he wore a smile like a loaded gun (neo)

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{ he wore a smile like
a loaded gun }
crédit/ tumblr ✰ @neo nozere

♫ cela faisait sérieusement deux semaines que je n'avais pas vu Neo, que je n'avais pas poser mes mains sur son corps et que je n'avais pas posé mes lèvres sur les siennes. c'était un manque que je commençais à ressentir de plus en plus et j'avais donc l'idée aujourd'hui d'aller le retrouver, de passer une journée avec lui en cachette parce que cette fois-ci, je comptais vraiment fermer ma gueule sur le fait que j'allais le voir. j'aimais trop Cyrus pour lui cacher la vérité alors oui, je lui avais avoué avoir couché avec Neo. mais j'avais jeté la faute entièrement sur moi parce que je ne voulais pas que le garçon s'en prenne plein la gueule. d'ailleurs je savais même pas si Cyrus avait eut une discussion avec lui mais au vu des messages qu'on s'envoyait, je pense qu'il n'avait pas ouvert sa gueule devant lui. Alors j'avais proposé au beau brun de se voir dans la journée, de passer un moment à deux mais cette fois-ci, en dehors de l'appartement, parce qu'il faisait assez bon pour profiter des beaux jours. Je m'étais préparée, maquillée et je m'étais surtout faite jolie pour lui, parce qu'après tout, il avait bien le droit d'avoir une sorte de rancard avec une jolie fille ! petite robe noire qui laissait entrevoir mes épaules et mes clavicules, petite sandales compensées assortis, j'avais même prit le temps de m mettre du vernis à ongle, chose que je ne faisais jamais tellement j'avais horreur de me comporter comme une vraie fille. sauf qu'une petite voix au fond de moi me disait de lâcher quelques secondes la Sixtine geek et devenir une femme pour plaire d'avantage au garçon, lui montrer que même si j'étais une mioche de la génération deux-milles, je pouvais aussi me montrer mature et élégante. la petite touche qui faisait sûrement tout, c'était cette petite trace d'encre à lèvre rouge que je m'étais appliquée au centre des muqueuses pour donner ce petit côté ombré typiquement à la mode chez les coréennes. et après avoir envoyé un dernier message à Neo pour lui demander de me rejoindre à un point précis de la ville, j'avais prit mon porte feuille, un sac dans lequel j'avais fourré ma serviette de plage et quelques affaires avant de prendre la route, à pied puisque je n'avais plus d'essence dans ma voiture, et je m'étais rendue sur le lieu de rendez-vous. j'avais du marcher sûrement plus d'une demi-heure dans les rues avec le dernier album de BTS dans les écouteurs. Le plus gênant ça devait être le regard des passants qui n'arrêtaient pas de me fixer parce que peut-être que je devais chanter un trop fort et que je ne m'en rendais pas compte qu'on m'entendais. mais voilà que j'arrivais près du lieu de rendez-vous et j'aperçu Neo le dos collé contre le mur d'une boutique. je m'étais donc avancé d'un pas rapide vers lui puis en le prenant par surprise j'avais simplement posé mes lèvres contre les siennes. "coucou toi" lui avais-je soufflé. dieu merci je pouvais enfin le voir et ça faisait un bien fou, à tel point qu'un large sourire s'était accroché à mes lèvres dès qu'elles s'étaient collés aux siennes. je tirais sur mes écouteurs pour les enlever de mes oreilles puis je rangeais mon téléphone dans mon sac à dos avant de glisser mes deux mains contre ses bras et venir attraper ses mains comme aurait put le faire un petit couple amoureux. "t'as pas oublié ton maillot de bain j'espère ?" lui demandais-je parce que j'avoue que je serais pas mal jalouse si il devait venir à se baigner nu ou en caleçon. bah quoi ? j'ai le droit d'être jalouse non ? tout en lui posant la question, je venais jouer avec ses doigts puis finit par tirer doucement sur ses poignets pour lui décoller le dos du mur et l'inciter à se mettre en marche. il nous restait un peu de chemin à faire avant d'arrivé à la jetée et j'avais envie de profiter un maximum de lui, rester avec lui même après le couché du soleil si possible.

@Sixtine Chang

(vous pouvez détruire tout ce qu'il vous plaira
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pour tout reconstruire)

