he wore a smile like a loaded gun (neo)

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a loaded gun }
crédit/ tumblr ✰ @neo nozere

évitons de parler du pseudo accident de voiture et de cette pauvre mamie qui avait dû avoir la peur de sa vie. j'aurais bien voulu m'arrêter pour constater sur elle allait bien, si elle voulait qu'on la raccompagne chez elle ou si elle voulait qu'on appelle ses enfants pour qu'ils viennent la chercher mais Neo avait décidé d'aller directement au Panda Express, peut-être parce qu'il était trop stressé et que la bouffe lui permettrait de se calmer ? ça j'en savais rien, je le connaissais mal encore pour pouvoir juger de quoi que ce soit. et ça oui, je le connaissais mal parce qu'il m'avait carrément fait flipper à s'énerver de la sorte et j'en avais même pleuré. pleuré parce que j'avais l'impression d'être en face de mon père, qu'il était en train de m'engueuler pour une chose "minime" comme si c'était la chose la plus grave du monde. du coup on avait récupéré à manger et j'avais commandé pour beaucoup de mon côté, parce que j'avais faim, j'avais la dalle mais pire qu'une femme enceinte et même si mon ventre ne gargouillait pas spécialement, c'était pire que la fête à la maison là-dedans. wah j'espérais pas avoir mes règles aujourd'hui hein, non non. j'avais pas envie d'avoir mal au bide comme jamais, j'avais surtout pas de tampons là sur moi. j'avais stoppé le garçon rapidement devant la pharmacie pour aller acheter des préservatifs, Neo voulant me donner des sous, j'avais refusé puisqu'il avait déjà assez sortit d'argent comme ça dans la soirée et j'avais prit également une boite de tampons, juste au cas où ainsi qu'un cachet pour apaiser les maux de ventre. j'étais remontée dans la voiture pour le taquiner sur le fait que lui-même oubliait ce qu'il voulait acheter et j'avais posé un petit baiser sur ses muqueuses que je chérissais tant avant de me rattacher et attraper un des gobelets de soda, juste de quoi me rafraichir la gorge avant de sentir un coup de volant assez sec me faire presque renverser ma boisson dans le van. j'avais donc posé ce dernier dans le sac où il se trouvait initialement avant de voir l'endroit où il avait emmené le véhicule. tiens, il se montrait romantique d'un coup ? j'arquais un sourcil en voyant la vue sur la ville, de quoi couper le souffle puisqu'on voyait autant mon lieu de travail ici que le lac qui s'étendait bien loin avant de me détacher et voir le garçon faire de même. il s'activa à aérer un peu son matelas avant de tapoter ce dernier et me demander de venir. pas la peine de sortir du van, j'avais juste grimpé sur le matelas pour venir m'asseoir au niveau des portes arrières et regarder le beau brun chercher dieu sait quoi avant de revenir. il fume ? ah bah preuve de plus que je le connaissais pas assez. "t'aurais dû me dire que tu voulais fumer, je t'aurais prit un paquet tout à l'heure.." lui soufflais-je avant d'hocher la tête positivement à sa question. j'avais faim aussi alors je tirais le sachet chaud vers nous et lui tendit une box blanche avec ses baguettes en bois accompagné d'un large sourire, glissant ma main dans sa tignasse brune avant de soupirer. "ça va me faire bizarre que t'aies plus les cheveux longs." parce que c'était vrai, je l'avais surtout connu avec cet espèce de mulet qui ne ressemblait plus à rien et je me demandais comment je pourrais glisser mes doigts dans sa chevelure au réveil et plein de trucs cons comme ça. j'attrapais un gyoza pour le mettre dans ma bouche avant de regarder l'horizon et pencher la tête doucement, la posant contre l'épaule du coréen tout en posant l'une de mes mains contre sa cuisse puisqu'il était enfin au calme et qu'il pouvait bien profiter de petites papouilles. "merci de me laisser dormir avec toi petit bébé."

