd’hui. “La liberté a bon goût, j’imagine ?” elle laisse traîner le timbre de sa voix, doucereuse, comme pour préparer le terrain épineux qu’elle s’apprête à fouler, sans même penser à l’épargner.  
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Bash Bukowski
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MessageSujet: Re: the wolf inside is breaking free | bash    the wolf inside is breaking free | bash  EmptyJeu 23 Aoû - 1:05

La ponctualité n'est pas spécialité. C'est le moins qu'on puisse dire pour un mec comme Bash. Il était même arrivé après terme, sa mère désespérait de sortir un jour sa grosse tête. Alors ouais, les horaires, les obligations et tout le bordel n'étaient pas son point fort. Son expresso qu'il descend d'une traite, derniers arômes traînassant sur sa langue qu'il balaye en tirant la troisième latte de sa cigarette. Et l'heure qui défile et celle de son rendez-vous avec. Lorsqu'il décide finalement qu'il est l'heure d'y aller, il a déjà 37 minutes de retard. Il cisaille la ville, jonché sur sa moto, en quelques minutes et finit par garer sa bécane en bas de l'immeuble où il était censé arrivé il y trois quart d'heure maintenant. Une deuxième cigarette puisqu'il n'est plus à ça près. C'est lassant un peu. Cette vie faites de rendez-vous avec son agent de probation, son avocate et les experts psychiatres. Parfois il se demande si le jeu en vaut vraiment la chandelle. Ca fait six mois qu'il est sorti de taule et il a l'impression que son quotidien est uniquement rythmé par les rendez-vous qu'on fixe pour lui. Il parait que le meilleur moyen pour se réinsérer dans la société est de se fixer ses propres règles et de se tenir à les respecter. Tenir ses engagements, se pointer là où on lui dit de se pointer. La justice américaine a englouti certaines de ses plus belles années et elle continue à les grignoter sournoisement. En s'assurant qu'à défaut d'en avoir des réelles, des menottes invisibles lui mordent suffisamment les poignets pour lui couper l'envie de merder à nouveau. Comme si il était capable de faire quoique ce soit de bien ou de légal. C'est un pur produit white trash comme on les aime Bash, tout le monde savait déjà ce qu'il deviendrait avant même qu'il sache marcher. Y avait qu'à le voir en train de torturer des cafards devant le mobile-home de sa mère pour comprendre qu'un truc tournait pas rond chez lui. Ça ne s'était pas arrangé avec le temps. Sauf qu'au fil des années qui défilent, les conséquences de chaque facette perverse de sa personnalité avaient changé pour le pire. Agression aggravée, vol à main armées, tentative de cambriolage, la liste était longue. Le dénominateur commun à tous ces souvenirs d'interrogatoires et de cellules sales, en dehors du procureur et des agents de police qu'il connait presque tous maintenant : son avocate, Nephtys Mercant. Elle le connaissait depuis qu'elle avait 12. La première fois qu'il s'est fait arrêté pour vol de bagnole. Il avait refusé de la regarder lorsqu'elle avait pénétré dans la salle d'interrogatoire pour lui annoncer qu'elle allait le représenter. Bash n'avait pas compris sur le coup pourquoi une dame comme elle s'occuperait d'un cloporte comme lui. Puis en grandissant, en apprenant les dessous du système judiciaire il a fini par capter un jour que son fantasme d'enfance avait en réalité été commise d'office. Ca avait fait plus de sens tout d'un coup. Il avait du mal à croire que quelqu'un puisse se montrer volontaire pour s'occuper d'une cause perdue comme lui. Mercant avait donc été une de ses seules figures féminines positives dans sa vie. Même si elle se prenait ce temps dur et un peu sarcastique quand elle s'adressait à lui. Il l'aimait bien. Si elle avait été laide, il l'aurait détesté. Très certainement. Mais ce n'était pas le cas. Elle était magnifique, pleine de sensualité et il s'était imaginé la soulever un bon milliard de fois. D'ailleurs, c'est la première pensée qui lui vient en tête lorsqu'il se retrouve face à elle dans son bureau. Le temps a fait son oeuvre sur son visage, sa taille s'est un peu épaissie mais elle reste plus belle que la moitié des filles qu'il s'est tapé dans sa misérable vie. Ouais désolé j'suis un peu en retard j'ai pas vu l'heure. Premier mensonge, elle était habituée. Sans attendre qu'elle ne l'y invite, Bash se jette sur le gros fauteuil en face de son bureau, celui réservé aux invités. Il sort son paquet de cigarette. Quelle liberté ? La liberté c'est quand on fait ce qu'on veut. J'fais pas ce que je veux. Entre les réunions des narcotiques anonymes, les pointages avec mon agent de probation et maintenant mon rendez-vous avec vous... C'est pas la liberté ça. Il avait l'impression de passer son temps à faire ce qu'on attend de lui plutôt que de faire ce qu'il voulait vraiment faire. Il avait l'impression d'être un putain de gosse de 6 ans entouré de chaperon et c'était putain de désagréable pour un mec comme Bash qui avait absolument toujours eu des problèmes d'autorité. Bref, comment allez-vous Madame Mercant ? Le temps semble vous épargner.  Deuxième mensonge, celui-ci est presque inutile. Il sait qu'elle est imperméable à la flatterie mais du reste, il essaie. Sait-on jamais.