la lumière de ton portable t’afflige un supplice horrible, alors que tu lâches celui-ci sur le fin matelas de ton van. encore une nuit a passer dans ces draps, la fatigue sur tes épaules. le travaille chez les Raynes avait le don de te rendre grincheux et fatiguant. ton habituel je m’en foutisme avait laisser place a un petit papy grognons qui froncer constamment les sourcils, qui attendait constamment une brèche pour pouvoir se plaindre et s’y fondre pour laisser évader des pensers négatif. aucune lumière ne venait émerveiller ce tableau grisâtre qu’est devenue ton quotidien depuis les deux semaines qui se sont écouler. il été compliquer de trouver une pointe de bonheur dans les tâches ingrates que ton patron te donnait, difficile de trouver un demi pourcentage d’étincelle de joie dans les ordres sec et désagréable sur lequel tes autres collèges te parlait. t’aurais déjà foutue le camp depuis des lustres si l’argent ne se faisait pas rare. il n’y avait rien d’autre dans ce bled paumer que des gens chiants et des fouteurs de merde. jusqu’à ce soir.
jusqu’à un message laisser en plan depuis plus de 2h. une petite notification, verdâtre qui s’illuminer vers 16h30 d’un être chérie. Sixtine, rendez-vous demain à la plage. un fin sourire se fond sur tes lèvres a peine visible, une excitation étrange né dans ta poitrine, comme une chaleur que tu avait oublié, comme quelques choses de nouveau qui venait titiller tes intestins.
Tes arrivé plus tôt, une galère pas possible pour trouver une place de parking gratuite. T’avais des sous sur toi, pas beaucoup mais ce qui te rester de ton dernier taf, tu voulais le garder pour mettre un peu de côté et acheter des clopes mais ça peut attendre. tu te laisse d’ailleurs tomber contre un mur pour t’en griller une. t’es pas passer au rouler ce qui rend le gout de la nicotine moins pure, t’as toujours l’impression de fumer n’importe quoi quand tu doit les roules toi même. la gosse fini par arrivée. l’astre lumineux, la voilà. elle était particulièrement jolie, encore plus que quand elle été nue. tu retiens un sourire trop large, laisser ta clope tomber au sol après l’avoir écraser. elle s’avance vers toi d’un pas rapide et vient automatiquement coller ses lèvres aux tiennes. tu retiens ses bras dans les tiens, détestant les preuves d’amour en publique. tu haïssait réellement ça encore plus que les surnoms débiles et l’odeur de l’alcool au matin. mais tu te retiens de lui faire la remarque, son sourire été trop étincelant pour le gâcher aussi vite. « Salut, la gosse. Apparement, je t’ai manquée. » elle aussi, elle t’as manquer. elle reste très tactile, très fébrile ,très naïve, toujours cette air si pure sur son visage. tu l’embrassera plus passionnément plus tard, t’avais encore envie de gouter a ses lèvres fruité et ruiner son maquillage à coup de baiser. elle avait la nuque dégager, t’avais une seule envie : venir nicher ta tête dedans, sentir l’odeur de sa peau dans tes narines et caresser ses hanches du bout de tes doigts. mais tout ça pouvait attendre, car apparement elle voulait se promener. tu remet tes mains dans tes poches, pas très à l’aise avec les gestes affectifs en publique. « je sais pas nager. » dis-tu dans un petit rire, à vrai dire tu sais plus si tu sais nager ou pas et ça te dérange pas de nager en caleçon, t’avais aps forcement de maillot de bain. vos pas se dirrige vers la plage, grande promenade des amoureux, y avait pas beaucoup de monde pour un soir de semaine. « t’es très jolie, Sixtine. » tu poses tes iris sur elle, sur ses cheveux bien coiffé, l’effort qu’elle a mis dans son make up et sa robe migonne. un fin sourire s’étend sur tes lèvres alors que t’avais ls yeux poser sur elle, encore plus belle que quand elle est nue dans tes bras.

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salut la gosse.... c'était d'un glamour venant de la part de Neo mais je n'avais fait aucune allusion sur cette phrase. après tout, elle était véridique, j'étais une gosse à côté de lui, une sale mioche qui avait quatre années de moins que lui. néanmoins, c'était pas trop fairplay de me foutre sur la gueule notre différence d'âge. j'haussais simplement les épaules et j'avais glissé mes doigts le long de ses bras dénudés avant de me saisir de ses mains. mais au fond, je pouvais sentir une certaine gêne en lui, comme si l'affection et le tactile le dérangeait. peut-être parce qu'on était en public ? non parce qu'en privé, ça ne l'avait pas tant dérangé que ça de recevoir des papouilles, des câlins et des petits bisous un peu partout. mais bien sûr qu'il m'avait manqué et je crois que j'ai été un peu trop spontanée dans mon bonjour pour le bloquer. je me pinçais légèrement la lèvre inférieure avant de soupirer et lâcher ses mains délicatement chaudes. je finis par glisser ma main contre ma nuque, de façon chagrinée et je viens à tapoter le cailloux devant mon pieds doucement. mais voilà que ces bêtises me tiraient un sourire adorable et que je releva le visage vers lui, plissant le bout de mon nez pour ressembler à une petite souris. son rire était quelque chose d'agréable dont j'aimais me délecter et que j'avais envie d'entendre constamment, autant que sa petite voix grave dès lors que j'ouvrais les yeux ou ses mains brûlantes contre ma chair fraîche. Neo, tu étais en train de commencer à me rendre folle et c'était flippant. je venais à donner un coup sur son épaule, de façon amusée avant de secouer la tête. "t'arrêtes de dire n'importe quoi !" puis j'avais rattrapé ses mains dans les miennes, plus précisément ses poignets pour venir le tirer de son mur et le mettre en marche vers le lac. j'adorais cet endroit mais je n'avais pas tellement l'occasion de m'y rendre. du moins, ce n'était pas Cyrus qui était partant pour y aller, alors vous imaginez ma joie quand Neo avait accepté de m'accompagner pour une petite soirée sur les plages. il ne restait que très peu de route à faire pour aller jusqu'au lieu de notre petit date, disons ça comme ça et je fut surprise de voir que malgré la chaleur, les gens avaient décidés qu'ils ne voulaient pas se rafraîchir. mais bon, c'était préférable, au moins je savais que je pourrais profiter du garçon à ma guise et que personne ne viendrait nous emmerder pour telle ou telle raison. mais voilà  qu'il posa son regard sur ma petite personne et qu'il fit une remarque sur ma tenue. un nouveau sourire se forma à la commissure de mes lèvres avant d'offrir une risette plus grande au garçon, montrant mes quatre dents du haut, ce qui montrait ma joie actuelle. "c'est vrai ?" soufflais-je d'un ton mielleux avant de reprendre. "je voulais mettre un robe de ta couleur préférée mais... je la connais pas, alors j'ai juste opté pour la sobriété. et toi t'es super mignon aussi. comme toujours." j'avais simplement chuchoté cette dernière phrase pour que seul le brun puisse l'entendre avant de revenir attraper sa main pour le détourner deux secondes de notre point de rendez-vous et m'arrêta devant un food-truck parce que.... damn j'avais chaud et que les glaces me donnait grave envie. alors, je demandais un cornet à la vanille, chose basique mais tellement bonne et je me tournais vers Neo. "tu veux un truc ?" j'avais eu connaissance de la situation du garçon et même si la mienne n'était pas terrible non plus, je pouvais bien lui offrir une glace ou une canette de soda.