@Sixtine Chang

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son coup de volant avait fait déborder Sixtine, il l’avait vu et été de nouveau sur le point de s’énerve, mais il ne dit rien. il profiterais qu’elle soit dans le coffre pour nettoyer. cette voiture est sa maison, mais également sa plus vielle compagne. d’aussi loin qu’il s’en souvienne et maintenant que ses souvenirs sont moins flou, il savait qu’elle l’avait toujours accompagner sans jamais faire sa difficile. elle était sa plus grande relation et il y tenais précieusement. « fais gaffe. » il avait utiliser un ton plutôt calme, et lui avait fait signe de la main pour qu’elle prenne des chiffons sous son siège.
il été sur les nerfs, c’était sans aucun doute. il aurait eu besoin d’une bonne cloppe, mais impossible d’en trouver. heureuse pour lui, sa chance avait finalement souris pour en trouver dans les poches d’un vieux jean. il avait oublié qu’il n’avait jamais fumer devant elle et fait d’ailleurs il grimace lorsqu’elle fit une réflection, c’est vrai qu’ils se sont toujours vu en intérieur, et quand il été très pauvre et n’avait plus rien pour fumer. « c’est rien, t’inquiète pas va. » il venait près d’elle, surtout parce qu’il été affamer, mais aussi parce que la gamine semblait être un peu distante. il ne voulais pas la brusquer, encore moins lui faire peur. neo été différent avec sixtine, il se prétendait être une bonne personne, parce que son souhait profond d’être une bonne personne pour elle, commencer à devenir une manière de pensait quand il été en sa présence. il se laisser penser que peut être qu’il n’était pas si débile que ça, que peut être qu’il n’était pas si mauvais que ça, et se dire que justement il serait, un jour peut être une bonne personne. il avaler une bouche de son repas, goulument, alors que la demoiselle passait une main dans ses cheveux. il secoua la tête pour que sa main redescende de là, et avant qu’elle la glisse de nouveau contre sa cuisse, il profiter de la proximité pour embrasser la paume de cette dite main. un sourire aux lèvres il se pencha vers elle pour fourrée son nez dans sa chevelure, déposant quelques baiser derrière son oreille, avant d’en laisser sur son épaule, et quémander pour un vrai baiser. mais elle été occuper à manger et il pouvait se retenir d’avoir un vrai baiser après le repas ingurgité. « ils vont repousser, et il reste de la manière pour que tu puisses me faire des patouilles. » il haussa un sourcil, suivit d’un clin d’oeil loin d’être discret. il se pensait être une bonne personne, il pensait même pouvoir tenir une vrai relation, si c’était avec elle. mais son coeur repenser soudainement aux mains de Cyrus sur son torse et de la voix mielleuse qu’il a utiliser pour lui parler en italien avant de glisser ses mots dans son être. il secoua la tête, avaler un autre morceau, saisie ensuite la nouvelle de coca cola pour la boire au goulot.
la voix de la gamine le ramène à la réalité. soudainement, il n’existait plus qu’eux d’eux, le silence et le ciel qui leurs offraient un spectacle a en couper le souffle. le ciel été beau, et Neo se rappel de tout les coucher de soleil qu’il a pu voir, mais jamais il ne s’est sentit aussi bien qu’en présence de cette personne avec qi il partager justement ce coucher de soleil. « je veux pas te briser le coeur, Sixtine. » sa voix été soudainement plus claire, il avait fini de manger et reposer les baguette au dessus de la boite de son repas. « je veux que tu soit heureuse, tout le temps. j’ai aucune idée de comment on rend les gens heureux, alors si jamais je dit ou fait quelques choses de mal, sache que c’est pas du tout intentionné. » il n’avait aucune notion de sociabilité, il n’avait que les bases qu’il avait appris lui tout seul, dans son coin, en espérant que ça marche avec tout le monde. « je peux rien t’offrir de plus que ce que j’ai là. et je promet de continuer à te regarder comme si t’étais la huitième merveille du monde. mais Sxtine, je sais que t’es consciente que j’suis pas fait pour toi. » il plonger son regard dans ses yeux verdates, il tenait à elle, il été salement attacher à elle, mais il fallait qu’elle comprenne, qu’elle voit la vérité en face, que t’es qu’un pauvre mec sans avenir et qu’elle mérite beaucoup mieux que ça.