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MessageSujet: Re: the wolf inside is breaking free | bash    the wolf inside is breaking free | bash  EmptySam 25 Aoû - 7:43

Elle tique à peine face à la première poudre qu’il lui jette en entrant, ne le relevant qu’un sourcil haussé, exposant son scepticisme. Nephtys a eu des années et des tas de rendez-vous aux heures décalées pour comprendre  que son client n’est simplement pas ponctuel. Mettant de côté les tourment qui la hantent en arpentant et empoisonnant chaque recoins de sa tête, elle s’assoit, masquant bien les sévices qu’elle se fait subir. Tout est dans l’allure qu’elle se donne devant ses clients ou devant lui, d’avantage qu’avec les autres. Le masque qu’elle se pose sur la figure chaque jour s’endurcit face à lui qu’elle a vu grandir sans même s’en rendre compte, qu’elle n’a pourtant pas foutu à la place de son fils, celle de sa propre fille comblant le vide de la mauvaise façon. C’est toute son absence qui cause son fléau aujourd’hui et la chute vertigineuse dans laquelle elle s’est jetée. Son regard glisse sur lui comme pour voir à travers la fausse nonchalance à laquelle il s’accroche, comme si elle n’avait jamais été consciente de toute la violence qui fait pulser son coeur, lui donne sûrement l’impression d’avoir toute la puissance au creux des mains quand il la laisse l’envahir. Elle voit une moitié de vie gâchée où des parents n’ont pas fait leur boulot correctement. La question se comble vite d’une réponse qui comble le silence, sa voix emplissant l’espace toujours à sa façon. “Et qu’est-ce que vous voulez faire alors ? Quelle voie est-ce que vous allez prendre cette fois, Bash ?” le prénom glisse de ses lèvres comme pour l’inciter à parler, à lui confier qu’il ne prendra pas le mauvais chemin cette fois, qu’elle ne devra pas encore se retrouver devant une cour convaincue qu’il est le pire des monstres, ne cherchant pas à démêler les nuances que peuvent composer les actes d’un individu. Si il est rempli du noir de la rage, celle qui ronge et met en exergue toute sa folie, Nephtys reste convaincue que sa fureur s’allie à bien d’autres choses. Elle a été la première à prendre sa défense, s’est sentit immédiatement concernée par l’adolescent qu’on lui a présenté à l’époque, histoire de poudreuse, à seulement 17 ans. Elle qui aspirait à être une mère à ce moment-là, ayant enchaîné les échecs de grossesse, peut-être que c’est ça qui l’a poussée à prendre à coeur l’affaire et à persister, encore et encore, à prendre les armes et à devenir plus acérée encore pendant les procès. Et c’est tout le poids de ces années disséminées qui pèsent entre eux, emplis de mots qui ne se disent pas et qu’elle ne dira sûrement jamais. Il l’a peut-être sauvé de sa propre perte dans le passé, révélation plutôt violente à encaisser qui la pousse à se reprendre. Tout en croisant les jambes, ses yeux lui lancent un regard piqué d’une blase feinte. L’habitude des compliments est prise aussi, n’atteint jamais grand chose et les refus à ses avances ont été bien nombreux, assez pour qu’elle est perdu le compte et l’agacement qui allait avec. Aujourd’hui, elle n’a même plus d’alliance pour faire barrage à tout ça, plus rien qui ne l’attendent mais son corps reste figé dans une anesthésie générale qui la bloque et l’oppresse. Le temps l’a, au contraire, percuter de plein fouet comme il n’a pas “Je vais très bien, merci de demander. Mais nous sommes là pour parler de votre cas, Monsieur Bukowski. le rappelle à l’ordre glisse de ses lèvres d’une voix quasi mielleuse avant qu’elle ne reprenne, plus sérieusement “J’espère que vous êtes conscients que votre quasi liberté n’est qu’une mise à l’épreuve, une sorte de test, si vous préférez. Une seule arrestation, un seul dérapage est vous retournez à la case départ.” Toute l'obsidienne que contient ses yeux tentent d’accrocher le sien, comme pour le forcer à ne pas lui renvoyer un énième mensonge, une autre phrase bateau faite pour l’endormir. “Pour être honnête, j’aimerais être certaine que nous sommes sur la même longueur d’ondes. Je ne suis pas sûre de pouvoir faire quoi que ce soit pour vous si vous replongez, vous comprenez ?” et ça lui écorche les lèvres d’avouer que même elle ne serait pas capable de lui sortir la tête de l’eau. Se penchant vers son bureau, entrouvre les lèvres, les referment avant que les mots sortent enfin “La drogue, les agressions, les vols ou que sais-je encore, ça doit se terminer maintenant.” un avertissement plane au fond de sa voix, craquelant presque de l’espoir qu’elle y met et ses mains, encore vibrantes de toute la nervosité qui ne la quitte pas depuis l’aube, glissent le long du bois sombre alors qu’elle se recule, relevant à nouveau les barrières qu’elle construit à chaque fois en rempart entre elle et le monde.