@Sixtine Chang

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tu laisses un rire s’échapper de tes lèvres alors qu’un sourire léger se dessine sur celle-ci. non tu ne sais pas nager, tu barbottes ouai, tu sais faire la nage du chien, ouai, mais tes souvenirs sont assez flou sur une carrière de nageur professionnel. tu te dit qu’avec un corps aussi fragile et frêle, tu pouvait pas faire des masses de largueur/longueur et surtout que tu ne te souvient pas être particulièrement à l’aise dans l’eau. c’est sûrement le fait d’être à moitié nu devant tout le monde qui te dérange, devoir montrer les ficelles qui te servent de jambe ou ce corps difforme sans rien à se mettre sous la dent. tu te demande parfois ce que tes partenaires te trouvent, t’as une jolie gueule faut pas se mentir, une voix assez douce, faut le dire aussi, mais le reste de ton corps est une épave à la dérive, des bras sans forme, un manque total d’abo, des jambes trop fine. pourtant sixtine te regardait avec des étoiles dans les yeux, des étincelles indéfiniment pétillant qui briller autour de ses pupilles noirs, elle était particulièrement excité aujourd’hui, et ses mains baladeuses un peu trop tactile en été la preuve. qu’est-ce qu’elle pouvait trouver de bien dans ce corps de lache et ce mec pas à l’aise en publique ? qu’est-ce qui te rendait si spéciale à ses yeux? tu avales ta salives et démarre le pas pour la suivre dans sa promenade. elle avait fait un effort monstre pour aujourd’hui, rien avoir avec la gamine qui traine en survêtement ou tee shirt trop large ne laissant dépasser que ses cuisses généreuses et sa culotte ornée de manga dessus. son corps été un délice et elle l’avait argumenter en mettant ses plus beau atout en valeur, comme une trentenaire qui sait exactement quoi faire pour qu’on soit fou d’elle. fou tu l’es déjà, d’elle, encore plus. ton envie la plus basic est de la retirer sa robe pour lui faire l’amour, là, tout de suite sur ce sable chaud. dévorer chaque partielle de son corps, recouvrir son être de baiser et de caresse, en commençant pour glisser tes lèvres de nouveau sur les siennes mais de manière plus langoureuse. tu lui adresses un compliment, à voix basse, aussi léger que du satin, mais qui avait le don de la rendre toute chose. tu pouvais voir ses joues rosir face au compliment, un léger sourire se dessinant sur ses lèvres pulpeuse. « j’aime bien le noir, même si c’est pas considéré comme une couleur il me semble.. mh, sinon le rouge, je trouve ça beau et ça t’irais bien. peut être pour une prochaine fois? » parce que prochaine fois il y aura. tu restes un instant à l’admirer par dessus, son sourire été un vrai médicament, son toucher encore plus. j’vous parlez de la lueur d’espoir qui se cache dans les jours gris, la voilà, brillante et scintillante de mille feu : sixtine chang. t’avais pas fait grand effort toi, toujours un jean, toujours une chemise beaucoup trop large, toujours un bandeau qui orné ta tête et des cheveux beaucoup trop long qui dépasser un peu de partout, mais son compliment te faisait quelques choses, tu ne peux t’empêcher de sourire. vos pas s’arrête devant un glacier, il semble qu’un date ne peux se faire sans une friandise, t’étais pas très sucrerie, la nourriture t’attire pas autant que ça. mais sixtine est un enfant et les enfants aimes les choses sucrés. « moi, non merci, mais tu veux quelques choses toi? une glace? une gaufre? ce truc qui tourne et qui a l’air super sucrée et surement cancérigène? » va savoir comment ça s’appelle, mais ça avait l’air de couter une blinde pour ce que s’est. t’avais des sous, ouai pour une fois, pour tout le taf que tu fais à la journée tu pouvais te permettre de lui prendre un truc. leurs glaces à l’italienne avait l’air bonne, t’en prend une pour Six, à la vanille, et plein de serviette pour qu’elle évite de s’en mettre partout. pour toi, une simple bouteille de coca faisait l’affaire, mais le mec a mis ça dans un gobelet avec deux pailles, histoire de bien être dans le thème de la niaiserie. ça aurait été quelqu’un d’autre t’aurais surement jeter la deuxième paille en scred, mais c’était elle, alors elle en vaut la peine. tu lui tend sa glace et garde les quelques serviettes en main pour lui donner quand elle en aura besoin. « je garde le reste au cas ou. » tu secoue les serviettes dans ta main et les fourres dans ta poche, elle s’en met un peu sur la joue, pointe de glace sur sa douce petite joue. tu te penche pour l’essuyer du bout de ton pouce, avant de déposer un baiser sur l’endroit de la tache, tu glisses ensuite pour prendre une bouche de sa glace et passer par ses lèvres pour y déposer un léger smack. un sourire malicieux sur la bouche. ah ouai c’est quand même bon ces merdes là. votre marche continue doucement jusque dans un endroit vide de monde, le sable chaud te donner mal à la tête et c’est vrai que l’envie de faire trempette commencer à te titiller.