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en voyant Neo chercher quelque chose dans ses affaires et finir par trouver quelques vieilles clopes, j'arquais un sourcil puisque oui, je ne savais pas le garçon fumeur et après tout, ça ne m'aurait pas étonné qu'il le soit puisqu'il avait ce côté bad-boy fumeur que j'appréciais chez lui. en fait c'était bizarre mais, j'avais ce sentiment d'être sa petite poupée, qu'on s'accordait pas spécialement dans nos styles respectifs mais que justement, on était là pour se compléter l'un l'autre et former un ensemble uni. puis je me rappelais soudainement qu'un paquet de clopes à moitié vide au fond de mon sac appartenant à mon meilleur ami et comme il ne me l'avait pas réclamé depuis un temps, j'avais tiré mes affaires vers moi avant de sortir le dit paquet et le tendre à Neo. "cadeau, je préfère qu'il soit utile plutôt qu'il ne pourrisse dans mon sac" lui soufflais-je avant de comment à manger mes gyozas et câliner la chevelure du garçon, comme pour me faire à l'idée qu'elle sera bien moins longue d'ici quelques minutes, juste le temps que je me remplisse un peu le bide et que je trouve les ciseaux. j'haussais les épaules à sa phrase, juste après avoir glissé ma main contre sa cuisse puis ma tête sur son épaule à lui, cliché des petits couples amoureux sur la falaise en train de rêvasser à une vie future. un large sourire s'était formé à la commissure de mes lèvres lorsqu'il avait enfouit le bout de son nez dans ma tignasse brune et qu'il y déposait quelques baisers, quémandant en un plus romantique je dirais, mais j'avais décidé de fourrer une petite portion de nouilles sautées dans ma bouche alors j'avais pas spécialement répondu pour l'instant. puis son clin d'oeil assez aguicheur étira mes muqueuses d'avantages avant que je n'avale rapidement le bol alimentaire que j'étais en train de faire. "t'arrêtes un peu de m'aguicher ? ça va finir en plus que des papouilles si tu continues." parce que sérieusement Neo, tu fais chier à être aussi mignon et me donner autant envie de te sentir contre moi constamment. tes lèvres et tes mains contre ma peau étaient pires qu'une drogue dont laquelle j'avais du mal à me sevrer et c'était affreusement pénible, surtout parce que j'écrivais ton nom constamment sur la moindre feuille de papier que je tenais entre les doigts. rapidement, je venais à poser un baiser contre ses lèvres et mordiller doucement ces dernières pour le taquiner avant qu'il ne vienne à un sujet plus sérieux, qui cassait totalement l'ambiance romantique qui s'était installé depuis plusieurs minutes dans le van. moi qui avait cette boite blanche entre les mains, je l'avais posé sur le matelas et j'avais essuyé du revers de ma main la sauce qui avait tâché le coin de mes lèvres, concentrée dans ces propos sincères qui sortait de ses lèvres charnues dont je n'arrivais pas à décoller le regard. mais ça me serrait le coeur de l'entendre parler comme ça, j'avais l'impression de me prendre un rateau, un panneau stop en pleine poire, qu'on me disait clairement d'arrêter de l'apprécier, de l'admirer ou même de vouloir l'aimer pour ce qu'il était, simplement lui. mon visage à moi était devenu grave, je n'arrivais pas à cacher mes émotions et même si j'arrivais à cacher des larmes, la déception sur ma figure était comme le panneau d'entrée de Las Vegas. un soupir, un roulement des yeux et voilà que je venais à renifler quelques secondes, détournant le regard de l'être chérit pour tenter de contenir une émotion qu'il avait déjà eut vu par le passé. il ne voulait pas me briser le cœur et pourtant c'est ce qu'il semblait être en train de faire. "mais je suis heureuse. je suis pleinement heureuse avec toi. tu..... Neo écoutes, je t'aim.... je t'apprécie pour ce que tu es au fond de toi. pas parce que t'es beau ou dieu sait quoi. je t'apprécie parce que tu me fais sentir importante dans le vie de quelqu'un pour la première fois de la mienne. je me fiche royalement que tu vives dans un van, que tu galère à payer un paquet de cigarettes par mois, je t'aime justement parce que tu es comme ça." sauf que là, c'était allé un peu trop loin et malgré moi, les propos que je gardais secrètement cachés au fond de moi venaient de faire surface. je l'aimais ? oui je l'aimais et j'en crèverais pour lui si c'était à faire. encore un reniflement, une voix qui déraillait doucement, une vision qui se floutait parce que ça faisait mal d'avouer ses sentiments en sachant pertinemment que ce n'était pas réciproque. ou du moins, pas au même level. "j'suis une gosse qui à tué sa mère en venant au monde, qui se bat pour vivre une vie paisible tandis que son père fait tout pour la mettre plus bas que terre. j'suis une gamine recherchée dans le monde entier et qui vit avec de faux papiers dans un pays où je dois encore apprendre la langue, j'ai pas une tune si tu m'enlèves mon travail et je serais sdf si j'étais pas hébergée par Cyrus. Alors ne penses jamais que tu ne m'offre rien parce que même si c'est pas matériel, tu m'offres bien plus que ce que le monde m'a offert depuis que j'y suis. je veux pas vivre dans le luxe, je veux pas vivre loin de toi non plus parce que t'es ma seule raison d'être heureuse présentement. t'es pauvre certes mais t'es riche de coeur et tu mérites d'aimer et d'être aimé. et encore une fois, la Sixtine sensible se mit à pleurer parce que c'était trop d'un coup. Neo était le mec qui me faisait réellement sourire, celui qui faisait battre mon coeur parce que c'était différent d'avec Cyrus, c'était puissant, c'était affolant même parce que je ne contrôlais plus rien et que je me sentais prisonnière de son charme. Neo, regardes moi comme la huitième merveille du monde, je te regarderais comme la première de mon univers.