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MessageSujet: Re: the wolf inside is breaking free | bash    the wolf inside is breaking free | bash  EmptyLun 3 Sep - 6:22

Elle s’assoit, à son grand regret. Le prive d'une vue vertigineuse qu'il aurait préféré prolonger. Assis l'un face à l'autre, il peut sentir qu'elle le jauge. Il a fini par apprendre à la connaitre avec le temps. Il se doute de ce qu'elle pense de lui et ça lui glisse dessus. Elle n'est pas la première ni la dernière à le mépriser de toutes ses forces. La seule chose qu'il sait c'est qu'elle est la meilleure lorsqu'il s'agit de le sortir d'une mauvaise passe. Certes, il faisait souvent des allers retours en taule mais à chaque fois elle réussissait à lui décrocher la peine minimale. Ce qui était un miracle quand on connait son dossier. Parce que Bash ne se contente jamais de commettre un seul crime à la fois. Go big or go home, c'est son mantra. Il collectionne les chefs d'accusation comme son avocate collecte sûrement les paires de chaussures. S'attirer des ennuis, se mettre dans des situation inextricables c'est sa passion depuis qu'il est gosse. Car quans Bash est occupé à faire de la merde, à se mettre en danger lui et les autres, c'est autant de moments où il ne pense pas à ce qu'il est, à ce qu'il a vécu. Quand l'adrénaline afflue dans ses veines et que l'étau se resserre, c'est là qu'il trouve sa raison d'exister. Et ça, personne ne semble être capable de le percevoir. Si ce n'est peut-être Mercant, justement. Au ton de sa voix, à la qualité de ses arguments, il parvient à déceler entre les lignes à quel point elle a fini par en avoir marre de nettoyer derrière lui. Vous me dites ça à chaque fois et à chaque fois je replonge, vous le savez. Je le sais. On le sait. dit-il en haussant les épaules, résolu. Il connait par coeur ces conversations, il pourrait les tenir seul. Improviser chaque réplique, tout ses rendez-vous avec Mercant se déroule toujours de la même manière : elle le conjure de bien se comporter, il l'allume, elle le remet à sa place, il insiste et elle finit par lui ordonner de quitter son bureau. Elle n'est pas beaucoup venue le voir lors de son dernier passage en prison et il ne lui en veut pas. Qui avait envie de perdre son temps avec une ordure comme lui. Tôt ou tard, je recommencerai à faire de la merde parce que c'est ça qu'est ma vie. Si vous ne voulez plus me défendre parce que vous en avez marre, dites-le moi maintenant. Que je puisse demander un nouvel avocat. Le visage fermé, mâchoire contractée, l'énervement irradie partout de son corps. Le rejet, toujours le rejet. Bash n'a jamais espéré que qui que ce soit sur cette terre le prenne sous son aile pour le protéger mais il peut pas nier que ça lui fasse un truc. Là sous la poitrine. Il le ressent au plus profond de lui-même bien qu'il aimerait l'ignorer complètement. Le mettre derrière lui. L'enterrer. Mais faut croire qu'une dernière once d'humanité parvient encore à le titiller, sous toutes ses couches qui composent le monstre sociopathe qu'il est. A vrai dire, je suis étonné que vous ayez réussi à tenir tout ce temps. Beaucoup auraient abandonné. Le ton se veut plus neutre, moins agressif. Parce que c'est la lassitude qui prend le dessus. Puis peut-être que si elle arrêtait d'être sa représentante, elle commencerait à envisager ce que lui pouvait faire pour elle. Que ce soit sur ce bureau ou contre cette étagère par exemple.
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