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crédit/ tumblr ✰ @neo nozere

qu'est-ce que ça faisait du bien de sortir, de pas se préoccuper des livraisons et des commandes à passer en matière de manga ou de jeux vidéos. je pouvais enfin prendre un bon bol d'air frais, profiter du soleil qui faisait enfin de grandes percées dans le ciel mais aussi profiter de l'eau froide du lac en bonne compagnie. qui l'aurait cru, Neo et Sixtine qui se revoyaient dans une sorte de petit rendez-vous amoureux sur les plages. j'avoue ne jamais avoir eut de date avec un garçon, c'était pas tellement le délire des mecs en Corée lorsque j'y vivais encore, et c'était pas Cyrus qui m'aurait invité quelque part. Neo non plus me diriez vous puisqu'après tout, c'est moi qui lui avait proposé de sortir. je l'avais rejoint en ville avant de nous mettre en marche vers notre lieu de rendez-vous puis mon estomac de morfale avait repéré le food-truck à sucrerie et j'avais tiré le garçon vers ce dernier afin de prendre de quoi manger, pour surtout pas le faire chier toutes les deux secondes parce que mon ventre gargouillait. j'avais pas trop mangé à midi alors je savais qu'à un moment donné je risquais de pleurer pour manger un truc. je lui avais proposé un truc, du moins si lui aussi voulait grignoter une merdouille ou se délecter d'une boisson fraiche mais au moment où j'avais sortit mon porte-feuille pour payer, j'avais vu sa main venir me l'abaisser pour me faire comprendre qu'il me l'offrait. un fin soupir s'échappa de mes muqueuses avant que je ne lui accorde un petit sourire et prenne une glace à la vanille. je restais raisonnable, j'avais pas envie de le ruiner en prenant une gauffre banane et nutella même si elle me donnait vraiiiiment envie. j'étais tellement petite que j'avais du mal à voir le camion en entier alors je m'étais mise sur le pointe des pieds, je menton contre le comptoir avant de réceptionner mon cornet de crème glacée puis me remettre sur la plante et je levais les yeux vers le vendeur qui tendit un gobelet fermé avec deux pailles au garçon ce qui me tirait un sourire amusé. tient il croyait qu'on était ensembles ? j'attendais qu'il paye pour venir souffler un petit "merci chaton" comme ça en chuchotant. non mais oui, j'aimais bien l'appeler chaton parce que c'était mignon. mais c'était occasionnel et c'était que la deuxième fois que je l'appelais ainsi. puis en le voyant secouer les serviettes, un rire s'échappa de mes lippes avant que je ne secoue la tête de façon désespérée. "dis que je bouffe comme une porcasse aussi naméoh !" sauf qu'il avait pas tord dans un sens, quelques minutes après qu'il ait fourré les bouts de papier dans sa poche, j'avais étalé malencontreusement un peu de glace sur ma joue, ou plutôt sur ma fossette et je n'avais capté ça que lorsque Neo avait passé son doigt dessus et l'avait coincé entre ses lèvres pour le nettoyer et surtout qu'il avait posé un baiser par-là. doucement mes joues virèrent au rosé avant de le voir manger un bout de la crème glacée et poser ses muqueuses sur les miennes avec rapidité, ce qui me fit rougir d'avantage parce que c'était autre chose que juste partager un moment d'intimité sous les draps là, c'était juste des petites preuves d'amour, des preuves que j'étais pas juste une pote comme ça mais que j'avais de l'importance pour lui. et qu'est-ce que j'avais envie d'embrasser cette bouche qui me manquait de plus en plus. j'avais bloqué quelques secondes avant de me remettre en marche, essayant de manger mon cornet proprement avant d'arriver sur le sable. j'avais au-préalablement retiré mes sandales pour ne pas être gêné et on avait trouvé un petit spot tranquille pour se caler à l'abrit des regards indiscrets. avant qu'on ne se pose, j'avais prit ma serviette de bain que j'avais étalé au sol puis je m'étais assise avant de tapoter à côté de moi pour que Neo vienne s'asseoir lui aussi, en finissant par regarder la mer avec envie, mais j'avais pas finit de bouffer alors ça allait être compliqué pour le moment. mais j'avais surtout soif présentement, alors j'attrapais le gobelet et portait la paille rose à mes lèvres, l'air perdu sur l'horizon mais voilà que l'asiatique avait décidé de prendre la paille bleue au même moment, chose qui me tira un largue sourire avant que je lâche la paille et vienne pose un baiser au gout de cola sur ses lèvres qui avait aussi un gout sucré. "j'suis contente de pouvoir être avec toi aujourd'hui." lui avais-je soufflé avant de poser un baiser sur le bout de son nez. Neo c'était pas le mec le plus sexy du monde, ni le mec le mieux foutu mais il avait ce charme fou qui faisait tout, qui faisait qu'on s'attachait rapidement à lui et qu'on avait envie de le protéger dans un sens ou simplement de l'avoir dans notre vie. puisque j'avais lâché le gobelet et que c'était lui qui le tenait, je m'étais permise de venir passer mes doigts chauds contre sa joue pour la caresser de mon pouce et venir jouer avec son oreille par la même occasion. "tu vas finir par ressembler à Jared Leto si tu vas pas te faire couper les cheveux. j'aurais du passer un coup de ciseaux la dernière fois... il était terriblement cute avec ses cheveux longs mais j'avais peur qu'il finisse par crever de chaud dans quelques jours et qu'il finisse par me réclamer des élastiques pour s'attacher les cheveux. j'avais juste pas de ciseaux sur moi alors je pourrais les lui couper la prochaine fois.