@Sixtine Chang

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Neo fut content de voir la surprise que Sixtine cacher sous ses doigts, il fit un grand sourire avant de prendre l’objet entre ses doigts et le glisser à la place de ceux qu’il avait trouver. il avait reconnue la marque que Cyrus consomme, des Lucky Star à la menthe, et un fin sourire se dessine sur ses lèvres alors qu’il pense à son amant perdu. son briquet été même dedans, et il imagine soudain Cyrus entrain de quémander une clope, avant de lâcher un jurons quand celui-ci n’avait pas un gout de menthe.
Il vient ensuite se glisser près de sa douce, sa tendre et douce Sixtine, soleil de sa vie. il l’embêter un peu après que le repas soit fini, du moins, lui il avait fini et il avait le ventre remplis et sa tête aller beaucoup mieux. il ressentait encore la douleur mentale de ses souvenirs qui surgissez de temps en temps, faire des flashback de scène qu’il aurait vécu, mais il se concentrer sur Sixtine. sur sa peau pâle, sur ses lèvres pulpeuse, sur ses yeux verdâtre, et très vite les souvenirs étaient chassez pour laisser place à de la tendresse. Neo voulait un calin, il voulait qu’elle soit tendre avec lui comme elle l’a toujours été, bien qu’elle soit occuper à manger, il venait frotter le bout de son nom sur sa joue, y dépose un baiser, puis cherche à la teaser en glissant ses doigts le long de son dos. il voulait qu’elle finisse de manger, qu’il passe au désert, c’est elle le désert c’est sa friandise préféré. « j’ai faim de toi Sixtine, quand est-ce que tu as fini de manger? » il ris, et fini par se calmer pour poser son dos contre les sièges conducteur. elle venait alors poser sa tête sur son épaule, glisser sa main sur sa cuisse. il  ne perdit pas un instant pour la saisir dans la sienne et sourire bêtement à la situation.
Sixtine mérite mieux, il le sait, il le sait au plus profond de lui, il se mis alors à reprendre la parole pour lui dire ce qu’il pensait, ce qui lui trotter dans la tête depuis plusieurs jours, plusieurs semaines. ô combien ils étaient bien ensemble, il ne savait pas s’y faire avec tout ça, avec l’amour, les sentiments, les relations. il allait tout gâcher avant même d’avoir commencer, et il pourrais tout foutre en l’air si un jour il lui arrivait quelques choses. il pourrais tout claquer, tout détruire, s’énerver au point d’agir et de faire des choses qui sont contre ses propres principes. et pourtant il été là, a la cagoler et la câliner, comme pour lui rappeler qu’elle été la seule personne qui avait le droit a autant d’effort.