@Sixtine Chang

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c’est sans aucun doute que ce moment niais te plaisait étrangement. ça te faisait presque du bien de dépenser le peu d’argent qu’il te rester dans des choses futiles comme la nourriture. t’aime pas vraiment ça manger, t’as longtemps supplié pour avoir un bout de pain que la nourrie aussi bonne qu’elle soit n’est que fantaisie pour ta personne. c’est pourtant avec joie que tu échanges ces quelques billets contre le sourire radieux et ensoleiller de la gamine qu’y été accrocher à ton bras. ce petit je ne sais quoi maladroit et mignon avait le dont de faire rugir ton coeur, comme si tu voyait la femme adulte qui avait gémis entre tes doigts se transformer en adorable petit bambin incapable de manger correctement un aliment. tu ne peux t’empêcher de surenchérir en venant frotter ton nez contre sa joue, coller tes lèvres contres les siennes, imposant une couleur roser à ses joues. un sourire s’étale alors sur tes lèvres, commençant une marche lente jusqu’à un endroit plus tranquille et moins peupler. loin du monde qui vous entour et ceux qui aurez pu vous dérangez. elle avait déjà prévu le coup, t’es même persuader que sa culotte est le bas d’un ensemble de maillot de bain et qu’elle attend d’avoir digéré pour sortir son ensemble, qui moule parfaitement son corps de déesse. loin du peuple, il n’existe plus que vous deux, toi et elle, comme isoler ou cacher du monde extérieur. tu n’aurais pas aimer que tout le monde la voit en maillot de toute façon, comme si tout le monde pouvait admirer ce que seul toi pouvez toucher, ça te rendait malade rien que d’y penser. vous vous installez sur sa serviette de bain, elle finis de manger sa glace et tu commences à boire, elle avait rapidement compris le concept des deux pailles et se met a tiré de son côté, vos regards se croise une fraction de seconde avant qu’elle ne vienne poser ses lips sur les tiennes de manière timide. « j’ai accepté, parce que c’est toi. » un moi aussi aurait suffit, mais t’aime pas vraiment cette expressions, comme quelqu’un d’incapable a répondre a une jolie phrase, tu préfères dire ce qui te passe par l’esprit qu’un simple moi aussi, renvoyant juste ce qu’elle venait de dire comme dans un jeu de ping pong. tu poses le gobelet au sol, après avoir enterrer un trou pour le poser tu voulais avoir les mains libre et surtout : son toucher te rendait fou. tu t’installe en face d’elle et écarte sa glace du champ de vision pour venir l’embrasser plus profondément. un baiser plus passionné et plus intense que les ridicules smack que vous vous êtes autoriser sur la jeter. tu passes tes doigts le long de sa nuque pour venir pomper ses livres avec délice, le gout du coca et de la glace se mêlant à votre échanger. ton souffle devient court alors que tu lui adresses un sourire, a quelques centimètres de son visage, posant un dernier baiser sur ses lèvres avant de frotter ton nez contre le sien dans un baiser esquimau. « j’doit les couper ouai, il serait temps. Mais j'croyais que t'aimais bien? » ça commencer à te gratter le long de la nuque et c’est désagréable au boulot. tu reprend ta place et ta boisson, l’envie de l’avoir de nouveau dans tes bras te hanter, mais ça pouvait attendre. tu boit une gorger et repose le gobelet dans son trou, laissant ton corps tomber sur la serviette pour profiter un peu du soleil. faudrait pas que tu choppes un coup de soleil non plus, ta peau avait le don d’attirer ce genre de merde. « tu veux qu’on aille se baigner après? » va savoir ce qu’elle a prévu ou ce qu’elle veux faire, après tout c’est son rendez-vous. les yeux clos, tu laisses le soleil taper sur ton corps, la tête en arrière, tes doigts viennes se poser sur sa cuisses, caressant doucement sa peau velouter du bout de ton index. ah ouai des patouilles ce serai top actuellement.

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on était enfin sur la serviette de plage, à se prélasser au soleil quelques instants avant que nos regards se croisent lorsqu'on avait décidés de prendre tout les deux une gorgée de soda en même temps. je sais pas trop si le vendeur de bouffe avait vu beaucoup de couple dans sa vie mais en tout cas, il avait vu juste en matière de niaiserie profonde puisque j'avais finit par glisser mes lèvres sur celles de Neo afin de lui voler un baiser de façon timide, peu sûre qu'il veuille profiter de plus que ça puisqu'on était en public et que peut-être que ça le gênait vraiment. après tout, y'avait beaucoup de mecs comme ça qui n'étaient pas à l'aise dans le fait de se montrer avec une fille, love to love alors qu'il n'était encore en couple avec. mais ce qui me fit chaud au cœur lorsqu'il avait ouvert sa bouche, c'était de m'avouer avoir accepté sortir dehors uniquement parce que c'était moi. parce que c'était avec moi qu'il voulait passer la soirée visiblement, et ce sourire qu'il avait en coin de lèvres voulait tout dire sur le fait qu'il était heureux d'être ici en ma présence. puis il avait décidé de franchir le pas tout seul, sans que personne ne le force à quoi que ce soit. il avait fondu sur mes lippes comme un aigle aurait fondu sur une proie dont il était en chasse depuis plusieurs minutes. il était atrocement mignon parce que même si il en avait terriblement envie, il avait préféré faire gaffe à mon cornet de glace aussi pour ne pas me le gâcher connement en le faisant tomber. ses baisers avaient ce goût légèrement caramélisé que j'appréciais particulièrement et le contacte de sa langue fraiche contre la mienne complètement gelée me tira quelques frissons agréables, passant mes mains autour de sa nuque, je venais à continuer de titiller la tignasse trop longue du garçon en laissant par moment mon autre main flancher quelque peu, risquant de vraiment renverser la crème vanillée sur la serviette. mais c'était bien trop tentant de l'embrasser de la sorte, de pouvoir être proche de lui au point d'être même complètement collée contre lui. son petit baiser d'esquimau me tirait un sourire enfantin avant de faire une remarque sur ces cheveux, à laquelle il me répondit. "j'adore moi... j'te trouve terriblement sexy comme ça mais j'ai peur que tu finisses par plus rien voir d'ici une semaine ou alors tu vas me réclamer des chouchous et ça va être pire.." sauf si il avait envie d'avoir ce petit côté mec aux cheveux longs et attachés en chignons fait à la one again ? "si jamais je te fais juste un rafraichissement en rentrant ?" ouais, juste lui couper la frange et arranger un peu le tout pour pas que ça lui tombe trop sur la gueule. je l'avais laissé s'allonger sur la serviette avant de sentir ses doigts venir caresser ma cuisse avec douceur, comme un vrai petit couple fraichement formé et j'avais continué à manger ma glace avant de glisser ma main libre dans sa chevelure pour la câliner avec tendresse, lui accordant quelques papouilles. puis j'avais lâché ses mèches avant de glisser mon index dans le peu de crème qui me restait lui l'étala rapidement sur ses lèvres et viens à manger directement sur lui, lui accordant cette fois-ci plusieurs baisers qui lui tiraient un sourire grandit. "voui. bah j'ai finis ma glace alors on peut y aller maintenant si tu veux ?" et valait mieux parce que sinon, pauvre Neo, il va finir par s'endormir en plein soleil et ça sera juste un date plage-dodo plus qu'autre chose. je tira le bandeau qui tirait ses cheveux vers l'arrière pour venir le fourrer dans mon sac à dos avant de me lever et attraper les poignets du garçon pour le tirer vers moi. une fois debout, je le regardais avec un sourire malicieux et attendit qu'il ait retiré son haut et ses chaussures pour venir gueuler "le dernier à l'eau est un rat crevé !" j'avais moi-même déjà retiré ma robe et était complètement en maillot de bain, mais Neo... il lui restait son pantalon. oui oui, j'étais pas fair-play mais, il était plus grand que moi alors si il courait d'un coup, c'est sûr que j'allais perdre. il avait de la chance que notre spot était éloigné de l'eau aussi et qu'il avait de la marge avant que je n'entre dans l'eau pour retirer son dernier habit et foncer. mais moi, j'avais déjà détalé sur le sable chaud en gloussement, fière de ma bêtise sans penser une seconde que l'eau pourrait être froide. et dieu qu'elle l'était. j'arrivais au niveau de l'eau et je voyais Neo me rattraper derrière, j'avais foncé mais une fois dans l'eau, j'arrêtais pas des crier des "oh putain" en coréen, claquant des dents parce que le choc thermique me congelait sur place. bon, j'avais finit par entrer entièrement mais voilà que je m'étais tourné vers le brun, tendant les bras et pleurant presque pour un câlin, pour qu'il vienne me réchauffer un peu. j'avais cette bouille de chien malheureux sur la gueule, un truc qui marchait toujours avec Cyrus quand je voulait un truc alors j'espère qu'il accepterait de passer un petit moment dans mes bras pour m'aider à moins sentir la froideur du lac sur ma peau frêle.

@Sixtine Chang

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alle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras
pour tout reconstruire)

le doute s’installe quand il est impossible de savoir pourquoi une simple présence pouvait rendre ton petit coeur heureux. ton coeur abimer dans ce corps de lache. pourtant, cet étrange sentiment d’anime et encore aujourd’hui tu n’as aucune idée de comment marche tout ça. t’as juste arrêter de réfléchir et t’abandonner au envie farfelue que ton esprit, diriger par le sien, te disait te faire. et suite a cette échange totalement niais, t’avais envie d’une seule chose : ses lèvres. un contacte plus fou et plus passionné que ceux que vous avez échangez au par avant. quelques choses de plus passionné et ardent que les smacks échanger sur la jeter. et elle s’y donne à coeur joie, posant ses ridicules petits doigts sur ta chaire bouillante. un sourire sur ses lèvres, la rendant encore plus belle qu’elle ne l’est déjà. tu passes ta langue sur tes lèvres, gout sucrée mélange de coca et de glace à la vanille, plus le gout de son rouge à lèvre qu’elle avait étaler un peu sur tes lippes, tu l’essuie du bout de tes doigts avant de revenir sur la discussion initiale. ta crinière de lion, indomptable et sauvage, menaçant de venir cacher tes yeux. tu souffles sur cette fameuse frange dont elle te parler, quand elle décide de tirer dessus pour la ranger dans ton sac, tu te rend compte qu’elle a totalement raison, car tes cheveux viennent cacher un bout de tes yeux, t’empêchant de voir correctement. tu souffles de nouveau dessus, pour les faire virevolter avant de les mettre en arrière en passant ta main droite dedans. « tu me fera une petite coupe alors, j’ai des ciseaux dans le van. pas trop cours non plus, j’aime pas. » et elle non plus, t’avais remarquer qu’elle adorer passait ses doigts dans cette crinière en bataille, encore plus pendant l’acte. tu te laisses tomber sur le dos, déboutonnant quelques boutons de ta chemise pour que le soleil vienne te caresser avec tendresse. tes doigts caressant la cuisse de madame avec automatisme, un doigt léger qui faisait des vas et vient le long de sa peau velouter, te rappelant le gout de sa chair qui te manquer atrocement. gout qui disparait rapidement quand la demoiselle en question vient poser ses doigts sucrée sur ta bouche, le reste de sa glace qu’elle vient lécher sur tes lèvres avec malice. un sourire s’étend sur tes lèvres, tu te redresse pour lui faire face. « t’es un enfant, Six. » dis-tu dans un rire, alors que tu te met à l’attraper par la cuisse pour la tiré contre toi. tu menaces de la chatouiller, mais au lieu de ça tu vient nicher des baiser sucrée et collant le long de sa joue, puis sur son oreille et pis sur sa nuque. tes mains étaient accrocher à ses hanches alors qu’elle se débattre pour t’empêcher de la recouvrir de sucre collant. c’étai si facile de rire avec elle, t’avais l’impression d’avoir l’âge que tu doit avoir, sans les problèmes que le monde t’avais obliger à tenir au creux de tes doigts; tu n’as que vingt ans à peine et on t’oblige déjà a avoir des des problèmes d’adulte, le monde devrai être aussi léger et facile que quand Sixtine pénètre ton champ de vision. le soleil le voilà, c’est elle, brillant de mille feu, un simple rire cristallin et tu été guérie de toute la douleur que ton corps a subit tout au long de ses deux semaines. un baiser déposer sur ses lèvres quand elle décide de vouloir nager, tu fini la boisson que vous aviez en commun et limite quand elle se met debout. ta chemise été facile à retirer, tu la regarde avec malice avant qu’elle te mette au défis en hurlant. pris de surprise, tu ne te rend pas compte qu’elle été déjà en maillot de bain et qu’elle courrait avec aisance jusqu’à la plage. un rire s’échappe de tes lèvres quand tu vires ton pantalon avec difficulté, et te met à prendre tes jambes à ton coup pour la rattraper. ce fut aussi facile que de courser un gosse, quand tu arrives à sa hauteur et la soulève de tout son poids. elle avait ses yeux de merlan fris en attente de tendresse et de caresse et tu ne te fait pas attendre pour assouvir ses envies. tu la porte tel une princesse avant de l’emmener plus profondément dans la mer. celle-ci été froide, presque geler, mais la chaleur que vous veniez de subir venait faire contre balance à ce que la mer pouvait vous affligez. au bout de quelques minutes la température devenait alors parfaite, laissant vos corps s’habituer a ce changement radicale. « j’ai gagné. » en réalité, t’as tout gagner. tu l’avais elle, dans tes bras, ses bras autours de ta nuque, grimaçant au contacte de l’eau geler. son rire résonner encore dans tes oreilles alors que tes yeux n’avait autre destination que sa personne. incapable de détourner ton regard de ce visage si radieux, quinze minutes passer a ses cotés te rendait plus heureux qu’une semaine de travaille après avoir gratter des sous un peu partout sur la route. t’as aucune raison de partir maintenant, tu ne feras que vivre à ses côtés. « embrasse moi, six, j’ai les mains prise. » tu laches un rire, t’arrêtant dans ta marche avant de le plus avoir pied.