et des mots brutes venait la heurter, alors que la main de Neo serrez son corps de gamine contre lui, lui expliquant que l’avenir sans lui serai meilleur, que de toute façon c’était un lache, un bon à rien, un vagabond qui traverse les vie et les coeurs avant de s’en aller bredouille. il se sentit mal de l’avoir dépuceler, mal d’avoir tacher son existence avec la sienne. alors il baisser la tête et les yeux, vers le sol, rivée vers leurs jambes et pied, avant de lever doucement pour se canaliser vers l’horizon. la voix de Sixtine entre alors en éruption. volcan silencieux qui éclate sous ses yeux, si elle avait été une bombe lush elle aurait exploser d’un coup sec recouvrant la baignoire de paillette. sans prévenir, sans crier garde, des mots que Neo ne pensait jamais entendre de sa vie venait se glisser entre les lèvres de la gamine. comme une reproche, une reproche amoureuse. je t’apprécie. il l’entend encore et quand sa voix s’arrête, il la fixe inerte, avale sa salive et écarquille les yeux. sait pas ou donner de la tête, ni quoi dire, il met une main gêner sur sa nuque pour la gratter et dévie son regard. « je t’apprécie aussi gamine. » il marque une pause, oui, plus que ça, il lui veux du bien, il veux son bonheur, il veux qu’elle soit la fille la plus heureuse dans ce monde, car elle est l’unique personne à qui il tiens réellement. il aurait aimer tomber sur elle plus tôt, il aurait aimer qu’elle enchante sa vie plus tôt, avec ses rayons de soleil, son sourire, sa voix mielleuse, ses doigts magique. son être entier.
Neo se penche vers elle pour venir presser sa muqueuse aux siennes, il faisait pression sur sa nuque pour la rendre plus docile, comme si il savait exactement ou toucher pour la faire vibrer. ce baiser n’avait rien avoir avec ce qu’ils auraient pu échanger avant, il été sincère et remplis d’amour. il voulait qu’elle sente a travers ce geste que tout est réciproque, que tout est sincère. il se rappel qu’il n’aime pas vraiment dire : moi aussi. qu’il trouvais ça fade, alors après que leurs langues ce soit caresser, que leurs corps ce soit heurter, que la chaleur augmenter, il décolla doucement ses lèvres et poser son front contre le sien.
« je tiens à toi, c’est plus fort que tout les mots que j’ai pu dire au par avant. » son front contre le sien, il pouvait sentir son souffle sur ses lèvres, mais aussi son poul augmenter et son coeur tambouriner. il embrasse alors sa joue, puis fait pencher sa tête sur le coter pour venir embrasser son oreille, puis sa nuque, avec tendresse. mordiller sa peau, il fait toujours attention de ne pas la marquer, ô combien il en avait envie. mais il se contenter de laisser ses baiser l’effleurer tendrement. il remonte jusqu’à son oreille, pour murmurer : « je pourrais tuer pour toi, Sixtine. peut importe qui te touche, qui ose penser à te faire du mal, j’le tuerais de mes mains. » t’es la seule raison pour lequel j’me réveille le matin, le courage dans le blizzard, l’adrénaline dans les moments perdues, c’est toi et  personne d’autre.
il revient alors que ses lèvres, douce et sucrer, un peu comme elle. des mains baladeuse qui venait caresser son corps en entier, mais s’arrêter sur ses hanches et courbes généreuse. il reste caler là, presser ses doigts la peau de ses hanches, scellant leurs amours d’un baiser romantique et passionné. accro, tu es totalement accro.

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voilà que les mots s'échappaient de mes muqueuses comme un torrent tributaire, débitant des paroles sincères, incontestables sur mes sentiments à l'égard du beau coréen qui avait réussit à percé un petit trou dans mon cœur, pour s'y installer, se loger comme un parasite et faire grandir cette flamme, ce brasier qui incendiait mon organe saignant. c'était la première fois que j'arrivais à m'ouvrir à quelqu'un de la sorte, peut-être était-ce à cause des paroles dures du garçon que j'avais explosé de la sorte. les larmes coulaient à flot sur mon minois angélique tandis que j'avouais clairement ressentir un truc profond pour lui, quelque chose que je n'avais jamais ressentit avant et lorsque ma voix se stoppa, j'avais moi-même peur d'avoir gâché quelque chose. que j'avais foutu en l'air toute notre soirée romantique et nian-nian à souhait. j'avais donc passé le revers de ma main pour essuyer ces perles d'eau ruisselantes avant de déglutir, attendant que Neo daigne répondre, qu'il daigne au moins me dire un oui ou un non. c'était pas spécialement une demande à proprement dit pour sortir ensembles, parce que je savais qu'il avait sûrement Cyrus en tête. et franchement, ça m'embêtais. beaucoup même. je crois que je devenais possessive envers le brun et que j'aurai voulu le garder pour moi seule, être la seule à poser mes lèvres contre les siennes, être la seule à laisser mes doigts parcourir sa chair brûlante ou à laisser la moindre marque sur son corps de lâche. puis, quelques mots de sa part et voilà qu'un soupir franchit mes lippes, un soupir apaisé. au moins il m'appréciait. ce n'était pas tellement la réponse que j'attendais mais c'était déjà un pas énorme de sa part de m'avoir fait comprendre qu'il tenait à moi. d'ailleurs ce petit gamine me tirait un sourire en coin, parce que même si ça me gonflait qu'on m'appelle ainsi, il fallait dire que venant de Neo, c'était plutôt flatteur. une de mes mains se leva et vient à se poser contre la joue du garçon, mais rapidement ce dernier se pencha quelque peu en avant pour venir coller ses lèvres d'un douceur atroce contre les miennes pressant contre ma nuque pour que je garde le visage collé au sien. un baiser passionné se fit échanger, un baiser qui parlait bien plus que les mots, un baiser qui montrait à quel point Neo pouvait voir des sentiments, qu'il pouvait aimer et surtout qu'il avait cette envie irrépressible d'aimer quelqu'un en retour sûrement pour se sentir plus vivant, donner un sens à sa vie et se dire qu'il n'était pas juste le vagabond qu'il voulait bien laisser paraître. mes doigts se glissèrent encore une fois dans son mulet, profitant de sa longue tignasse une dernière fois avant de la couper, venant caresser sa langue de la mienne. il m'offrait le plus beau des baisers qu'il avait put m'offrir depuis que je le connaissais avant de lâcher l'emprise et simplement poser son front contre le mien. j'entourais sa nuque de mes bras avant de venir frotter doucement le bout de mon nez contre le sien, avant de le laisser descendre ses lèvres contre ma joue, mon cou mais aussi mon épaule avant de remonter contre mon oreille et me souffler des paroles rassurantes. "ne fais jamais de bêtises Neo. ne va jamais en prison pour moi parce que tu as voulu tuer quelqu'un... j'veux pas venir te voir au parloir toute les semaines et ne même pas te toucher, juste te voir à travers une vitre. ça me briserait grave le cœur.." parce que c'est vrai, et puis, il était rare qu'on laisse un couple pouvoir se voir de façon intime en taule. un autre baiser et voilà que les mains du coréen venaient à parcourir mon corps petit à petit avant que je ne décide de grimper sur lui sans rompre l'échange. grimper sur lui pour accentuer un peu plus le baiser, le collant contre le siège par la même occasion, glissant ma main contre sa nuque, attrapant de l'autre l'une de ses mains contre ma poitrine, de quoi faire monter un petit peu plus la température dans le véhicule.