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{ he wore a smile like
a loaded gun }
crédit/ tumblr ✰ @neo nozere

Neo c'était le genre de mec qui faisait autant de bien qu'une bouffée d'air frais en pleine canicule, une petite brise rafraîchissante qui venait caresser notre visage de beau matin. il était si doux et si pur que s'en était affolant et il me rendait toute chose à chaque fois qu'il posait ses yeux sur moi ou qu'il me portait un minimum d'attention. ça faisait un bien fou de se sentir importante aux yeux de quelqu'un et surtout, à ses yeux à lui. franchement, qui aurait cru que je pourrais me mettre à craquer pour un garçon que je connais mal encore ? mais voilà, comme beaucoup de choses, on ne prévoyait rien à l'avance et j'avais encore moins prévu sortir aujourd'hui avec le bel asiatique au lac pour une petite fin d'après-midi tranquille, à manger de la glace à la vanille et partager une partager un verre de coca. j'avais pas non plus prévu ces petites papouilles en toute intimité, yeux dans les yeux, ces derniers complètement scintillants par un sentiment que je ne connaissais pas totalement. je savais pas trop ce que je pouvais ressentir pour le brun, je savais que c'était fort mais je ne saurais l'expliquer ni même définir si c'était amical ou amoureux. néanmoins, si des gens extérieurs à nous deux nous voyait agir de la sorte l'un avec l'autre, il dirait sûrement qu'on était en couple et pas depuis deux jours. on agissait littéralement comme si on sortait ensembles mais moi, ça ne me dérangeait pas, bien au contraire. j'adorais ça, j'étais accro à ça même. "en revenant je te fais ça alors mon petit chat. et peut-être même que je ne serais pas contre le fait qu'il me propose de rester dormir avec lui parce qu'après ça, je suis sûre que je n'aurais pas envie de rentrer directement chez moi. puis voilà que pour le taquiner, j'avais tartiné le reste de crème glacée sur ses lèvres que j'étais venue suçoter avec délicatesse. j'étais une enfant, ça il avait raison mais après tout, ça le dérangeait pas tellement puisqu'il avait saisit mes cuisses pour me tirer un peu plus vers lui avant de poser ses lèvres sucrées et collantes contre les miennes, contre ma joue et un peu partout sur le haut de mon corps qu'il pouvait atteindre. "tu pégues..." lui dis-je amusée en essayant de le repousser. c'était carrément pas agréable, c'est comme si il venait à m'embrasser avec une repousse de barbe de beau matin. mais j'avais cédé à l'embrasser une dernière fois avant de me relever et le mettre au défi de me rattraper alors que je détalais vers le lac après avoir retiré ma robe. bah oui pour le coup, je jouais vraiment les gamines mais j'entendais finalement son rire grave raisonner et en jetant un rapide coup d'oeil avant d'entrer dans l'eau, je le vis derrière moi, trop près derrière moi d'ailleurs, mais c'était pas compliqué de me rattraper avec ma petite taille. puis un petit cri sortit de ma bouche quand je sentit la froideur de l'eau mais aussi quand Neo m'attrapa pour me caler dans ses bras. lorsqu'il s'exprima avoir gagné, je secouais la tête légèrement négativement juste avant qu'il ne réclame un baiser. alors je venais à m'accrocher un peu plus à son cou et me tourner, enroulant mes jambes autour de sa taille pour me tenir, glissant aussi l'une de mes mains dans sa chevelure pour finir par coller mes lèvres encore une fois aux siennes. et puis j'avais passé le cap pour lui demander quelque chose "j'peux rester dormir avec toi ce soir ?" j'avais pas envie de le quitter, je voulais rester dans ses bras des heures durant, pouvoir profiter de ses caresses sur ma peau délicate et pouvoir dormir à ses côtés. je posais ma main libre contre sa joue avant de simplement glisser mon index sur ses lippes pour les nettoyer quelque peu avec un peu d'eau avant de poser mon front contre le sien, puis mon nez et revenir entremêler mes muqueuses aux siennes, quémandant un baiser plus passionné que celui que nous avions échangés sur la serviette ou sur la jetée.

@Sixtine Chang

(vous pouvez détruire tout ce qu'il vous plaira
alle n'a qu'à ouvrir l'espace de ses bras
pour tout reconstruire)

si sa vie devait être ainsi, alors Neo s’abandonnerais à la douceur sans y résister. si ce rire, ce sourire, ce visage est la seule chose qu’il doit voir jusqu’à la fin de sa vie, alors il accepte sa sentence sans y broncher. le problème c’est qu’il n’étais pas fait pour elle, elle était d’une douceur sans nom, un réel enfant pure et magnifique, et il avait peut de la salir avec ses doigts abimer par les années. il n’avait rien à lui offrir, pas d’argent, pas d’honneur, même son nom ne représenter rien, tout ce qu’il pouvait lui donner c’était sa reconnaissance éternelle et son dévouement infini, comme de la chérir et essaie de la rendre heureuse, malgré son comportement maladroit et ses gestes parfois trop brusque. il ne pouvait rien offrir de plus, car il n’avait rien pour lui et la simple idée de pouvoir donner quelques choses de bien à Sitxine, le pousser à se demander si il ne fallait pas qu’il arrêter d’être le vagabond. car elle est comme le soleil et face a autant de chaleur on se demande parfois si la vie qu’on a choisi est la bonne, car elle est le soleil et l’astre lumineux qu’elle représente le pousser à penser qu’il peut (peut-être, dans le doute, sur un malentendu, avec beaucoup de guillemet) devenir une bonne personne.
« je quoi? » il a eu un beug quand la gamine lui lance un mot qui lui semblait étranger. il venait de la recouvrir de caresse et de baiser collant, quand ses mains finissent par lacher la fautive et lui rend sa liberté. elle se redresse et le met au défis, tout est aller super vite quand il se met a lui courir après afin d’être le premier. son but n’étant pas d’être le premier, mais de rentré bêtement dans son jeu pour la faire frémir. mais c’est lui qui frémis, au contacte de sa peau contre la tienne. quand elle vient tirer sa gueule d’ange, et tend ses bras pour que tu l’attrapes. un léger rire s’échappe de sa mâchoire, tandis qu’il viens la porter tel une princesse de conte de fée. portant leurs deux corps jusqu’au milieu de l’eau douce pour plonger doucement dans la rive. la température de l’eau sur leurs corps provoque un choque dans les veines du jeune homme mais au fur et a mesure des minutes, l’eau fini par devenir agréable. il n’avait yeux que pour elle, que pour sa peau velouter, ses lèvres rosés, sa voix mélodieuse. il ne pouvait rien voir d’autre qu’elle, même si les rues étaient peupler de demoiselle magnifique, de jolie nana en mini jupe, il n’avait yeux que pour elle. et encore maintenant il ne pouvait détacher son regard de son visage, même si autour de lui un décor hors du commun étaient présent, il ne pouvait voir qu’elle. elle et la beauté qui décorer son visage, elle, et la joie qu’elle apporter à son coeur fatiguer.
il lui quémende un baiser, oui, lui, pour une fois, il voulait un peu d’affection. et elle ne se gêner par pour venir lui donner. quelques choses de passionné et passionnant qu’ils échangèrent, leurs corps flottant dans cette rive tiède. il la lacher pour qu’elle soit debout en face de lui, et pouvoir avoir plus d’empleure sur son corps. ses mains balader le long de ses hanches, tirer sur la ficelle du haut de son maillot qu’il menacer de virer. avoir sa poitrine contre son torse aurait été un délice, sentir ses frissons contre les siens auraient été un vrai bonheur. mais il ne lacher pas l’affaire et venait voler un second baiser, toujours aussi ardent et plein de vigueur, comme pour lui prouver qu’elle ne serai jamais plus une simple amie. il été tenter de recouvrir sa nuque de baiser, laisser une marquer bleuté pour que les hommes qui la voit quand ils seront de nouveau sur la jeter soit jaloux de leurs amours. qu’ils se disent qu’elle avait déjà quelqu’un, qu’elle ne pourrais jamais être à eux car elle appartenait déjà à quelqu’un d’autre. mais il se retenais par simple principe et surtout car il été loin d’été sauvage. la voix de la jeunette retentit dans ses oreilles pour le ramener à la réalité, alors qu’il ne cesser de la bouffer des yeux, regarder avec attention les formes de ses courbes qu’il voulait choper pour les ravages. hm? « tu veux dormir dans le van? » parce qu’il n’a aucun autre endroit ou dormir neo, et demain matin il iras surement bosser de bonne heures pour ne pas avoir des taches de merde, même si cela aller être inévitable. le matelas est fin et passer la nuit dessus n’avait rien avoir avec du camping ou autre merde de ce genre, c’était loin d’être romantique. les soirs ou Cyrus et Neo s’endorment sur ce matelas, c’est que la baise a été trop intense et qu’ils s’endorment de fatigue et déguisement, dans ce genre de situation, même un drap fin sur des cailloux auraient fait l’affaire car leurs corps ne supporte plus la fatigue. mais pour neo, sixtine mérite mieux qu’un matelas trop léger dans son van. « j’peut rien t’offrir d’autre que ça, mais si tu y tiens vraiment alors oui, bien sur. on iras prendre le petit déjeuner à la station service, ils font de bon pancake réchauffer au micro onde. j’te déposerais au travail avant 10h. » il passait un doigt sur sa chevelure, pour virer une mèche derrière son oreille, un fin sourire sur ses lèvres. tu me rend fou Sixtine, j’en perd la tête, si tu savait. et venait coller une nouvelle fois sa muqueuse contre le sienne, fermant les yeux, avant de lacher un nouveau rire. « on ira acheter des capotes. » dit-il dans un nouveau rire.