@Sixtine Chang

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les mots sont dit, les esprits sont défait. cet endroit est-il magique ? tout les gens qui t’aiment vont venir te le dire ici ? et tu sera incapable d’y répondre autrement qu’en leurs faisant l’amour ? Neo sait pertinemment qu’il ne mérite pas Sixtine, il sait qu’elle mérite quelqu’un de réel, quelqu’un de bien, quelqu’un avec un vrai travail et de vrai ambition, elle sait que son jolie minois sera effacer quand un autre avec une vie plus belle et qui pourras lui offrir plus de chose apparaîtra.
Pourtant ce soir, il dévore la jeune fille des yeux. Les mots qu’elle venait de dire avait caresser ses idées noirs, chassez ses tourments, comme une équipe de super soldat spéciaux qui serait envoyer pour chassez les méchants, munis de super pouvoir, ses mots, doux et tendre (toujours comme elle) venait de défoncer à coup de yeux laser super sonic, ses pensers périmes. et il ne voyait plus qu’elle, elle est encore elle. elle et son doux visages, ses prunelles verdâtres. il été si hypnotiser, par autant de douceur et d’innocence, il été si…. amoureux.
Neo ne perdit pas une minute pour venir l’embrasser, de la manière la plus sincère qu’il puisse faire. elle avait glisser sur lui, changer leur position, sans rompre le baiser. quand elle fini par le lacher pour reprendre son souffle, il souriait grandement, cet élan de confiance en soit été stimier, il se sentait plus exciter que jamais. il avait envie de lui faire l’amour toute la nuit, briser ses reins avec tout l’amour qu’il avait, sans réussir à lui dire un mot sur ça. il n’était pas doué pour délier sa langue, autrement que pour la fourrée dans la bouche de SIxtine, pas douée pour dénouer tout ce bordel qu’est sa tête, alors la seule solution qu’il avait trouvé c’était de l’aimer physiquement, lui donner tout ce qu’elle n’a jamais eu avant lui.

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qu'est-ce que ça faisait du bien d'ouvrir son coeur à quelqu'un et de voir qu'il y avait certainement quelque chose de réciproque de l'autre côté aussi, même si les mots n'avaient pas franchit la barrière de ses lèvres, Neo se montrait tout d'un coup affectif, câlin et avait carrément envie de laisser ses muqueuses parcourir ma chair de part en part, se délectant de la moindre parcelle qu'il pouvait embrasser. j'avais grimpé sur lui pour être simplement plus proche de lui, pouvoir coller mon corps contre le sien, pouvoir être en face de lui et venir bécoter sa bouche autant que je le voulais. mais voilà qu'il commença à légèrement ouvrir sa chemise que je portais en guise de robe, de quelques boutons pour la faire la glisser le long de mes bras, dévoilant ainsi mes épaules blanchâtres qu'il prit un malin plaisir à embrasser et mordiller avec douceur, me tirant quelques petits sourires des plus amoureux. parce que clairement, il était le seul à réussir à me faire tourner la tête ainsi, faire battre mon coeur de la sorte, au point qu'il se serre fortement dans ma poitrine et qu'il tape en m'en faire mal, comme si il voulait s'évader de ma cage thoracique.

@Sixtine Chang

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« c’est à moi ça? » il déboutonné sa propre chemise, la sienne, celle qu’il lave et relave encore et encore, celle qu’il a porter dans des moments de tristesse et des soirées déchainer et sans limite. cette chemise là, qu’il a trouver assez bien pour son premier rendez-vous avec la jeune fille, dont les rayure bleu et blanc lui allait a merveille, car ça m’est en valeur ses yeux brillants et ses lèvres rosés. que ça souligne avec merveille la couleur fade mais douce de sa peau. cet chemise là. Il l’aime cette chemise, mais elle est de trop, beaucoup trop.  

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un large sourire se forma sur mes lèvres lorsque le garçon se mit à parler de sa chemise, sa précieuse chemise qui me servait de robe puisqu'entre nous, il y avait au moins une vingtaine de centimètres d'écart et qu'ainsi, je pouvais me servir des hauts du coréen sans qu'ils ne soient trop court, bien au contraire. je secouais négativement la tête à sa question et une légère barre de rouge se fit apparaitre sur mes joues. "non... c'est à moi maintenant." soufflais-je doucement. et je dois bien avouer que si je pouvais ramener cette chemise avec moi et dormir avec en guise de peluche, humectant son délicat parfum pour trouver un sommeil paisible, je le ferrais sur le champ. sa présence était rassurante, ses bras semblaient vouloir protéger le monde malgré qu'il ne soit pas si héroïque ça et son odeur pouvait apaiser n'importe qui. j'arrivais d'ailleurs pas à savoir quel parfum il pouvait bien mettre mais il sentait divinement bon.